... Eh ! Qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ? J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! Charles Baudelaire
Quelques impondérables m'éloignent de la blogo...
Il m'arrive d'être pris par un genre de saudade et de ne pouvoir tournoyer avec les mots. Peut être est-ce l'entrée de l'automne qui me tortionne. J'ai peur d'être fastidieux, alors je me terre, je me tais et je lis quand je ne peux rien absorber d'autre.
Désolé mes amis, d'être absent pour quelques petits jours, je vous laisse mes quelques mots pris au vol :
Le temps, mon temps voleté
Mes nuages survoltés
Soleil en panne d'amour
Je glisse dans mon miroir
Je le cueille et lui souffle des mots
Il tremble et ne dit mot
Le temps, mon temps délabré
Mes tempêtes grisées
Je cueille mes doigts enfouis
Dans le sable des océans solitaires
Et découvre l'amour nu
Accroché à ma vague de vie.
Comme je comprends. Je suis moi-même souvent victime de ces trous d'air. A bientôt.
RépondreSupprimerAux détours de tes allées scintillantes de lumière
RépondreSupprimerBizak
Parfois les mots s'envolent
Ou se terrent dans l'ombre...
Le sOleil brûlant pleure alors comme la pluie perle
Et les fleurs et le temps portent ta peine...
Mais tout ce petit monde sait que tu nous reviendras bientôt...
...Ferme les yeux, l'Âmi poète
Tu sentiras le souffle du vent d'automne qui s'amuse avec les nuages
Ne t'inquiète pas, ton temps chagrin
A nouveau ravivera son or sur le livre du ciel
Et tes mots croqueront en coeur et corps tes bouts de vie
Fredonneront avec les étoiles et nous enchanteront sur l'épaule du mât-teint
Au creux de ton âme qui rêve et roule sur le pétale et la rosée.
A bientôt.
Je t'en brasse fleurie.
Den
La saudade t'inspire pourtant de jolies phrases, et de beaux vers... Prends ton temps... Respire!
RépondreSupprimerLa vie, pourtant, la vie
RépondreSupprimercaresse de son aile les bras du poète
et lui dit
ne crains pas les tempêtes
elles reviennent et s'en vont
Comme les saumons
comme les vagues sur le sable
comme les hirondelles
Toujours au rendez-vous
des printemps foisonnants
La vie, la vie est belle
et pleine de promesses
Et les soleils froids plongés dans les étangs
ne durent pas longtemps
devant la chaleur d'un sourire.
Avec toute mon amitié
Mille bises célestes et boréales
¸¸.•*¨*• ☆
Tout beau, superbe! Bisou, bon dimanche tout doux!
RépondreSupprimerTu nous mets entre parenthèses avec un magnifique texte, et une photo qui sent l'after-rain... Bien sûr que parfois on est en panne, après tout... nous ne voulons pas d'une discipline incontournable, mais d'une discipline amicale... Alors nous attendrons ton retour, réjouis à l'idée que tu reviendras :)
RépondreSupprimerTu as déposé une très jolie toile pour déposer tes merveilleux mots. Cher Bizak, je te souhaite une belle pause en prenant tout ton temps, le temps de respirer et le soleil reviendra en cet automne.
RépondreSupprimerBisous ♥
Saudade, Saudade Saudade
RépondreSupprimerSi tu m’écris
Je t’écrirai
Si tu m’oublies
Je t’oublierai
Jusqu’au jour
De ton retour
Sodade Sodade Sodade (Cesaria Evora)
Je t'embrasse Bisak, Prends ton temps, merci pour tes jolis mots...ils vont vite nous manquer !!
La muse est parfois capricieuse, versatile et volage...
RépondreSupprimerElle s'enfuie vaporeuse et nous nargue...
Mais elle ne saurait se passer de nous longtemps
puisque nous la faisons vivre....
J'irai plaider ta cause auprès d'elle ! ....
;-)
C'est probablement le début de l'automne. Mais je sais que tu nous reviendra vite.
RépondreSupprimerA bientôt.
Oui @eeguab, tu es aussi un voltigeur des mots, les trous d’air tu en connaîtras et de ta poésie tu en répandras.Merci Ami
RépondreSupprimerEt toi@Den ,tu trouves les mots pour atténuer l’intensité du gris qui charge les âmes, et les fais tournoyer comme une vrille sans fin en faisant gémir les étoiles qui, somnolentes, nous berceront aussi de leur chant de sirène et je t’en brasse des bouquets fleuris à satiété.
Tu arrives@La Baladine, avec tes appels d’air qui me redonnent de l’oxygène et je respire, je respire, tu passes en coup de vent mais tu me fouettes de ton espérance.
@ La Céleste, mon aède de toujours, tu me combles de tes vers mirobolants qui m’élève mon âme au ciel où j’entends les promesses d’une vie cosmique et je prends ton amitié à bras le corps et t’en remercie en te soufflant des bises à l’infini.
@Maria- Lina, toi la petite étoile furtive, tu laisses tes mots doux silencieux et tu t’en vas en m’offrant tes bisous tout doux.
@Edmée de Xhavée : Chère Edmée, jamais tu te départies de tes mots de douceur, de délicatesse et pleins d’amabilité. Merci mon amie
@Denise : Comme tes mots sont toujours auréolés de fleurs les plus exquises. Mille bises
@noelle : Oui Saudade, la chanson de la sublime Césaria, aux pieds nus. Merci pour tes mots noelle, je t’embrasse aussi.
@Alain X : Quels beaux mots sur la Muse, merci de plaider ma cause, ami AlainX, je sais que tes mots seront percutants et persuasifs.
@Patrick : Probablement, oui, l’automne qui mes couvre mes étoiles de son ciel gris. Merci Ami
Grand soleil aujourd'hui ! alors tu es là ...merci, bisous bisak
SupprimerOui, je suis là, le soleil a fini par réapparaître et les mots avec. Merci noelle, d'être là. Bisous
Supprimer
RépondreSupprimerTa muse ne t'a pas quitté car elle a murmuré sur ta page dans un souffle de vent d'automne des mots fragiles certes mais si beaux que tu as su cueillir pour nous les offrir...
Oui Marie, on peut dire que ma muse est toujours quelque part autour de moi.Je dois dire qu'elle m'inspire bien, puisque tu les accueilles bien, mes mots. Merci Marie, ravi de ton retour après ta pause.Bise
SupprimerUn poème lu ce matin:
SupprimerSi le Poème se fait plus rare,
C'est peut-être qu'il cherche en toi
Une autre terre ou germer,
Un autre silence ou peut-être un désert,
Un vide inaccessible,
Un espace dénudé ;
Contente toi du peu qui t'accompagne,
Des marées de ton pas,
Des graviers du chemin,
Des rives sans soucis ;
Sens le monde en toi comme il gravite
D'un souffle vivifiant,
D'un flux sans impatience,
D'une profusion de joie ;
Fais taire toute autre quête,
Bois l'air qui te visite,
Avance au rythme des nuées,
Sois ce ciel pacifique ;
Rien ne t'est plus précieux
Que ces instants volés à l'inquiétude :
Accorde-toi à ce rien qui t’appelle,
Sans désirer rien d'autre,
Sans élever la voix.
Jean Lavoué
http://www.enfancedesarbres.com/
Comme il beau ce poème, et comme aussi il est aussi apaisant et encourageant. Un vrai baume au coeur.
Supprimer" Si le Poème se fait plus rare,
C'est peut-être qu'il cherche en toi
Une autre terre ou germer..."
OU
"Rien ne t'est plus précieux
Que ces instants volés à l'inquiétude..." Comme c'est profond.
Je te remercie,du fond du coeur, Marie, de me faire partager ce poème de Jean Lavoué.
Bisous
Bon ! Bizak ne t'éloigne pas trop longtemps !L'inspiration va revenir. D'ailleurs ton poème est superbe
RépondreSupprimerQuand l'inspiration ne vient pas, c'est que les batteries ne fonctionnent pas et puis l'automne, pour les recharger, j'en doute ! Merci Daniel pour tes gentils mots.
SupprimerDéploie tes ailes, Prince du désert et va t'abreuver à l'oasis de solitude choisie et voulue. Là, la nature t'apportera la sérénité, redonnera vie à ta plume et tu nous reviendras auréolé de cette poétique inspiration qui te caractérise.
RépondreSupprimerIl est parfois des jours même la beauté des nuages qui passent, un rayon de soleil qui surgit, ne peuvent rien devant ce qui étreint l'âme. Parfois même sans raison apparente, le spleen nous happe notre joie.Merci Chinou
SupprimerAlors, ces jours là, il faut oser téléphoner à un ami, lui envoyer un message privé car seuls les amis peuvent comprendre et aider sans rien demander. A bon entendeur....
SupprimerDans ces moments-là, on se dit, parfois mieux vaut aller voir ailleurs.
SupprimerUn tableau de nuages mais lumineux, l'automne une parenthèse entre le chaud et le froid. Tu fais une parenthèse en attendant qu'un bon soleil te réchauffe l'âme.Marcher dans la campagne aide à desserrer ces noeuds qui parfois se forment en nous.
RépondreSupprimerPrends ton temps, on sera là. Amicalement.
Ils sont très utiles tes mots, Colo, faire un tour à la campagne c'est une très bonne idée. Mais, plonger dans la lecture m'apporte aussi sérénité et plaisir.
SupprimerMerci Colo pour tes mots si agréables
Un sublime tableau porté par des mots merveilleux... Et un peu de silence, juste une respiration nécessaire de la vie pour créer à nouveau... Lumineuse journée à toi, à bientôt Bizak. brigitte
RépondreSupprimerComme elles sont belles tes paroles (tes mots , je les entends!). Oui Brigitte un peu de silence, un léger retrait, nous redonnent un peu plus de punch et de renouveau. Merci de ton passage Brigitte.
SupprimerJe viens de repasser sur ton blog et je trouve ton écriture admirable,j'y reviendrai.
A bientôt Brigitte et merci.
il est essentiel de prendre du temps pour soi
RépondreSupprimerSans cela, c'est lui qui nous absorbera !
SupprimerL'inspiration reviendra, Bizak. Laisse passer juste quelques soupirs, et les sourires et l'inspiration reviendront. Merci pour tes jolis mots. A bientôt, cher poète. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerLes mots reviendront, ils sont déjà là!
RépondreSupprimerParfois, les mots du poètes sèchent en même temps que l'encre à l'extrémité de sa plume. Alors il faut la poser, refermer le grimoire, baisser les paupières pour respirer un peu.
RépondreSupprimerC'est ce que je viens de faire...
@Françoise, alezandro, letienne: Merci mes amis pour votre passage et vos mots. Pardonnez-moi de ne vous répondre que maintenant. L'inspiration me manque, mes étoiles s'éclipsent. Bonne continuation à vous
RépondreSupprimerUn petit coucou en trois mots et en passant....
RépondreSupprimerComme c'est gentil, alezandro ! Bien à toi.
SupprimerCes beaux nuages t'ont mené vers la découverte de nouveaux horizons et moi j'ai apprécié ta "vague de vie", elle va, elle revient et parfois on reste silencieux, sur le rivage...
RépondreSupprimerMerci Marine, tes mots sont toujours bienveillants. C'est joli: ma "vague de vie". Bisous Marine
Supprimer"Mon ami, Je n'ai rien à vous écrire.
RépondreSupprimerVoici des heures que je rêve au-dessus de ce papier blanc.
Je vous l'envoie.
Regardez le longuement à votre tour. Je vous offre toutes les richesses de mon silence."
(André Beucler ) Une bise en passant...
Comme c'est joliment dit, chère noelle. Je dois dire aussi que le silence parfois est plus parlant et plus"disant" dans ces moments de rêve.
SupprimerMerci pour la bise, je t'envoie la mienne.
Mais les mots sont toujours là mon cher ami poète... ils se tapissent tout au fond et attendent une étincelle pour jaillir. Rien de grave, juste la vie, et pendant ce temps, nous contemplons les beaux nuages. Je t'embrasse et te souhaite de voleter, de-ci, de-là, au hasard du vent. Amitiés.
RépondreSupprimerRavi de te voir Dédé égrapper les mots de la constellation cosmique et les répandre sur mon alpage haut en couleur. Tu manquais mais je savais aussi que tu étais parti pour une pause d'oxygénation et de repos mérité. Oui rien de grave, juste la vie. Merci pour ton escale chez moi.
SupprimerJe te souffle mes bisous en dentelle et enguirlandés.
Mes amitiés assurées.
Où va donc ce chemin ?
RépondreSupprimerMon lieu secret est bien caché
Sous une pierre blanche
A l'abri dans son nid
Il est muet, il attend
Le jour il est au chaud
La nuit il est au froid
Il ne faut pas le déranger
Mon lieu secret je le partage
Avec l'herbe velours
La fleur blonde du matin
Avec la terre
Qui palpite
Qui l'enveloppe
Si possible avec les vrais amis
Peut-être, s'il m'en reste...
Le chemin le contourne
Soyez vigilants...
Quel bonheur de te lire, de lire un si joli poème, chère Martine. J'aime bien les lieux secrets, comme s'ils gardent jalousement quelques bonheurs qui nous attendent. Bises Marine
SupprimerSi secret comme un trou de lézard sur une pente herbue, en haut, juste le ciel...
SupprimerMerci Bizak !
Que c'est joli ! Merci belle âme.
Supprimerà bientôt de vous lire.....
RépondreSupprimerDe vous lire aussi ...
Supprimer"absent pour quelques petits jours,"....
RépondreSupprimer" Comme les pierres elle-mêmes ont parfois besoin d'eau
Ainsi j'ai parfois soif d'absence pour mieux te retrouver
Dans les plis du nuage à l'orée des vergers
Quand les pousses d'avril démentent les fagots" ( André Verdet
A bientôt bizak, bisous
Quel joli poème qui me laisse rêver des jours bleus, un printemps à l'orée des aubes vertes quand le soleil se met frémir. Merci noelle pour ta gentillesse qui m'enchante beaucoup. Bisous
SupprimerUn petit signe pour te dire que les étoiles brillent dans mon ciel comme dans le tien.
RépondreSupprimerElles attendent que tu reviennes poser tes mots sur cette page où tous tes fans s'ennuient de toi.
Bisous célestes, cher poète absorbé par la nuit
¸¸.•¨• ☆
Oui, mon blog commence à germer. Etant à cours d'inspiration, je préfère picoter par-ci par-là, les blogs amis ou autres. Merci Céleste pour ta visite. Bisous
Supprimerbizak, merci de "picoter" !
RépondreSupprimerBisous
Ah! chère noelle, comme cela me fait plaisir de te voir revenir. Bises à toi
SupprimerOui on aime bien quand tu picotes...entre deux frères Karamazov... ;-)
SupprimerDouce pensée
¸¸.•¨• ☆
Entre deux frères Karamazov, avec les cheminements littéraires et psychologique de Dosto, et une traduction kafkaïenne, j'ai pas fini d'escalader la montagne russe. Bises à toi
SupprimerUn bon week end en passant....
RépondreSupprimerMercic Alezandro, pareillement à toi.
SupprimerUn silence n'est pas une absence mais une respiration.
RépondreSupprimerCelle d'automne est colorée.
Bien amicalement.
Quelle visite amicale ! tes mots , je les entends comme un murmure d'une belle rosée baignant la maîtresse du jardin :La rose !
SupprimerBien à toi, Colo
""La pensée vole et les mots vont à pied.
RépondreSupprimerVoilà tout le drame de l'écrivain."
Julien Green
Bizak, c'est vrai ? bisous
Assurément, chère amie noelle,nous nous sentons toujours envolés quand nous rêvons, mais nous suivons les sentiers de nos cœurs pour humer les parfums de la terre.Merci pour cette belle citation, comme d'ailleurs toutes celles que tu décroches de tes mains perlées pour nous les offrir. Bisous noelle
SupprimerMerci bizak !
RépondreSupprimerUne belle journée !
Bisous
Merci aussi, noelle, bisous
SupprimerOui, Bizak, "Un silence n'est pas une absence, mais une respiration"... j'aime les mots de Colo.
RépondreSupprimerUne pensée pour toi, en te souhaitant un doux dimanche !
Bisous.
Den
Oui je te rejoins Den dans cette belle citation. Merci pour ton passage, comme un rai ambré de lumière.
SupprimerBelle journée
Bisous
Dis donc, tu volètes loin et longtemps :)
RépondreSupprimerBisous!
Je volète ! je volète ! il faut bien que j’atterrisse un jour sur ma belle planète.
SupprimerMerci Edmée
Bisous
" Quelques mots pris au vol" d'une tempête grise cachant le bleu, le blond et la douceur des heures; quelques mots en partage pour ne pas oublier la profondeur du ciel, de la vague marine et les oiseaux tout blancs messagers de l'instant...
RépondreSupprimerLes nuages, ces passagers du vent qui somnolent sur nos épaules éreintées, aiment à nous griser notre tempérament soûl. Parfois, ils nous aguichent et nous sourient dans leur peau blanche scintillante comme la neige sur la montagne . Merci de ton passage poétesse.
SupprimerLe gout de l'écriture s'en est allé, mais tant qu'il reste celui de la lecture, c'est merveilleux. Je reste persuadée que la lecture opère en nous silencieusement. Il faut quelque fois du temps à un poème pour qu'il voit le jour, bien caché, enfoui qu'il est derrière les nuages.
RépondreSupprimermerci pour tes mots déposés dans mon univers.
Je te rejoins parfaitement El Linda, la lecture apporte beaucoup. Comme si on se laisse être envahi par un vent nouveau venu des quatre coins du monde et qui nous apporte parfois des réponses inattendues et pourtant tellement simple si on avait pris un peu de temps pour lire en nous. Ravi que tu reprennes ton blog chère poétesse.
Supprimeressai
RépondreSupprimerNoelle
Bonjour bizak
RépondreSupprimerLecture...hier j'ai quitté Flaubert et son voyage dans les Pyrénées...des sentiers que j'aime !
Bises, bon dimanche !
Noelle
Je vais de suite lire ton voyage aux Pyrénées qu’y avait un jour Flaubert, décrit et raconté dans ses carnets de voyage. Merci de tes passages noëlle, le temps ne m'avait pas permis de te répondre rapidement, j’étais et je le suis encore, plongé pour les besoins de travail, sur « Les frères Karamazov », et Dieu sait que le chemin est long, avec les péripéties dostoievskiennes. Bises.
SupprimerUn travail " sur « Les frères Karamazov "?? passionnant!
RépondreSupprimerBizak, merci pour ta balade sur les sentiers des Pyrénées !
Je t'embrasse
Noelle
Oui passionnant chère Noelle. Pour la balade, le plaisir c'est toi d'avoir en parlé. je t'embrasse aussi.
SupprimerMême si nécessaire pour toi, elle est longue, très longue, trop longue pour nous cette pause que tu nous imposes. Nous avons hâte de te relire et de retrouver ici la chaleur de ta poésie. La Vie est belle même lorsqu'un oisillon vole vers d'autres soleils. À tout bientôt Prince de désert.
RépondreSupprimerTu ne peux imaginer combien ton com m'a fait grand plaisir, en ouvrant mon blog, ce début de soirée. Oui, tu as raison, la pause traîne en longueur, et va même en dents de scie. Le travail me prend beaucoup de temps et aussi parfois, les mots peinent à venir comme d'antan, disons que je suis peut-être arrivé à la croisée des chemins, où je sens du surplace; manquand d'inventivité, ne sachant quel élan prendre pour rebondir vers des horizons plus doux. Peut être aussi, est-ce une sorte d'essoufflement, mais je laisse le temps au temps et l’éclaircie apparaîtra dans toute sa splendeur, en tout cas je l'espère. Merci chère amie Chinou. Je vous lis de temps à autre, je ne vous oublie pas. Bisous
Supprimer"Quand reviendras-tu ?
RépondreSupprimerDis ! au moins le sais-tu ? Voilà combien de jours... voilà combien de nuits..." petite balade chez toi en écoutant Barbara...
Une bise bizak
Noelle
Je ressens de l'inquiétude devant cette longue pause.
RépondreSupprimerJ'espère que tu vas bien depuis l'envol de ton oisillonne hors du nid.
Tes fans t'attendent. On t'attend. Je t'attends.
¸¸.•*¨*• ☆
@ Noelle et Célestine: Je viens ! je viens ! Je suis encore plongé dans les mystères de la vie russe du 19eme siècle. Les frères Karamazov devant la justice injuste ; elle me lamine devant tant d’abjections dans leur système judiciaire abracadabrant. Quand Dostoievsky étalait les absurdités d’une époque où l’esprit libre était déjà un forfait en soi. Vivement que je rejoigne le monde d'aujourd’hui, même avec ses turpitudes. Merci mes amies de vos inquiétudes et de vos charmants appels, j’en suis très honoré.
RépondreSupprimerBisous à vous.
bisak, j'ai beaucoup aimé "Maudit soit Dostoïevski," Le crime et châtiment afghan"
RépondreSupprimerbeau et fort, grave, absurde et désespéré.... d'Atiq Rahimi
Bises
Noelle ( je ne peux poser un com qu'avec Anonyme ?"
Je n'ai pas lu ce roman de d'Atiq Rahimi qui traite de la situation tragique en Afghanistan en faisant un détour par le célèbre roman "Crime et châtiment"de Dostoievsky. Comme avec le crime commis sur une vielle femme de Dostoievsky, le crime en Afghanistan aurait -il le même impact psychologique sur le coupable en tuant une usurière en Afghanistan, là où la femme est moins que rien ?
SupprimerMerci Noelle , je lirais bien ce roman.
Un petit coucou et à très bientôt de vous lire!
RépondreSupprimerOui, à très bientôt, Alzandro, merci.
SupprimerMoi j'avais beaucoup aimé l'Idiot.
RépondreSupprimerPeut-être parce qu'il me ressemble ...
¸¸.•*¨*• ☆
Idiot au sens russe, c’est niais ou candide. Dans ce roman, Dostoievsky décrivait la société des hommes, complexe, cupide, matérialiste et grincheuse et le niais qui faisait face à ces dérives, en ne pensant qu’au bien, au bonheur, à la vie avec les déboires qu’il fallait supporter. Un roman que j’ai lu il y’a bien longtemps. Hypersensible, tu l’es par contre et ce n’est pas facile avec les zébus d’aujourd’hui, d'être empathique ni souriant. Bisous
SupprimerOh oui, c'est tout à fait cela !
Supprimerheureusement il reste les poètes ...les vrais, ceux qui écrivent la vie avec la sève des arbres et le nectar des fleurs...
Bisous♥︎
¸¸.•*¨*• ☆
Excuse-moi pour ce petit contre-temps , blogger me fait des siennes. Je ne sais si je suis poète, mais je sais que les mots m'accrochent et me parlent et j'aime les faire partager quand ils peuvent dire ce qui vient de mon coeur. Bisous à toi
SupprimerEt tu volètes encore, il me semble que tu fais plusieurs fois le tour du monde, mais ça va te muscler les omoplates, ça c'est certain :D
RépondreSupprimerJe volète, je volète et je ne m'arrête plus. Il est temps de faire une pause de la Pause. Pour mes omoplates, si elles se musclent, ça me donnerait un bon galbe. Bises
SupprimerBonjour Bizak, je passe te souhaiter un tout bon début de mois de décembre en souhaitant que tout va bien pour toi. Un grand merci de tes doux passages chez moi, quel plaisir de te lire, vraiment ♥
RépondreSupprimerAgréable week-end et plein de petits bonheurs.
Bisous ♥
Je passerai chez toi, aussi longtemps que tes paysages qui pavoisent ton blog sont un adoucissement pour nos yeux et qui, parfois sont aussi bariolés de superbes nuages. Merci pour tes tendres mots Denise. Bisous et beau weekend.
SupprimerParfois on choisit de se taire, de ne pas dire, parfois on sourit avec des mots qui chantent même si on a du poids dans le coeur, il faut faire comme on le sent Bizak, ensemble on regardera les merveilleux nuages et voilà tout en attendant l'éclaircie !
RépondreSupprimerBonne journée
Oui, il faut laisser les choses aller comme le désir vient. L'éclaircie est au bout du chemin. Merci Marine. Belle nuit.
SupprimerEh les amis ! je crois que BIzak attend que le compteur arrive à cent...
RépondreSupprimerAlors un petit effort et il nous reviendra ! ;-)
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La pause est comme un repos des anges, plus on s'y habitue, plus on s'y plait et cela devient de la paresse lénifiante et langoureuse.Voleter par-ci par-là, même si le temps parfois est serré, me permet de ne pas complètement être hors du circuit blogoesque.
SupprimerVole, mon ange, et reviens te poser parfois sur mes pages...et j'en serai heureuse.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je suis plutôt un beau diable mais si tu me vois en ange, alors toi, tu l’es beaucoup plus. C’est Frédéric Dard qui disait : « On ne fait pas un bon ange sans avoir été démon. »
SupprimerTu trouves toujours chère Céleste, les mots lumineux qui donnent de la joie au cœur et je le voyais chaque fois dans la prunelle de tes yeux. Merci
Bonsoir Bizak,
RépondreSupprimerIl est 20h35 en Martinique, et je me délecte de tous ces commentaires en soutien à ta "pause forcée" du moment et j'esquisse un grand sourire ! D'abord parce depuis ta muse est revenue plus rare, plus sauvage, plus belle encore alors je me dis que ce n'était qu'un temps certes difficile à passer mais qui en valait la peine. Et puis en plus je me sens si chanceuse de mettre ton compteur à 100 ! Comme un deuxième cadeau surprise qui me tombe du ciel après ton message sous un de mes poèmes le plus cher à mon coeur !
Amitiés poétiques
Le chiffre 100 soulève toujours une importance symbolique et quel qu’en soit le domaine, et cela me fait plaisir que tu sois la 100ème, à butiner dans mon jardin, comme un marqueur indélébile de ton passage. Je crois que je n'ai pas atteint ce chiffre symbolique jusqu'à ce que tu apparaisses tel cet ange bienfaiteur aux célestes présages. Je suis toujours admiratif pour tes mots joliment dentelés et subtils comme un froufroutement d'ailes de colombe.
SupprimerMerci
Bises amicales, Marlène