"Il y a quelque chose dans la poésie qui est plus important que le sens : la résonance." Marina Tsvétaïeva
jeudi 21 juillet 2016
Sur la route de mes espoirs !
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve la réalité !
Antoine de Saint-Exupéry
Chaque jour je reçois un brin de lune
Et de tous les brins amoncelés
J'ai tissé une géante lune
Qui m'aide à lire dans ses yeux
J'aperçois une multitude de rêves
Qui se démènent frénétiquement
Dans la joie de leur fougue inouïe
J'en ai saisi quelques uns exaltants
S'accrochant vivement et éperdument
A me suivre dans les cascades de la vie
Depuis je n'ai cessé de parcourir
Le monde et le cosmos tout entier
Les océans,les montagnes, les forêts
Là où vivent les étoiles luisantes de lumière
dimanche 17 juillet 2016
Perdu, un moment de vie !
La vague déferle sur les hommes
Elle broie les corps endoloris
La vie se lasse de ces traquenards
Les fleurs se fanent douloureusement
Elles sont crispées dans leur colis
lundi 11 juillet 2016
Ode aux choses simples
Et que dans la douceur de l'amitié, il y' ait des rires et un partage des plaisirs. Car c'est dans la rosée des petites choses que le coeur trouve son matin et se rafraîchit.
Djibran Khalil DjibranUn doux matin qui resplendit
Comme un sourire ineffable
Sur des lèvres embuées
D'une effigie douce et pure
Le regard gracieux de la colombe
Me pénètre comme un air mélodieux
Fait de silence et de susurrement
Son teint tempéré dégage une lumière
Adoucissante et diaphane
Il me prend de contourner le soleil
Pour m'apaiser sous son ombre
Il fait bon de sentir les caresses
D'une douce brise de jour naissant
Sous le sourire d'une grâce éternelle
lundi 4 juillet 2016
Une belle escapade !
Le bonheur quand il est partagé, laisse des traces dans nos mémoires, nos cœurs et revient un jour sur ses pas.
Pour le plaisir d'offrir ces mots en partage à deux superbes amies parties en escapade et revenant avec le coeur plein de cadeaux : Célestine et Chinou
Sur le chemin de la vigne et des genêts
Deux compagnes partent cheveux aux vents
A la rencontre du bonheur et du festif
Elles laissent leurs ombres derrière elles
Pour s'étendre entre ciel et terre
Dans l'ivresse de l'inconnu et de la liberté
Comme des cigognes blanches en vol.
Vers de lointains et beaux horizons
Elles longent des montagnes et des prés
Des défilés escarpés et des passerelles
Gagnés par l'ombre oubliée du soleil
Elles rêvent de marcher sur la lune pieds nus
Elles sifflotent aux étoiles dans la nuit éclairée
Elles batifolent dans la mer limpide de Palavas.
Comme un vieux souvenir du temps passé
Le clocher mur à Frouzet, claironne dans la joie
La fontaine abreuvoir de Gignac attire les regards
Elle continue de sourire aux équidés de passage
Sans oublier celle des trois grâces qui murmure
Des saccades rythmées sur la place de la comédie.
Quand arrive l'heure du goûter
Elles le partagent avec moineaux et pigeons
Elles le doivent bien aux fleurs, aux roseaux et aux ruisseaux.
Au soir de retour de leurs randonnées
Quand harassées de tant de paysages magiques
Jusqu'à effleurer le syndrome de Sthendal
Elles prennent, qui un crayon, qui un pinceau
Pour relater sur une pierre, un nuage, une feuille
Tous les joyaux que la terre recèle.
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