" O triste mer ! sépulcre où tout semble vivant ! "Victor Hugo
" Des mots, une histoire " d' Olivia Billington - 3 -
Les mots retenus et à placer dans un texte sont au nombre de dix : ubac - fluidité - aboyer - berger - geste - feu - poussière - onde - retour - éteindre - chamade
Sereine est la mer qui sillonne les rivages
Comme nous donnant écho de la geste*
De ces vagabonds des mers disparus
Que nos cœurs espèrent encore vivants
Elle se morcelle avec fluidité et caresse
Sur les pavillons du sable noyé et coloré
Dans tous ces silences apaisants, songeur
J'appréhende parfois l'onde de ses vagues
Qui longuement s'étiolent et s'éteignent au retour
Mais peuvent sourdre tel un feu nourri et exploser
En mille poussières d'embruns éclatés.
La mer, ses flots en moutons galopent au loin
Comme dans une prairie sauvage et offerte au ciel
Ne connaissant ni berger ni même chien pour aboyer
Et ainsi assagir leurs soubresauts bouillonnants
Ils ne manquent ni de ressource ni de génie
Ils glissent dans les récifs les plus caverneux et profonds
Que même le soleil ne s'y loge et ne s'y aventure
Préférant sonner la chamade et se braquer aux ubacs
*Geste (la geste) : Ensemble de récits épiques relatant les hauts faits de héros dans la mythologie. Poèmes décrivant les épopées des héros de l'antiquité.
La mer sait être sereine et légère, elle peut être débordante d'amour, mais elle peut aussi déborder de colère, elle peut devenir dangereuse, et à ce moment-là, il vaut mieux la fuir et attendre qu'elle retrouve son calme.
RépondreSupprimerTu as parfaitement réussi cet exercice, Bizak. Bravo ! :-)
Belle semaine à toi, bisous.
La mer, dans tous ses états ! elle vit dans toute sa splendeur et tous ses débordements, il faut bien la respecter.
SupprimerMerci Françoise pour ta gentillesse.
Bisous
La mer est un être vivant, pleine de charme et de fascination. Pleine de contradictions aussi. Parfois douce et parfois violente.
RépondreSupprimerQuand elle se déchaîne, c'est vrai, elle est comme un troupeau d'animaux indomptables.
Peut-être parles-tu aussi métaphoriquement de notre état mental, qui nous entraîne parfois dans des tempêtes que nous avons du mal à contrôler, et qui s'apaise ensuite pour dévoiler des plages splendides : celles de la paix intérieure.
Quoi qu'il en soit, ton poème est beau et les mots s'y insèrent tout naturellement avec la grâce des mouettes.
Je t'embrasse en bisous étoilés, cher poète.
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La mer ! c’est tout à fait vrai, elle est aussi délicate qu’elle pourrait être imprévisible. Elle est maîtresse de tout son espace, elle a une âme aussi, comme tu sembles le suggérer, N'est-ce pas que nous lui ressemblons comme deux gouttes d’eau….d’océan.
SupprimerMerci d’aimer mon poème.
Bisous
J'aime tous tes poèmes depuis toujours, mon doux Bizak.
SupprimerTa poésie ne triche pas, elle coule comme un rayon de soleil sur un chemin d'été.
Elle emmène tes lecteurs dans un monde à part, peuplé de rêves.
Comme pour un weekend à Rome ou un tour sur la lune ;-)
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C'est un poème dans un poème que tes mots planants et virevoltants, tu sais dire les mots qui font tilt à mon coeur, et pourtant je dois raison garder ne pas me prendre la tête. J'ai toujours aimé aussi tes mots foisonnants de clairs de lune et grappillés en de simples brindilles pour se transformer à ton toucher en pépites d'or. Tu m'as toujours fait voyager avec tes mots, Muse d'antan aux mots gravés et non émoussés.
SupprimerUn petit coucou en passant
Supprimerde la muse d'antan
les voyages sont toujours là, même si l'écho de la lune est moins fort, nimbée d'un halo de brume.
Je t'embrasse, en espérant que tout aille bien pour toi...
Bises d'étincelles
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Joli poème écrit au rythme des vagues ;-)
RépondreSupprimerMerci Patch Cath
SupprimerBien à toi
Il n'était pas évident de placer ces dix mots, et tu y est parfaitement arrivé, comme si le poème avait été écrit librement, sans aucune consigne. Le mouvement de la mer, des vagues, du soleil, est décrit avec beaucoup de lyrisme,et les images, les comparaisons, sont réellement saisissantes.
RépondreSupprimerCertainement beaucoup de travail, mais il en valait la peine!
Oui c’est vrai, je l’ai écris « presque » comme s’il n’y avait pas de consigne ! disons, cette fois-ci, les mots par rapport à ceux précédents, n’étaient pas aussi torturants, mais ça reste quand même une belle gymnastique cérébrale.
SupprimerMerci Antoine, tes éloges me vont droit au coeur
Comment arrives-tu à faire de si jolies poésies avec des mots pareils ?
RépondreSupprimerJ'aime tout particulièrement les poussières d'embruns, c'est doux.
J’ai tout simplement du plaisir à participer à tes mots, une histoire... mais aussi un poème.
SupprimerCela me fait aussi plaisir que tu aimes mon exercice.
Bien à toi Olivia
J'aime beaucoup cette mer sans berger ni chiens aboyeurs... Tu as inséré les mots avec une telle souplesse, c'est fluide et délicieux...
RépondreSupprimerRavi que tu lui trouves, à ce poème quelques envolées réussies. Venant de toi, je prends !
SupprimerC’est toujours agréable de te lire Edmée
Comment ne pas être subjuguée à mon tour par ce tour de force poétique!
RépondreSupprimerAh ! si je te dis que j’en rougis pas, je mentirais ! Merci de tout cœur Marie
SupprimerTes écrits sont tout aussi subjuguant.
J'aime beaucoup cette image"La mer, ses flots en moutons galopent au loin
RépondreSupprimerComme dans une prairie sauvage et ouverte au ciel". Bravo pour l'exercice.
Ravi que ces deux vers te plaisent et te charment particulièrement, Daniel
SupprimerMerci
QU'importe les mots quand on a une jolie plume !
RépondreSupprimerAvec toi bizak, tout ce transforme en un très beau poème !
Merci ! bisous
Comme cela me réjouit ! tout est là : qu’importe les mots, l’essentiel est dans le plaisir, plume jolie ou pas.
SupprimerTu m’en vois ravi aussi, j’avais presque pensé : tout se transforme en or !
Merci pour ta délicatesse, Noëlle
Mes bises.
Tu as su jongler avec talent avec les mots pour nous peindre les émotions changeantes de la mer...
RépondreSupprimeroui parfois
Le silence de la mer
est un murmure léger
qui ouvre
les portes de la contemplation
sur des mélodies d'ailleurs
La mer a des silences
où rougeoient encore les braises de l'enfance
à l'orée des souffles de vent
Parfois aussi elle a ses colères
et ses violences venues des profondeurs de ses gouffres
Marie
Merci pour ton si joli poème qui confirme la valse à mi-temps de la mer assise sur deux chaises.
SupprimerBien à toi Marie
Hello Bizak,
RépondreSupprimerJe n'ai pas encore joué sur celui-là, je vais y réfléchir ce soir. Ma muse étant restée en vacances, je suis ravie de m'occuper l'esprit autrement. J'ai vraiment adoré ton poème qui nous rappelle avec une grande finesse que la mer n'est pas que belle !
A demain donc, si je parviens à relever ce nouveau défi !
Bonsoir Bizak,
RépondreSupprimerMe revoilà gonflée à bloc et je te dois un grand merci car me prêtant à ton jeu de mots, quelques vers qui me plaisent bien ont germé et je vais voir si je peux en faire un poème.
Mon coeur bat la chamade, Ô retour de feu fruste !
Quand réduit en poussière il me fallut l'enfouir
A l'ubac de l'amour, d'élans de s'éblouir
Aux chants d'un doux berger, des ondes de son buste
Comment puis-je l'éteindre envers sa quiddité
A nouveau d'aboyer avec fluidité.
Bonne soirée, cher poète.
Pas mal, tout ça, Monsieur.
RépondreSupprimerLa mer dans tous ses états est Très élégamment décrite!
Chapeau !!! Bravo Bizak pour cet exercice de style très réussi, il ne doit pas être simple de le mener à bien en poésie ! Bel après midi inspiré. brigitte
RépondreSupprimerLa mer dévore dans ses vagues les douleurs de nos nuits malades, les silences de nos mensonges, les erreurs de nos amours.
RépondreSupprimerElle nous lave, nous débarrasse de nos incertitudes.
Et quand elle rougeoie le soir, c'est notre sève toxique qui s'évapore vers des promesses bleues.
Joli travail qu'est ton texte.
Des vers comme de douces vagues venant lécher la grève, loin des jours tempétueux, des tristesses.
RépondreSupprimerJ'y entends l' apaisement des soirs aux rayons d'or.
C'est un beau voyage que tu nous offres là et je t'en remercie.
Bravo Bizak, non seulement tous les mots y sont (je blague) mais surtout ton poème est plein d'images qui me parlent tant, moi qui vis entourée de mer.
RépondreSupprimerMerci et excellent week-end.
Défi relevé. Bravo, l'ami. Superbe poème.
RépondreSupprimerJamais l'ubac sans adret, pour faire une belle montagne.
Belle soirée en toute amitié.
Roger
Un petit coucou, cher poète.
RépondreSupprimerJ'espère que tu vas bien.
Bises du soir.
Tu maîtrises admirablement les mots imposés au travers de la poésie qui t'es si chère... Je suis toutefois plus touchée par tes mots spontanés, et ta prose, telle que tu la déroules sous "la clarté lunaire", me traverse ♥
RépondreSupprimer....trop de jours, trop de mois, absente.... interruption non choisie.
RépondreSupprimerEncore en convalescence, mais je vais mieux..... j'aurais pu ne plus être parmi vous.. vous me manquiez....
Toujours ton immense talent Bizak qui m'atteint tant...bisous.
Den
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerDans l'attente de ton retour, je te souhaite un bon 1er Mai ainsi qu'à tous tes amis.
Mes Amitiés
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://m.youtube.com/watch%3Fv%3DgZFvqswQPYE&ved=2ahUKEwjC_Ou93PnhAhXHaFAKHSnmDR4QwqsBMAJ6BAgKEAw&usg=AOvVaw07yZqko4wa3PT5dWaWm70O
La poésie est tellement malmenée, que j'aime te savoir dans le jeu des mots et dans un bain de poésie. Tout cela, sent l'amour de la vie. C'est un vrai bonheur de lecture.
RépondreSupprimerAmitiés.
Roger
Douces pensées en étoiles, comme une pluie de lumière...
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ou se cache le poete ?
RépondreSupprimerJe t'embrasse bisak
Un petit coucou, Bizak.
RépondreSupprimerJ'espère que tu vas bien (?) et que tu vas bien vite nous revenir.
Je t'embrasse.
Une pensée amicale pour toi bizak ... j'espère que tout va bien.
RépondreSupprimerBisous.
DEN
Un coucou du Poitou
RépondreSupprimerJe relis parfois certains de tes poèmes
Amitiés
Tu inquiètes tous tes lecteurs cher Bizak.
RépondreSupprimermais je sais que tu nous le dirais si tu avais décidé de ne plus écrire.
Tendres bises de lune
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
A mes chères lectrices et lecteurs : Vos passages et vos mots sont des rayons de lumières d’un soleil longtemps ravi par les nuages et sentir votre présence sur mes lignes bloguesques m’émeut et me réjouit. Ce silence de ma part est du à quelques réajustements de ma planète pour que le ciel puisse me laisser encore jouir de mes étoiles si souvent exilées et voilées.
RépondreSupprimerJe vous embrasse toutes et tous.
Amicalement.
Un poème en passant :
Je tourne, tourne, mes pages de la vie
Mon Dieu que l‘horizon est si loin
Je cueille chaque jour des yeux blafards
Sur le toit de ma mélancolie silencieuse
Oh ! toi la lune cesse tes vagabondages nocturnes
Le soleil là-bas est tout retourné
Je voudrai comprendre mon amertume
Tant de nuages me sidèrent et me cisaillent
Et pour finir, j’ai espoir de ce que dit Aragon :
Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
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RépondreSupprimerBonjour Bizak,
RépondreSupprimerSi facile de s'habituer quand on aime
C'est difficile le manque quand on aime
Te voilà revenu de tes maux sans magie
Te voici revenu avec cette magie dans tes mots
Alors commence l'été…
Bises cher Poète
Merci de nous avoir donné de tes nouvelles cher Bizak, même si tes mots (très beaux) sont empreints d'amertume et de tristesse.
RépondreSupprimerJe te souhaite de retrouver le sourire et l'envie d'écrire à nouveau, je te souhaite de retrouver la joie, cher ami poète. Je t'embrasse très fort.
Ravie de lire que tu vas bien, cher poète, malgré ton silence.
RépondreSupprimerMais la vie est faite de longues plaintes, de murmures, de cris joyeux et de silences entre deux.
Puisse ta planète se réajuster dans son tourbillon, pour nous donner de nouvelles étoiles de mots.
Je t'embrasse bien affectueusement
¸¸.•*¨*• ☆
Cette mer si variée qui n'est pourtant qu'unité!
RépondreSupprimerN'avais tu point parlé d'un certain projet qui devrait arriver à terme en ce moment ou peut être le mois prochain ? Je trouve ta page en apnée et cela est inquiétant.
RépondreSupprimerAmicales pensées.
"Un jour pourtant un jour viendra…" Un jour Bizak , c'est toi qui reviendra...je t'embrasse
RépondreSupprimerUn petit mot de toi, c'est un moment de bonheur qui rassure.
RépondreSupprimerL'espoir est là, dans tes vers.
Il faut laisser le temps au temps.
Bien à toi.
l'amer-hume détourne le chemin de la vie jonché d'épines... de nostalgie et de regret... et pourtant ce sont eux qui nous grandissent et nous apprennent l'être et le temps.... je t'espère en pose temporaire et attends tes mots et ton sourire qui nous manquent... Bien amicalement. Den
RépondreSupprimerBonjour Bizak,
RépondreSupprimerje suis heureuse d'avoir trouvé tes mots, car je venais souvent ici voir si tu étais revenu.
Parfois, la vie nous oblige à nous recentrer sur l'essentiel... La vie est le maître.
J'espère que pour toi elle est malgré tout paisible.
Bien amicalement
Bizak, tu me/nous manques!
RépondreSupprimerToujours pas de bizak.... alors ?
RépondreSupprimertes mots nous manquent !
bien amicalement
Toujours pas de bizak…
RépondreSupprimerbizak , juste un petit bonjour
Une bise
Bizak? Bonjour. ;-) Prends bien soin de toi. Bises alpines.
RépondreSupprimerEst-ce que ta planète retrouve peu à peu le chemin des étoiles que tu nous fais partager ?
RépondreSupprimerC'est peu dire que tu nous manques... Puissent la fin d'année et ses fêtes t'apporter chaleur et douceur, et joie.
RépondreSupprimer♥
En espérant que tu vas bien, Bizak et que tu nous donneras bientôt de tes nouvelles, je te souhaite une belle fin d'année. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerJe viens à pas de chat te souhaiter de belles fêtes de fin d’année
RépondreSupprimerEt je t’embrasse cher Bizak qui manque à tout le monde 😚
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
" cher Bizak qui manque à tout le monde" moi aussi je viens te souhaiter de belles fêtes de fin d'année, j'espère surtout que tu vas bien !
RépondreSupprimerJe t'embrasse
@ A toutes et a tous, très chers(es) amis(es) : Merci pour vos vœux, vos mots délicieux, vos mots d'amitié, ils me vont droit au coeur ! Vous me manquez aussi, j’espère bientôt reprendre mes pérégrinations bloguesques.
RépondreSupprimerJe vous souhaite une belle fin d'année et mes vœux les plus sincères pour la nouvelle année.
Je vous embrasse de tout mon coeur.
Bonne et heureuse année
RépondreSupprimerEmportons dans nos bagages pour 2020 :
du Bonheur pour Partager
de la Douceur pour Aimer
des Amis pour Ecouter
de la Paix pour se Reposer
du Soleil pour Illuminer
de la Force pour Supporter
de la Santé pour Avancer
Heureuse année Bizak ! j'espère te revoir très vite !
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Nous approchons de la date anniversaire... J'espère profondément que tu vas bien. Je t'embrasse. ♥
RépondreSupprimerMarie, noelle, La Baladine, quel bon moment en ce jour du 08 mars qui symbolise vos luttes et sacrifices pour vous souhaiter une société meilleure où la femme retrouvera les mêmes droits que tout autre être, et avancer encore pour d'autres victoires et en finir avec ce silence sidéral envers la femme qui heureusement, éclate aujourd'hui au grand jour pour parfaire une justice qui, longtemps a été souvent à double vitesse où même sourde à l'égard des femmes. Je vous demande pardon mes amies, noelle et Marie pour ce long retard à vous répondre, vous remercie par la même occasion ainsi qu'à à toi mon amie Labaladine pour vos mots juste beaux et pénétrant profond mon coeur.
RépondreSupprimerJe vous embrasse.
@ Un surcroît de travail m'éloigne présentement de la blogosphère mais je pense reprendre incessamment. Merci
A Bientôt bizak ! tes mots me, nous manquent...
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Noelle
Cher Bizak, que de choses bouleversées depuis ta réponse, qui date pourtant d'il y a peu... Je t'envoie des myriades de petites ondes positives, et des bises qui font mmph ♥ Prends bien soin de toi, cher poète.
RépondreSupprimerNous sommes entrés dans le deuxième mois de confinement... Peux-tu envoyer un petit message? Un mot? Savoir que ça va, que tu vas? En tout cas sache qu'il en est qui attendent... Et j'en suis. La baladine sdarraux@gmail.com
RépondreSupprimerMême si c'est pour dire m.... en 5 lettres bien senties! Parce qu'entre le 8 mars et le 20 avril, mine de rien, l'incessamment se fait long...
Baiser très très sincèrement amical mais en manque quand même.
C'est une belle piqure de rappel de ta part pour l'"incessamment" qui dure...dure, comme ce satané virus qui n'en finit pas de nous en faire voir de toutes les couleurs. Depuis le 8 mars, que d'eau a coulé sous les ponts, et tant de bouleversement ayant eu lieu dans le monde, tant de dire pour expliquer, réexpliquer pour comprendre ce qui nous arrive, mais rien n'y fait on est bien confiné pour un bon bout de temps, chez soi. Je suis plongé dans des corrections de littérature pour un sieur éditeur, et la déconcentration n'y aide pas à avancer ni pour être présent à un rendez-vous bloguesque au vu de notre état second présentement. Je ne te dirais pas m...en 5lettres, j'ai beaucoup de déférence et de révérence pour ton intelligence et je t'avoue que je te lie, même si je ne commente pas, je n'ai pas la concentration pour écrire gaiement et joliment ma prose.Mais sache que ce n'est pas l'envie qui m'en manque.
SupprimerBaiser très amicalement, ma très chère Amie avec un petit signe à Noelle, dont je n'ai pas aussi répondu à ces mots aimables qui me touchent aussi.
Merci chère amie pour ta bienveillance et ton badinage enthousiasmant et revigorant.
Heureuse et soulagée je suis, de te lire et de constater que si tout n'est pas au mieux, tu ne vas pas mal. Correcteur, quel beau métier! Je te laisse te concentrer, avec un flot de pensées douces et encourageantes. Je t'embrasse.
SupprimerMerci pour tant d'amour qui fleurit en toi en ce beau printemps.
SupprimerMerci pour tant de mots gracieux qui me touchent.
Je t'embrasse.
Oups! Dans mon premier commentaire du 20 avril, une erreur s'était glissée dans la précipitation,il fallait lire: Je dois t'avouer que je te "lis" et non (lie) et ce n'est pas un subjonctif bien sûr.
SupprimerAvec toutes mes excuses...!
Content de lire de tes nouvelles à travers tous ces commentaires.
RépondreSupprimerCher Bizak, je te souhaite le meilleur pour ta vie.
Je forme le souhait de pouvoir te relire bientôt, et je comprends que c'est peut-être difficile de cueillir l'inspiration en ces temps restrictifs, alors qu'elle se doit d'être explosion vers l'extérieur.
J'entendais ce matin à la radio des artistes s'exprimer en ce sens. Le confinement leur offre des temps de liberté et de créativité après lesquels ils couraient lorsqu'ils étaient en activité, et à présent qu'ils ont ce temps devant eux, l'inspiration ne vient pas…
Mon atelier d'écriture « en live » ne se réunit plus et pour cause. On échange donc par des mails collectifs. Mais c'est le même phénomène. Des consignes proposées par l'animatrice ne sont guère suivies d'effets. On échange des nouvelles mais on ne crée pas vraiment de textes.
Comme quoi, de la vie forme un tout qui ne peut se découper en rondelles.
Avec mon amitié fraternelle
Très juste, "la vie forme un tout qui ne peut se découper en rondelles". Elle, la Vie, finalement ne se décline pas en un tour de main par un ensemble d'actions à faire ou ne pas faire, elle se "vit"! c'est tout ! à chaque instant d'Elle, avec ses hauts et ses bas, ses surprises bonnes ou mauvaises. On n'est jamais sûr de rien, le contraire serait une bravade ou une outrecuidance. On ne réalise qu'après que rien n'est jamais simple, que le temps n'est jamais une donnée sûre, qu'il est juste une circonstance ou plutôt un report,une procrastination, je dirais, pour espérer réaliser un peu plus loin, ce qui pourrait( pouvait ?) être fait le jour même. Alors confiné, ou pas, quand on n'a pas l'âme à quelque chose, on s'invente juste des faux fuyants d'une manière indéterminée.
SupprimerMerci Alain de ton souhait pour le meilleur de ma vie.
Je sais que c'est sincère, donc je le prend garanti.
A toi aussi je te souhaite le meilleur de ta vie.
Je te lis presque souvent, je dois dire que tu manipules la plume agréablement, judicieusement et cela fait plaisir aux yeux et surtout à l'esprit.
Bien à toi cher ami Alain
Amitiés sincères.
Je viens ce soir te lire, vous lire...moi aussi j'ai abandonné mon blog depuis quelques mois, petits problèmes des santé...
RépondreSupprimerBizak , je t'embrasse, à ma prochaine balade, peut -être que tu seras là ! bonne soirée !
Bonjour cher Bizak,
RépondreSupprimerComme Soeur Anne à sa fenêtre, je guette je guette mais ne vois toujours rien venir ! 😜 J'espère que tu feras ce merveilleux cadeau pour Noël...
Je t'embrasse Poète
En attendant d'être" notre Père Noel " Bizak , je t'embrasse , envie de quelques mots...bon courage !
RépondreSupprimerBonsoir Bizak,
RépondreSupprimerJ'espère que tu vas bien. Je te laisse ce billet, histoire d'entamer l'année 2021 sur ton blog et qui sait t"inciter aussi secrètement à nous donner des news. Je suis fort occupée ces derniers temps, je rame un peu beaucoup pour peaufiner mon 2ème recueil alors je n'ai pas eu l'aubeine de venir te lire à rebours mais cela devrait s'arranger bientôt.
Prends soin de toi,
Bises
Bonsoir Bizak, j'espère que tu vas bien.
RépondreSupprimerBonsoir Bizak, toujours envie de quelques mots...
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Juste une bise...
RépondreSupprimerOù es-tu cher poète?
RépondreSupprimerTu nous manques!
Reviendras-tu ?
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerUne pensée en passant remplie d'espoir de te retrouver bientôt sur la toile.
Bonne Santé surtout
Amitiés éternelles
Bizak
RépondreSupprimerJuste un tout petit mot !
Je t'embrasse
Je passais...
RépondreSupprimerTout doucement...
Une bises en passant...
RépondreSupprimerBonsoir Bizak,
RépondreSupprimerA la veille de Noël je viens te présenter mes bons vœux pour le réveillon afin d'être sûre de ne pas oublier demain avec le rush de dernière minute surtout que je travaille. J'espère de tout mon cœur que tu te portes bien et que nous aurons bientôt de tes nouvelles même si en 3 mots.
J'essaierai de reprendre ma lecture à rebours après les fêtes en attendant je t'embrasse bien fort.
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerAvant la fin de Janvier, je viens te déposer mes vœux de santé et de bonheur pour cette nouvelle année. J'espère qu'elle sera le signe de nos retrouvailles et surtout celle d'un retour tant attendu à une vie à peu près normale après ces 2 hivers complètement embrûmés.
Je t'embrasse avec tendresse
Je me suis aventurée sur ton chemin, à petits pas, cher Bizak devenu trop silencieux, pour ne rien brusquer.
RépondreSupprimerTes mots me manquent, ta présence me manque... quand aurons-nous le plaisir de retrouver ta poésie que j'aime tant.
Je t'embrasse, sincèrement.
A bientôt.
Hello cher poète du bout de la mer
RépondreSupprimerOn compte désormais ton absence en années…le covid a-t-il eu raison de ta flamme ? Les mots de la poésie se sont-ils envolés avec le sable du désert ?
J’ai relu tous les commentaires. Il me semble que tant de lecteurs les aiment, pourtant, ces mots sertis de fougue et d’émerveillement.
Douces pensées de sollicitude
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ton absence est comme la cloche d'une église qui s'est éteinte.
RépondreSupprimerLe silence est glacial.
A la vieille de la fête des Mères
RépondreSupprimerJe t'envoie un bouquets gros de pensées.
Quelques mots de toi mêmes éphémères
Mes prières seront récompensées
Bonjour Bizak,
Comme Letienne et tous tes amis, je me noie dans ton silence absolu accrochée à une bouée d'espoir.
Mes amitiés sans fin
Oups...
SupprimerJe t'envoie un gros bouquet de pensées
Serais-je devenue dyslexique 😜😘
Bonjour Bizak
RépondreSupprimerTout comme tes autres amis, je suis inquiète de ton silence.
Je dépose des pensées pleines d'espoir en attente de ton retour.
Bien amicalement.
Je passais....et je t'embrasse, Bizak, comme tous tes amis, en attente de ton retour...
RépondreSupprimerBonsoir Bizak,
RépondreSupprimerMes pensées du mois de Juillet en espérant qu'elles te trouveront en santé.
Mes Amitiés fidèles
Une pensée rafraîchissante, j'espère, en ces temps de canicule.
RépondreSupprimerTon absence nous manque, tes mots nous manquent.
Dis, quand reviendras-tu bizak ?
Amicalement à toi.
Bonsoir mon cher Bizak,
RépondreSupprimerNous voilà déjà en Septembre et guette toujours ce petit message de toi qui me ferait tant plaisir aibsi qu'à tous tes amis. J'espère que tu vas bien et que tu auras envie de venir nous saluer bientôt.
Amicalement
Comment je ne profiterai pas de te saluer ma chère Marlène, ainsi que de saluer tous mes autres amis(es)d'avoir pris la peine de venir me porter tous vos mots si gentils. Je vous remercie grandement. Ce n'est pas de la condescendance ou du dédain, je vous l'assure ! Beaucoup de préoccupations m'ont perturbé tout le long de ces derniers mois mais heureusement sans grande conséquence, Dieu merci ! Un sentiment de lassitude et de besoin de me reprendre et de me canaliser un tant soit peu, de tous les " brouhahas" de la vie, m'ont fait éloigner de la blogosphère et de presque de toutes autres correspondances.
RépondreSupprimerJe vous remercie, Marlène, Françoise, Noelle, Den, Célestine et aussi les autres, pour toutes vos amabilités et vos bienveillances qui me touchent beaucoup.
Bizak qui vous embrasse tendrement.
Bonsoir cher Bizak,
SupprimerJe suis très heureuse de lire tes lignes et je comprends Ô combien ta lassitude que je ressens aussi avec l'envie de tout plaquer travail, famille et de partir m'isoler sur une île déserte mais le couage me manquant, la raison domine ! Je te souhaite de trouver une efficace soupape d'évacuation !
Bises
Cela fait bien plaisir d'avoir de tes nouvelles.
RépondreSupprimerJe comprends bien ce besoin de recentrage qui passe par des périodes d'éloignements relationnels. Non, ce n'est ni dédain ni condescendance, je te crois volontiers. Il est des nécessités pour se retrouver pleinement dans son intégrité qui font prendre un peu de distance sans pour autant s'éloigner par le cœur.
Alors nous t'attendons dans l'espérance, pour toi et pour nous.
Amitiés de longue date.
Je suis heureuse d'avoir de tes nouvelles, cher Bizak. Oui, il y a des périodes où nous avons ce besoin de nous éloigner du bruit, du monde, et de nous recentrer sur nous-mêmes. Prends soin de toi, et à bientôt de te lire, j'espère. Bien amicalement.
RépondreSupprimerCela m’a fait très plaisir de te revoir sur mon blog, cher Bizak. Tant d’eau a coulé sous les ponts depuis ton départ de la blogosphère. Heureusement tu es toujours là, bien vivant, et c’est bien.
RépondreSupprimerCelestine
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Bizak, tu es là ! on va peut-être bientôt te lire ! mais prends soin de toi ! je t'embrasse
RépondreSupprimerÇa fait décidément bien trop longtemps... En même temps, tout était dans ce titre "Sereine est la mer... pourtant". Ce "pourtant", plein du contraire de ce qui vient d'être affirmé, plein de doute et peut-être d'angoisse, ou de chagrin.
RépondreSupprimerN'empêche, tu me manques. Tes mots me manquent. Ta poésie. Ta lecture. Ta sensibilité. Ton empathie. Toi.
J'espère du profond du cœur que décembre te sera doux ♥♥♥
Hello Bizak,
RépondreSupprimerJe viens avant les fêtes te transmettre mes amitiés et te souhaiter des réveillons aux petits oignons !!!
Bises Poète
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerMais cela va faire 1 an ! Non je ne peux m'empêcher de te laisser ce petit message qui j'espère te trouvera en bonne santé. Je continue d'attendre ton retour avec un espoir toujours intact.
Bises
Bonjour Bizak , je passe par là après avoir moi-même été peu présente au sein de mon blog. J'espère que tu te portes bien et que ce retrait t'a été bénéfique, et t'a ressourcé.
RépondreSupprimerBises sur ton coeur, cher poète.
Arrive-t-il encore que l'auteur de ce blog passe par ici ?
RépondreSupprimerÔ Bizak, quel plaisir de te lire chez notre amie commune. Je t'espère en pleine forme physique et poétique. Au plaisir.
RépondreSupprimerBonjour Bizak,
RépondreSupprimerJe ne vois toujours rien venir et pourtant j'ai tellement hâte ! Merci de continuer à donner de tes nouvelles, c'est bon pour le moral.
Bonne semaine et à bientôt
Pas de nouvelles depuis le 14 septembre 2022... çà fait trop longtemps bizak... j'espère que tu vas bien, mieux,.
RépondreSupprimerAurons-nous bientôt un signe de ta part. Tes mots ta poésie me manquent.
Amicalement à toi..
C'est Den.
SupprimerNe peux que transmettre cet écho qu'en anonyme....
bonsoir une bonne nuit et un bon samedi bisous
RépondreSupprimer