La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d'aujourd'hui F.D Roosevelt
Je saurais me tirer de ses ailes douillettes
Elle qui me triture et m’emboîte mon destin
Que de nuits et jours mon coeur a eu à surfer
Sur des pas zigzagants et infinis
L'automne puis l'hiver
Puis le printemps puis l'été
On tourne en rond la lune s'endort
Le soleil roucoule
Mon âme voltige
Je saurais me tirer de ses ailes ébouriffées
Qui enserrent mes étoiles
Je ne puis laisser ma providence s'évaporer
Dans les nébuleuses éffritées
Par une nuit éclairée
Où les vagues déferlent portant
Leurs signatures rouges vives
J'aime ton poème, entre les ailes douillettes et les ébouriffées, je me suis un moment envolée Bizak
RépondreSupprimerBises
Prends ton envol gaiement marine D, et ne laisse ton coeur s’enivrer de poésie
SupprimerBises
Oh, quelle vérité. On a toujours les doutes, les petites peurs qu´est-ce que va se passer demain et on n´oublie de vivre le présent....malheureusement....et pourtant nos âmes ont besoin de s´envoler ....tu ne sais même pas Bizak, combien tes poèmes me caressent et me font du bien en ce moment....merci. Douce journée. ZaZa
RépondreSupprimerQuelles douces paroles que les tiennes chère amie, je suis heureux que mon poème te touche autan. Oui nos âmes ont besoin de prendre leur envol si loin où le vent les portera.
SupprimerMerci de ton passage ZaZa
Très belle soirée à toi
Un très bel ensemble photo poème
RépondreSupprimerBonjour, je découvre votre très beau blog grâce à votre visite et votre gentil commentaire
Merci et à bientôt ...
Merci de votre passage Jackie. Et merci aussi pour vos mots sur mon poème.
SupprimerBien à vous
Les pas de la vie sont souvent incertains, virevoltant entre nos saisons, nos espoirs et nos doutes...
RépondreSupprimerAlors, il nous reste à accrocher sur le bord de nos ailes des petites lucioles de bonheur cueillies au jour le jour sur l'écume des vagues de notre présent.
Comme tu sais bien dire ce qui nous étreint et nous ravit en même temps, chère poétesse. Tes mots en papillon de rêve sillonne mélodieusement les chemins de vie pour pénétrer nos cœurs bouillonnants.
SupprimerBien à toi
Le destin est incertain mais les saisons continuent de passer. Le bonheur se vit toujours dans l'instant présent!
RépondreSupprimerTes mots tintent comme un credo du bonheur. Merci cher daniel
SupprimerSi nous savions à l'avance de quoi notre voyage serait fait, je ne sais pas si nous aurions le courage d'organiser une valise pour partir...
RépondreSupprimerL'aventure ne se réfléchit pas, elle se vit. Et il faut respirer tout ce qui vient, bon ou mauvais. On se renforce en osant, même si parfois on le paie cash! Ce n'est pas forcément grave puisque que nous avançons.
Ceci dit, je pense que nous croisons plus de belles choses que de laides, c'est une question de regard.
Tes mots sont pleins de sagesse cher ami poète, je les entends et les fais miens. Merci à toi, letienne.
SupprimerJe suis tout à fait en phase avec le commentaire de Daniel ci-dessus! A travers vos métaphores, les mots de ce poème sont pudiques mais tellement vrais et ressentis!
RépondreSupprimerComme c'est agréable de vous l'entendre dire alezandro. Et merci pour votre gentillesse.
SupprimerBonjour ami de si loin! Tellement beau et ainsi va la vie... le moment présent est le plus important! Bise, bonne journée tout en douceur!
RépondreSupprimerOui le moment présent est le plus important, chère Maria. Tes mots sont toujours empreints de douceur et de délicatesse.
SupprimerBisous Maria
Bonjour cher Bizak, tes mots m'emportent en rêve en faisant le tour des saisons où chacune a son charme et aussi pour vivre le moment présent, c'est tellement important pour aller de l'avant.
RépondreSupprimerMagnifique fusion de ton poème et de la photo.
Bisous ♥
Ah! chère Denise, les saisons sont pour toi, un continuum d'éclatements, de vibrations et de chatoiements, elles t'alimentent tout le long de l'année, d'une nourriture d'extase et de ravissement de la sublime nature
SupprimerMerci pour ta poésie, à travers tes délicieuses prises de vue,paysage, fleurs, arbres, coins de rue et de tout qui anime la vie et nous laisse charmés chaque jour.
Bisous poétesse
Le temps danse une valse qui ne s'arrête jamais. Libre à nous de vivre les instants présents sans s'angoisser de l'avenir. Observer les étoiles dans le ciel, cette lune qui grossit, écouter le bruit des vagues, s'endormir dans les bras de l'être aimé. On ne sait pas de quoi demain sera fait, mais aujourd'hui n'est déjà pas si mal. Merci pour tes mots poétiques mon cher ami du désert. Bises alpines.
RépondreSupprimerComme tu me réjouis avec tes mots si éclairés et fins pour dire le cheminement de la vie, la joie, tout ce qui nous entoure, garder toujours espoir, l'amitié, l'amour qui nous apportent tant de bien et de bonheur et qu'il faut surtout vivre le présent assurément.
SupprimerMes bisous Dédé
Bizak, que j'aime ta poésie ! Il faut prendre garde aux "ailes douillettes" qui parfois peuvent nous emprisonner aussi sûrement qu'une cage dorée, ne pas se faire voler ses étoiles...et sa liberté...Je t'embrasse♥
RépondreSupprimerJ’en suis heureux, si tu aimes ma poésie, chère amie Asphodèle. Oui je prendrai garde aux ailes douillettes, mais l’élan du poète, s’anime de la douceur et des ailes de sa muse, et il est dit que les envolées lyriques n’ont cure des défiances ni des doutes, pour laisser planer les mots du cœur.
SupprimerJe t’embrasse chère Aspho
On zigzague, on tourne en rond mais la poésie de tes mots nous remet vite en selle.
RépondreSupprimerOh ! en voilà une belle tournure cher ami Edualc, tout le monde en selle, alors !
SupprimerTon vol de goéland se pose sur des fils
RépondreSupprimertendus entre les étoiles
L'une d'elle brille d'un éclat de perle
l'autre d'un éclat de vent
La troisième scintille comme fleur dans un vase
Chaque étoile est unique et tes ailes de fièvre
rasent le fil de l'eau en une merveilleuse
arabesque
le monde tourne en rond,
et nous tournons en rond
et la ronde des astres
est éternelle et belle
comme l'aurore qui luit
et la nuit qui s'effondre
Ne laisse pas le vent
te déchirer les ailes
et vogue au gré de tes envies
parfois les corps célestes et les astéroïdes
se percutent
et c'est beau
comme les vers de tes poèmes
enluminés
Je t'embrasse mon cher poète
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne sais comment tu frôles le ciel, quand moi je le sens trop loin. Suis-je né dans la brume pour voiler mes espaces ? Je contourne les tourbillons pour m’accrocher aux vagues déferlantes et de loin tu apparais comme une lune démiurge, éclatante de lumière.
SupprimerJe ne sais penser avec des mots, seulement avec des voix qui me susurrent des mélodies, parfois joyeuses, parfois tristes. C’est cela le monde qui tourne en rond, il faut le prendre de revers pour sonner le tocsin de la joie et accueillir la vie à bras le corps.
Merci pour tes mots Céleste
Ton poème éclot des grains de blé dans les prés
Je t’embrasse
La vie est à aussi longue que courte, aussi courte que longue... Que de jours et de nuits ! Pourtant, il faut savoir (apprendre à) attraper tous les petits riens qui en sont le sel et savourer l'instant qui file, qui file, qui file... si vite !
RépondreSupprimerBelle poésie, merci.
Fabrice
Oui attraper les petits riens qui, souvent ont une signification simple et pourtant qui apportent beaucoup. Merci Fabrice pour votre visite.
SupprimerBelle journée
S'envoler demande du courage, et aussi de choisir si on veut que les doutes restent des doutes ou ... des évidences qui se dévoilent. En tout cas, ailes douillettes ou ébouriffées, elle ont de l'envergure pour nous conduire loin...
RépondreSupprimerLa vie n'est pas un long fleuve tranquille comme disait le proverbe, sinon il n'y'aurait pas quatre saisons dont chacune se conduit avec ses variations, ses incertitudes et ses sautes d'humeur.
SupprimerMerci Edmée
Bises à n'en pas douter
Belle lecture que ce poème Bizak. Ah, quel doux rêve que celui de vivre ici et maintenant, en toute sérénité, présent à soi-même... C'est peut-être à cet instant que poussent des ailes ? Douce journée à toi. brigitte
RépondreSupprimerT'as raison, ce doit être à ce moment que poussent les ailes, quand tout notre être est profondément ancré dans le présent, plus de doute ni autre pensée parasite.
SupprimerBelle soirée Brigitte
Bises
Le temps des projets, des hésitations, des doutes, le temps d'avant l'envol est un temps aussi d'apprentissage de soi.
RépondreSupprimerEncore un poème qui nous entraîne à ta suite, Bizak.
Tous tes mots sont empreints d'une modération et d'un discernement qui me plaisent et me parlent. Je te remercie pour ta gentillesse et ta sensibilité.
SupprimerBien à toi, Patrick
Ne pas douter de soi et de ses capacités à prendre son envol, ne pas laisser demain en friche, évaporé dans les espoirs déçus... Tenter, encore, toujours, tomber, se relever, et recommencer, sous la course immuable des planètes, et la lune qui rythme les marées...
RépondreSupprimerC'est toute une vie de voyage, et le voyage d'une vie. C'est beau.
:-)
Quels mots superbes que les tiens La Baladine ! un chapelet de joyaux qui me font du bien, tellement ils sont d'un bon sens et d'une justesse indéniable, comme: "Tenter, encore, toujours, tomber, se relever et recommencer..." Merci pour tous ces mots
SupprimerBisous
Je préfère NAÎTRE qu'une graine dans son commencement
RépondreSupprimersa brumaille
qu'une ébauche ombrée qui découvre son dessein
à l'infini des saisons éclairé
accrochée aux étoiles aux vagues du temps.
Trop d'étreinte tue l'étreinte et barbouille l'âme
qui s'essouffle s'ébouriffe
à trop aimer les corps brûlants les ailes douillettes les voyages
Se laisser glisser lentement dans sa solitude
s'oublier soi-même s'égratigner les ailettes
est-ce mi-eux ?
Mieux, respirer, vibrer, s'animer, s'enthousiasmer de toutes les beautés du monde,
ses variations les chanter en goguette
dessiner ses espaces secrets, ses sOleils,
son apprentissage de soi
et décrocher les branchettes des petits riens
et des grands riens.
Merci cher Âmi poète.
Je t'embrasse.
Den
Quelle luminosité diffuse, dans tes mots diaprés et affriolants ! comme si tu répandais des brins dorés sur toutes les magnifiques vignes de coteaux gorgées de suc et de sève royalement étendues sur les vastes terres de ta chère Provence fière et belle. Tu recèles, chère Den, de ces mots éthérés et déliés qui adoucissent les cœurs et magnifient nos âmes. On peut te lire dans n’importe quel sens, qu’on ne s’égarerait point, tellement leur beauté est plaquée dans tous les coins de tes vers.
SupprimerA chacun de tes passages, chez moi, chère Den, tu y déposes de l’or en barre, comme le dit superbement bien, notre Dame céleste, d’ailleurs vous vous assemblez comme vous vous ressemblez, deux gouttes d’eau, deux gouttes de pinard royal, oserai-je dire.
Je te remercie du fond du cœur pour ce magnifique cadeau.
Je t’embrasse aussi, chère amie Den
Toujours de jolies choses à lire, de jolis mots...
RépondreSupprimerbisak, je crois que sur cette page, personne ne laissera"ses ailes ébouriffées enserraient tes étoiles...
Je t'embrasse, merci pour ce beau billet !
Merci pour tes si beaux éloges Noëlle, je me ferai toujours un plaisir de dire de jolies choses tant que les mots viennent à vous plaire, toi et tous nos amis(es).
SupprimerJe t'embrasse aussi noêlle
"Que de nuits et de jours" à s' offrir en chemin,les plus petites joies, parfois des petits riens que d'autres ne voient pas mais qui deviennent le sel, unique et chaleureux de jours paisibles et savoureux.
RépondreSupprimerMerci cher poète.
Merci poétesse, tout à fait d'accord à te suivre dans le même sens de tes dires: A s’offrir en chemin, les plus petites joies, mais belles dans leur portées et gracieuses leur simplicités.
SupprimerMerci à toi Balaline
Bises
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimer"Le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas" est la premiére pensée qui m'est venue aux lectures ( 5 fois) de ce sublime poéme mélancolique et mélodieux que j'ai perçu comme une supplique de ta tête à ton coeur lui implorant d'abréger sa souffrance. L'amour est-il encore partagé quand l'un n'entend plus l'autre se débattre dans des eaux profondes et tourmentées avant d'y sombrer ?
C'est un don précieux d'émouvoir à ce point et de réveiller en nous les volcans de notre conscience existentielle.
Matinales pensées pascaliennes
Tu as l'art de dire les choses comme ton coeur te le susurre, et Dieu sait que souvent il ne se trompe guère.Tu lis dans mes yeux comme tu lis dans mon coeur, chère belle âme.
Supprimerc'est toujours ravissant, ce que tu écris, le mérite-je vraiment.
Merci de tout coeur
oups ! le mérité-je vraiment ?
SupprimerBises
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerJe crois à la magie des rencontres.. même celles de la toile... sauf d'araignée !