dimanche 18 février 2018

Ma vie en éventail


"Lorsque je suis allé à l'école, ils m'ont demandé ce que je voulais être lorsque je serai grand. J'ai répondu " heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, j'ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie".                                                                                         John Lennon


Il m'arrive parfois de rimer pour le printemps
La nature qui chante, les oiseaux qui se trémoussent
Je suis un héron des planages en altitude
Je trimbale ma vie en éventail
Je n'ai jamais compris l'amplitude
Des cœurs à sertir dans les abris
Des silences des temps qui passent
L'hiver ne me griffe pas tant
Que le printemps désemparé
Qu'elle est tendre la pluie souveraine
Quand elle me cingle de ses gouttelettes dorées
Sur mes épaules et mon visage regénéré
Il y'a des matins qui me gondolent
D'autres qui m'aspirent et m'absorbent
Je suis un typhon en sourdine
Qui déborde quand la nuit s'endort
Sur les plaines désertes et silencieuses
Et s'apaise en dormant sur la paillasse

59 commentaires:

  1. Et quand tout le monde dort, Bizak écrit des mots remplis de vent, de gouttes de pluie et de soleil. Et ses mots s'envolent pour s'enrouler autour des troncs dans la forêt, pour naviguer sur les mers, pour s'accrocher aux multiples grains de sable du désert. Et ils forment une page remplie d'émotion qui roule, roule et roule encore au plus profond de nos coeurs.

    Que ta nuit soit douce mon cher. Je t'envoie mes bises alpines du soir.

    P.S. Etre heureux, c'est le défi de toute une vie.

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    1. Bizak est un veilleur, comme une mère qui veille, se penche sur le sommeil de son enfant... ses mots, un véritable baume au cœur.

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    2. Comme c'est gentil Dédé d'invoquer mes planages nocturnes quand tout le monde dort. Je vois à tes mots que les nuits t'apportent aussi évasion, liberté, apaisement.
      Que ta nuit soit aussi douce, chère amie
      Merci pour tes mots qui me touchent beaucoup.
      Bisous chère amie

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    3. @El Linda: Oh ! comme c’est joli, El Linda !Merci ^^

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  2. bizak, Dédé, une très jolie balade à travers vos mots..

    Oui, bizak écrit, et quel plaisir de te lire ! merci !
    Je t'embrasse

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    1. Ravi noelle que mes mots t’enchantent. Merci chère amie
      Je t’embrasse aussi.

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  3. Cher ami poète, et bien j'aime, j'aime ta poésie qui déborde de son lit, quand vient la nuit, inonder nos âmes...

    c'est vrai rien n'est plus triste qu'un printemps désemparé.

    Bises pré-printanière.

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    1. Ah ! El Linda, te voilà apparue comme une étoile blanche aux ailes déployées. Comme tu me fais plaisir quand tu chantes avec tes mots si délicieux. Merci poétesse
      Bisous amie

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  4. Que c'est beau cher Bizak, tes mots sont superbes! Bise, bonne soirée tout en douceur!

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    1. Que répondre à tes mots, chère Maria, toujours de la gentillesse et des sourires. Merci de tout cœur, chère amie
      Bisous

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  5. Dialogue avec un poète


    Il m'arrive parfois de rimer pour le printemps
    - Entends-tu le doux chuchotis du temps ?
    La nature qui chante, les oiseaux qui se trémoussent
    - Oui, et nos pas blottis sous la mousse…
    Je suis un héron des planages en altitude
    - Je te sais, tout là-haut, loin des habitudes
    Je trimbale ma vie en éventail
    - Parfois elle nous jette dans la bataille

    Je n'ai jamais compris l'amplitude
    - Entre la joie et la solitude …
    Des cœurs à sertir dans les abris
    - Quand le temps coule sans un cri
    Des silences des temps qui passent
    - Et planent comme des rapaces
    L'hiver ne me griffe pas tant
    - Par la glace de son chant
    Que le printemps désemparé
    - Qui vient au cœur de la marée
    Qu'elle est tendre la pluie souveraine
    - Que les doux nuages égrènent
    Quand elle me cingle de ses gouttelettes dorées
    - Tu sens sa fraîcheur t’enserrer
    Sur mes épaules et mon visage régénéré
    - La pluie t’inonde de ses secrets
    Il y a des matins qui me gondolent
    - Et il y en a qui t’affolent
    D'autres qui m'aspirent et m'absorbent
    - La joie jamais ne se résorbe
    Je suis un typhon en sourdine
    - Et tu as l’humeur baladine
    Qui déborde quand la nuit s'endort
    - En une rivière de mots d’or
    Sur les plaines désertes et silencieuses
    - Ta caravane va heureuse
    Et s'apaise en dormant sur la paillasse
    -Avant de repartir avec audace…

    ...vers ton destin de poète
    Bises très très très célestes

    ¸¸.•*¨*• ☆

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    1. Deux en un, merveilleux comme un doux conciliabule qui berce les cœurs attendris .
      Ton poème s’est incrusté tel un panache de magnolias dans une brassée de muguets répandant leur concert de chants éblouis et de senteurs magiques formant un bouquet arc en ciel magnifique.
      Il est beau comme un champ de blé, le voilà avant qu’il ne prenne son envol :
      - Entends-tu le doux chuchotis du temps ?
      - Oui, et nos pas blottis sous la mousse…
      - Je te sais, tout là-haut, loin des habitudes
      - Parfois elle nous jette dans la bataille
      - Entre la joie et la solitude …
      - Quand le temps coule sans un cri
      - Et planent comme des rapaces
      - Par la glace de son chant
      - Qui vient au cœur de la marée
      - Que les doux nuages égrènent
      - Tu sens sa fraîcheur t’enserrer
      - La pluie t’inonde de ses secrets
      - Et il y en a qui t’affolent
      - La joie jamais ne se résorbe
      - Et tu as l’humeur baladine
      - En une rivière de mots d’or
      - Ta caravane va heureuse
      -Avant de repartir avec audace…
      ...vers ton destin de poète

      Merci Céleste, pour ton sublime poème
      Bisous musqués et ravis, tendre amie.

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    2. Quelle magie dans les mots, qui prennent toujours du sens, qu'ils soient séparés ou réunis par le mystère de la poésie...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    3. Avec le fusionnement de tes mots, ce sont des perles de pluies qui s'y sont incrustés. Quelle flamme magique ! ^^

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  6. Très beau texte. Beau symbole que l'éventail, par définition grand ouvert et pourvoyeur d'oxygène. A bientôt.

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  7. Que j'aime ton poème, et puis ton pas de deux avec Célestine... La pluie souveraine, oui, je la vois ainsi également, il faut dire qu'en Belgique elle est vraiment souveraine, mais quoi de plus maternant dans la nature que la pluie qui lave larmes et soucis, sème l'espoir et l'apaisement?
    Belle journée Bizak!

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    1. Comme tu le dis si bien, Edmé : La pluie materne et lave larmes et soucis. Cela me fait vraiment quelque chose que tu aimes ces quelques mots mais je sais grandement la relation fusionnelle que tu entretiens avec eux.
      Merci Edmée
      Belle journée
      Bises

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  8. Le bonheur se trouve dans la nature. Pas besoin d'aller le chercher ailleurs: le vent qui souffle, le matin qui s'éveille, les arbres qui frissonnent.....Un beau poème , cher Bizak !

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    1. Oui daniel, je te rejoins assurément, toi qui prône la sagesse, la beauté de la vie dans sa simplicité.
      Merci ami

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  9. " merveilleux comme un doux conciliabule" sourire ce matin en vous lisant ! bises, merci !

    Bonne journée bizak

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    1. Ah! toujours avec ton charme naturel ! toujours de la beauté dans tes mots, merci noëlle.

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  10. Que de lumières dans ce billet, c'est splendide et tellement vivifiant ! Merci pour ces cadeaux, belle journée à toi. brigitte

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    1. Merci pour ces mots élogieux chère Brigitte. Cela me fait plaisir qu'il t'enchante, mon petit poème.
      Bise

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  11. Tes mots sont de toute beauté cher Bizak. La pluie est une bienfait pour la nature et le printemps est à portée de coeur. J'aime la pluie lorsqu'elle remplit le creux des nouvelles feuilles, on dirait des petits lacs.
    Magnifique fusion avec les mots de Célestine ♥
    Bel après-midi et mes bisous ♥

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    1. Merci Denise♥︎
      je sais que notre poète apprécie, dans sa grande sensibilité...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Oui Denise, toi la bienveillante avec la nature, comme tu sais lui rendre grâce pour ses bienfaits. Merci de tout cœur pour tes mots si jolis. Oui, on dirait de jolis petits lacs, quand la pluie s’amasse sur les creux des feuilles. La fusion avec les mots de Célestine est vraiment comme un couronnement magique qui donne plus de beautés au premier poème.
      Mes bises Denise et un petit coucou à Céleste

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    3. Oupss!! Un bienfait! désolée.

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    4. Te lire est un plaisir,Denise, même Oupss !^^

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  12. Quand le poète
    devient oiseau
    et survole
    au souffle des vents,
    la nature et les saisons,
    il cueille dans les silences
    la beauté et la sérénité du monde.
    ***
    Merci pour cette belle page poétique
    ****

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    1. Marie, comme j’aime à chaque fois que tu passes et que tu dessines de tes mots, tes ressentis avec ton bel élan poétique. Pure merveille : Il (le poète qui devient oiseau) cueille dans le silence, la beauté et la sérénité du monde.
      Merci Marie
      Bises

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  13. Une magnifique ode à la nature, celle extérieure, celle intérieure, qui s'interpénètrent. Sortez ! Allez dehors ! Allez voir si vous y êtes ! Et vous y êtes ! Et vous y êtes vivants !
    Tous tes derniers poèmes forment une sorte de cycle qui sont autant d'appels mais aussi de réponses.
    Bravo encore une fois, Bizak.

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    1. Quel bel éloge, cher Patrick, en décrivant minutieusement la portée de mes mots ; L’inspiration ne se guide pas, c’était juste comme un passage parfois dans des moments d’éblouissement pour tout ce qui vit, que les mots germent et s’élancent vers le ciel, pour dire notre ressenti.
      Merci Patrick pour ta gentillesse.
      Très belle journée

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  14. Cher Bizak, la réponse de Lennon me plaît beaucoup! Une belle réponse d´un enfant. Les enfants comprennent dès fois mieux que nous....et toi je trouve, tu as toujours le coeur et l´âme d´un enfant....bonne soirée. ZaZa

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    1. Quels mots sympathiques chère ZaZa, ils sont empreints d’amabilité et de bonté. J’ai survolé ton blog magnifique, et j’y reviendrai.
      Merci ZaZa pour ta visite.
      Belle journée

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  15. La vie déploie ses ailes
    Et attise le feu et l'étend et l'éteint
    A-paix-en l'éventail de pluie aiguayée de vent divin

    Comme l'oiseau s'envole vers le pays des déités immortelles

    Tu passes l'écrin l'écran doux d'étoiles constelles
    Et souffles en Eole l'air au vis-sage serein

    Et tu répands ton nectar au creux de ton lit-cage
    Ton vaisseau d'argile, de bois, ton si beau vaisseau son bastingage
    Ton nid ton abri

    Et mon pas solitaire s'attache
    Quand tout dort tout s'apaise se cache
    En mots doux
    En âme attendrie

    Et le mât-teint s'éveille sur le prin-d'an
    Et toi le Poète à chacun de ses battements
    te révèle à la beauté du temps vivant.

    Merci Bizak pour cette page s p l e n d i d e !

    Bonne soirée.

    Den

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    1. Ah ! chère amie Den, comme tu sais encore une fois, faire caracoler les mots pour les magnifier, les broder et en faire surgir un magnifique poème au souffle printanier et mélodieux.
      Je suis toujours ravi quand tu jongles avec les mots, pour donner, Toi,la poétesse, des pages splendides.
      Merci chère amie.
      Bisous

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  16. On oublie bien souvent cette belle pensée de John Lennon! La balade qui suit est souveraine dans ses mots et dans son rythme, celui de la vie qui va et de nos interrogations bien naturelles! Superbe!

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    1. L'enfant qui s’exprime en lui, a gardé le sens de la vie et non ses tribulations( les tribulations de la vie) qui nous font oublier jusqu'à ouvrir nos yeux devant tant de beauté en ce monde.
      Merci Alezandro
      Belle journée

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  17. Le rire du printemps porte nos cœurs là où nos yeux ne peuvent les voir. C'est pourtant en les suivant que l'on trouve le chemin du bonheur...
    Alors, pourquoi ne pas être oiseaux et sembler voler au-dessus du temps pour ne pas qu'il nous atteigne?
    Jolis mots, doux texte.

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    1. Dans nos cœurs, les saisons ventilent nos rêves et la vie nous apparaît diaprée et éthérée. Nous avons alors le temps et les caprices de nos âmes qui dodelinent et nous bercent.
      Merci de ton passage Letienne.

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  18. C'est beau, fluide et bienfaisant, ça parle de lumière comme d'une liberté, de pluie qui étanche la soif, du silence des plaines quand le vent tombe. Tes mots versent la lumière.
    Et merci pour le joli duo avec Célestine, merci à tous les deux.
    Bises admiratives

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    1. Je plane tout le long du temps qui s’étiole ! la mer, la pluie, le vent, le ciel tout concourt à l’effervescence et à la plénitude de notre âme.
      Céleste bouillonne de mots éffervescents pour libérer plus de battements d’ailes et titiller la pluie qui cingle, le vent qui bougonne et le ciel qui feule.
      Bises réjouies chère amie

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  19. Douceur du chant qui berce les mots du poète
    dans l'attente toute ouatée des premières éclosions
    des premières lumières débordant sur la mer
    des premiers sons d'espoir dilués sur les branches
    Magie de la vie en sommeil qui va livrer bataille et embellir nos jours
    Merci Bizak, c'est un moment lumineux de partage.

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    1. Tous tes mots tricotés en dentelle, reluisent de couleurs et de senteurs printanières. Je trouve au ciel, des chemins arqués et irisés, noces des gouttelettes d’eau et des rayons lumineux.
      Merci à toi Balaline pour ces si beaux éclats de vie.

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  20. Lumière, rythmes, magnifique ton poème!
    Je te souhaite un matin qui gondole de sourires, de mots doux.
    Besos

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    1. Je te souhaite aussi un matin qui ondule de merveilles et de poésie.
      Bises Colo

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  21. "Je suis un typhon en sourdine
    Qui déborde quand la nuit s'endort"
    Je reviendrai vous lire ici, c'est certain. Par plaisir.

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    1. Comme c'est gentil, Adamante et merci pour votre visite.

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  22. Voilà un printemps en partance qui bouillonne en toi et nous promet des émotions sur les vents ascendants pour vibrer au plus haut et loin de tout ce qui nous dérange, j'ai adoré ton texte si plein de vie Bizak, merci.

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    1. Ravi que mes mots t'enchantent tant, marine ! Te sachant amoureuse de la nature aux franges florissantes, je te souhaite un weekend printanier.
      Bises

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  23. Ô Bizak,
    Ici je te vois comme Zeus, du haut de ton Olympe tu commandes les éléments au gré de l'humeur qui colore ton aurore. De ta main impériale tu imposes le respect aux doux mots qui te font la révérence puis s'alignent en vers.
    Et moi aussi je me soumets
    Bonsoir Votre Majesté

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    1. Même si je sillonne les cieux avec les nuages qui planent sans répit, je descends de mon piédestal pour ne pas être trop loin de la vie terrestre. Les étoiles brillent d'ici la terre, en haut elles se contorsionnent dans le noir sidéral. Mais tes mots me soulèvent telle une brise douce, et comme j'aime ton enthousiasme me gagner fort, et c'est moi qui me soumet à ta bonté et ta douceur. Et n'oublie pas tes mots sont comme un baume, ils aromatisent tout ce qu'ils touchent.
      Merci Déesse, Athéna, celle qui accompagnait Ulysse dans toutes ses pérégrinations.

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  24. Bonjour Bizak,
    Tes réponses à mes billets sont tellement flatteuses que ma muse, jusque-là timorée, est venue me susurer un alexandrain cette nuit, dont je ferai un poème en ton honneur :
    "Un seul être vous touche et tout est décuplé."
    Bonne journée mon doux ami

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    1. S'ils n'étaient pas bons et gracieux,tes billets, je ne l'aurais pas flattée, ta muse. Mais, tu écris bien ! pourquoi voudrais-tu que je n'exprime pas ma joie , chère amie? Tiens voilà, justement, ta muse t'a inspirée un si bel alexandrin.
      Belle journée à toi, douce plume.

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  25. Oh la la me susurrer un alexandrin bien sûr !

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    1. On s'y goure, souvent avec ce mot, ne t'inquiète!

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