J'ouvre les yeux, la mer et la lumière me brûlent jusqu'au fond de mon corps, mais j'aime cela. Je respire, je suis libre. Déjà je suis porté par le vent, par les vagues. Le voyage a commencé. Le Clézio
Je suis le vent qui réconcilie les montagnes
Je suis l'air du temps qui rassasie les fleuves
J'aime être le lien pour fusionner les coeurs
Je suis le chaud d'un été de plomb
Je suis l'absence
J'ai aimé comme un tourbillon de soleil
Qui s'était levé un matin printanier
J'avais les yeux fixés sur le ciel
Pour regarder une étoile fluorescente
Aussi brillante que toute la constellation
Je n'ai pu dessiner la silhouette volante
Je suis un brin d'herbe aux rêves fous
Je suis tanné comme un parchemin
Et je continuerai mon chemin semé de violettes
Dussé-je passer par mille feux.
Les chemins du vent sont beaux, de cette beauté invisible qui caresse l'âme pour lui montrer qu'elle est accompagnée ou la secoue pour qu'elle ne s'endorme pas... Doux week end bizak. brigitte
RépondreSupprimerComme c'est beau ce que tu dis Brigitte, c'est comme rester éveiller sous l'effleurement du vent qui nous berce et nous élève.
SupprimerBon week end
Mes bises brigitte.
j'aime ce je suis
RépondreSupprimerqui permet de dire…
et de "regarder une étoile fluorescente
Aussi brillante que toute la constellation"…
merci pour vos mots
Ravi de vous voir sur mon blog, vos mots sont élogieux et me font plaisir. Merci cavalier
SupprimerQuel magnifique texte, Bizak, comme un rêve d'abondance, de volonté, de don de soi, de verre jusqu'à la dernière goutte, de repas jusqu'à la dernière miette, de chef d'oeuvre - livre, tableau, etc ... - jusqu'à la dernière signification.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les commentaires de Plumes d'Anges et de Cavalier - de poème jusqu'à la dernière étincelle dans les yeux de tes lecteurs.
A bientôt.
Avec tant de louange, Patrick , je me sens vraiment emporté par le vent, mais tu sais cher poète, que les mots viennent et partent, voilà tout. Tu me vois ravi pour ta gentillesse et j’aime comme toi aussi les mots de Plumes d’Anges et de Cavalier . Merci Beaucoup cher ami
SupprimerBien à toi
Le vent caresse chaque fleur et lui fait l'amour de son aile...
RépondreSupprimerEt chaque mot de poète est comme le vent qui fait ployer les tiges des anémones et vibrer leur corolle.
Au milieu des fleurs, parfois, se pose un papillon, fleur sans tige qui s'envole vers le soleil.
Nul ne peut dire si le papillon reviendra se poser sur la caresse du vent. C'est le mystère de la vie. C'est le mystère de l'amour qui unit chaque chose sous la voûte des étoiles.
Et fait jaillir l'espoir et la beauté aux fontaines.
Tu es comme le vent, et je suis comme la vague qui ondule sous l'alizé.
Changeante et tumultueuse, indomptable et fraîche.
Je reviens sur les rivages apporter un peu de ma joie en écume.
Merci pour ce magnifique poème, Bizak
Je t'embrasse comme le prince des chevauchées poétiques
En miel, en frôlement, en extase
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne sais quoi dire devant tes mots, tu sais toujours les taquiner, les émouvoir, les faire voler, les caresser. Comment ne pas tomber sous le charme de ton poème venant comme Un Dieu marquer sa tendresse avec plus encore d’effusion, d’amour et tant de beauté.
SupprimerJe retiens : « Le vent caresse chaque fleur et lui fait l’amour de ses ailes » ! Quelle belle envolée ! tu sais faire frémir chaque fibre d’’un mot pour lui faire répandre un sourire, un chant dont tu connais sa sensibilité
Merci pour tous ces mots, Céleste.
Mes bises éoliennes et vibrantes
Je suis touchée que tu aies aies aimé mon poème Bizak.
SupprimerC'est toujours un bonheur de se poser sur ce blog où règne la magie et la bienveillance.
Merci de tout coeur
💜
Merci Céleste pour tces mots de bienveillance et d'amabilité.
SupprimerJ'aime ce coeur violet.
Bises
Coucou mon cher ami poète. Que de poésie en ce vendredi. Tes lecteurs te répondent en si jolis mots que de venir sur cette page, lire ton poème et les réponses, c'est repartir léger, emporté au ciel et valsant entre les étoiles grâce à ce fameux vent qui permet de se sentir plus léger. Continuer à chasser les violettes. C'est si beau! Bises alpines.
RépondreSupprimerOui, Dédé, comment ne pas être ravi et en même temps ne pas rougir devant tant de mots si accueillant et si bonifiant, des lectrices et lecteurs. Les tiens sont aussi pleins de charme et de bonté.
SupprimerMerci de tout coeur Dédé
Bises méditerranéennes
Sous le vent que je ne vois pas mais que je sens, je vois voleter des brassées de feuilles de couleurs différentes et quelques pétales qui vont se poser par-ci par-là dans les herbes afin de refleurir au printemps prochain.
RépondreSupprimerMerci cher Bizak pour ton merveilleux poème.
Bisou un brin ensoleillé.
Ton ravissement se lit dans les yeux, Denise, quand les feuilles, les fleurs, tout ce qui fait frétiller la nature, prennent place dans ton cœur et te rendent joyeuse.
SupprimerMerci à toi aussi Denise
Bisou, un brin lumineux
j'aime ce " brin d'herbe aux rêves fous" j'aime Le Clézio, lui aussi me fait rêver...que de voyages et balades avec lui !
RépondreSupprimerMerci bizak pour ce très beau texte !
Je t'embrasse
Je suis content d’avoir cité Le Clezio, oui il sait dire les choses aux mots avec ses pointes et ses traits magnifiques… !
SupprimerMerci à toi Noelle
Mes bises souriantes.
"Je suis le vent"
RépondreSupprimerLa pluie l'astre brûlant
Tout ce qui embrase le corps et l'âme
Enflamme la douceur et l'oubli
Effleure jusqu'à la lie
Qui sonne l'hallali
Âmi !
Je suis enivrée de fleurs de fruits
En corne et urne qui abonde
Danse
Riche féconde.
Toi tu t'envoles Poète et traverses grâce au temps précieux
L'espace de sable chaud scintillant
Tes rivages
Nos mirages
Et de là je pose mes yeux et découvre l'écrin les étoiles frémissantes
Se dandiner
Et je gambille joyeuse à la lecture de tes mots jolis tes traits
Qui caracolent, sautent, piaffent d'impatience, caressent la page
En chevauchée fantastique redevenue valse chaloupée en roulis
Sur la vague de l'espoir qui chavire.
Merci Bizak pour ce texte joliment coloré, parfumé
Qui sait si bien dire.
Je t'embrasse.
Den
A moi que tu dis : merci, Chère amie ! quand tes mots sont aussi fluides et ailés que ces feuilles emportées, tourbillonnant dans la jubilation du vent. Tu m’encenses, chère amie, alors que tes mots m’envoûtent avec leurs éclairs de beauté que tu répands douillettement et magiquement comme un encens de velours qui happe mon esprit et frétille mon âme.
SupprimerMerci pour tant de beauté, amie de bonté
Mes bises parfumées, Den
Le vent s'en va
RépondreSupprimerLe vent s'en vient
Il souffle où il veut
il est liberté.
C'est un vagabond du temps
Amoureux des tendresses
Ou des folles tempêtes.
Etre le vent
C'est être poète
Hanté par des "rêves fous"
Ah ! Charmante poétesse, tu sèmes tes mots, comme tu répands la vie en poésie. Comme c’est joli : « Le vent, un vagabond du temps, amoureux des tendresses ou des folles tempêtes… », Tu baignes dans l’infini de la magie des mots.
SupprimerMerci Marie
Bises à toi
Bon retour Bizak ! Le vent passe sans rien dire, invisible et insaisissable.....Et pourtant il est la vie qui fait frémir la nature.
RépondreSupprimerSans le vent point de transport de pollen, pour la pollinisation des plantes à fleurs, hormis l’aide des généreuses abeilles . Oui, le vent invisible, mais il est là. Merci Daniel
SupprimerMais dis moi , Bizak, le vent n'est il pas comme la mer d'Yves montant ? Le vent n'efface t il pas sur le sable les pas des amants désunis . Il me vient aussi les mots de la complainte de Rutebeuf
RépondreSupprimerhttps://www.poesie.net/rutebeu1.htm
Je confie au zéphir le soin de t'apporter mon amitié
Très joli poème , la complainte de Rutebeu, une belle envolée lyrique avec le vent. Qu’est ce qu’il ne fait pas le vent, pour ôter, défeuiller, emporter… ! C’est très joli .
SupprimerMerci pour ton amitié
Bien à toi chère amie Chinou
ici vent du nord ce jour autant te dire qu'il fait pas chaud.
RépondreSupprimerBeau texte.
Coïncidence heureuse je parle aussi de vent ce jour sur mon billet.
Bon lundi
On parle du vent, parce que c'est lui qui tient le haut du pavé en cette saison.
SupprimerMerci de ton passage eki eder.
C'est beau...et sincère.
RépondreSupprimerC'est bon de te relire.
Amitiés.
Ah! quelle joie de te revoir et de te relire aussi, La Licorne !
SupprimerMerci de ton passage
Amitiés.
Quel arbre ! J'aime aussi le vent - dans ma région, il est très présent.
RépondreSupprimerMerci pour votre belle poésie.
Bonne journée.
Merci de ton passage Bonheur du jour.
SupprimerBelle soirée
Le vent, ce lien entre les arbres, les pays, nous!
RépondreSupprimerMerci pour ton beau poème, bonne journée.
C'est à moi de te remercier, chère poétesse.
SupprimerBelle soirée à toi
J'aime tellement ce bousculement indiscipliné que tu nous jettes comme un aller-venir d'éventail... Les montagnes, les étoiles, le brin d'herbe, les coeurs... la passion fugace... Que c'est donc bon, ce souffle d'air!
RépondreSupprimerUn souffle d'air qui emporte dans un tourbillon d'émotions les cœurs embrasés comme un cheval ailé tel Pégase,ami des Muses qui donne des éclairs et du tonnerre et que rien n'arrête.
SupprimerC'est bien dit: un aller-venir d'éventail..!
Bien à toi Edmée
Le vent emporte les chapeaux, soulève les jupons légers, ébouriffe les chevelures, fait danser les feuilles, rires le bonheur… mais attention aux portent qui claquent, aux vases qui se brisent et aux arbres qui s’affalent sur le sol.
RépondreSupprimerMoi, j’aime le vent parfumé des mots doux d’une femme sur mon épaule, au cœur de la nuit.
Je retiens ta dernière phrase : "Le vent parfumé de mots doux d'une femme sur mon épaule, au coeur de la nuit". Elle est sublime, elle est belle comme la joue rose d'une femme quand le vent donne libre cours à ses chuchotements et ses soupirs.
SupprimerMerci poète.
Un petit souffle de vent en passant...
RépondreSupprimerChut !!!
Bisous d'étoiles
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j'entends le froufroutement de tes ailes, joli fée.
SupprimerBisous rêvés
Quelle jolie poésie! C´est magnifique de savoir s'exprimer par des poèmes!
RépondreSupprimerDouce journée. ZaZa
C'est un bonheur de vous voir par ici, Zaza
SupprimerMerci
Oh que c'est beau cher Bizak, vraiment magnifique! Tes mots sont superbes, que j'aimerais écrire ainsi... Bravo et merci pour ce merveilleux partage! Bise, bon week-end dans la joie et la tendresse!
RépondreSupprimerRavi Maria-Lina qu'il te plaise ce petit poème et merci de tout coeur pour tes mots élogieux. Beau week end
SupprimerMes bises
RépondreSupprimer"je suis un brin d'herbe aux rêves fous"... qui s'envolent au vent...
joli ver... dans cette prairie de mots fleuris qui a retenu toute mon attention...
Eh! bien, cela me ravit chère El Linda, que ces mots fleuris t'enchantent. Avec tes yeux et ton âme de poétesse, je comprends ton engouement aux mots fleuris.
SupprimerMerci
Bises
Le vent, cet ami parfois ennemi, multiple, tantôt caressant tantôt mordant, tourmenteur, baroudeur, intranquille... Que j'aime quand il se pose et se mue en souffle tiède, soyeux, en ballade suave comme tes mots:-)
RépondreSupprimerAh! comme c'est si bien dit, quand tu t'entends avec les mots pour leur faire dessiner des harmonies où la poésie frétille de plaisir.Je te découvre des élans poétiques, La Baladine et j'aime.
SupprimerBises
Je partage sur "l'Herbier de poésie" G+ où vous seriez le bienvenu.
RépondreSupprimerhttps://plus.google.com/communities/113267058372825198955
Merci Adamante
Supprimer"Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit."
RépondreSupprimerJean 3.8
Très joli chant biblique ! Très inspirant, comme une belle métaphore.
SupprimerMerci pour vos mots Annick
Bonsoir Bizak,
RépondreSupprimerJe t'écris il est 20h en Martinique, et je te voudrais,toi le vent, au dessus de mon front pour rafraichir mes nuits, câliner mon sommeil. Demain, je referai la cour aux alizés pour qu'ils restent dormir au creux de mes reins. En attendant, en guise de ventilation je secoue mes draps en relevant les jambes comme un éventail géant.
A bientõt "Vent qui souffle au sommet des grands pins"
En sus de l'humour dont tu sembles jongler aisément pour donner une note de gaieté à ton écrit et qui me fait bien sourire, tu me vois ravi d'être une petit brise pour te souffler à l'oreille des notes de musiques et te câliner ton sommeil, et ainsi rejoindre assurément Morphée dans ses bras douillets.
SupprimerMerci Marlène pour aplomb toujours joyeux.
A bientôt
oups! ....pour ton aplomb toujours joyeux.
SupprimerPS : Une illustration décoiffante !
RépondreSupprimerC'est une lustration tiré du net, et cela me fait plaisir qu'elle te plaise.
Supprimer2eme oups ! C'est une illustration tirée du net..!
SupprimerJe crois avoir trop soufflé cette nuit, pour me réveiller d'aplomb !