Et tu trouveras le trésor qui dort en toi. Laurent Gounelle
Pourquoi ai-je suivi la mer bleue ?
Moi qui suis né dans une oasis émeraude
Pourquoi ai-je cru dans le ciel bleu ?
Quand la pluie tambourine dans l'infini
Tout est délavé, tout est somnambule
Le sol se dérobe, la mer déroge au rivage
Pourquoi me demandes-tu de choisir ?
Entre les étoiles et les fleurs
Entre le soleil taquin et la mer sublime
L'arbre que j'invite me parle
Quand arrive l'automne, il soliloque et tremble
De hantise d'être dépouillé de ses feuilles d'or
Mais le ciel semé d'étoiles
Ne connait pas d'automne
Il s'illumine dans l'éternité spatiale
Qu'aucune saison ne ternit ni ne blesse
Ô que j'aime la nuit dans son silence vertigineux.
Coucou mon cher ami poète. Il ne faut surtout pas choisir entre les étoiles et les fleurs. Car les étoiles sont les fleurs du ciel et les fleurs sont les étoiles de nos champs. Je suis sensible à cet arbre qui tremble de se dépouiller mais il faut lui chuchoter à l'oreille que le printemps n'est pas loin. Ni pour lui, ni pour nous. Bises alpines.
RépondreSupprimerComme tes mots chère amie Dédé sont du baume au coeur. Je sais ta bonté de concilier les choses, même les plus improbables, et je ne doute pas que tu sois toujours bien inspirée avec tes mots tout doux, oui je chuchoterais à l'arbre ma gentille amie.
SupprimerBisous envoyés du ciel pour te les offrir avec l’arôme d'une rose.
Tendre est ton regard sur la nuit, sur la nature, sur la douce noce entre la mer et le ciel.
RépondreSupprimerBravo Bizak. A bientôt.
Tendre peut être mais bien tendue dans mes rêves. Merci Patrick pour tes mots si apaisants.
SupprimerBien à toi
La mer nous appelle parfois, et l'émeraude est plus belle
RépondreSupprimerqu'un diamant éternel
Et puis la nuit descend, et l'on voit piquetés
dans le velours du ciel,
des milliards d'autres rêves
qui flambent comme mille soleils
La vie est là,
forte de ses promesses toujours renouvelées
Des espoirs de ses feux que le printemps ranime
Et des songes d'été quand la pluie se fait rare
Croire au bleu, croire à l'or, et aux perles de pluie
Voilà bien la mission sublime du poète
Qui éclaire la nuit d'un doigt de magicien
semant sur chaque rose un nuage de brume
Croire au vert, et à l'aube
Après une nuit dense
Voilà ce que je souhaite
A ton arbre tremblant de vent
¸¸.•*¨*• ☆
Mille baisers en pluie
Le temps parfois pèse lourd comme une chape de plomb, et on se surprend à ne peser soi-même que le poids d’une feuille, flétrie et sans vie. Alors on fait appel, à tout ce qui nous entoure, à tout ce qui nous éclaire, on invoque le ciel, on invoque le silence, et comme une voix qui nous susurre, on entend le bruissement de la vie, le courage qui renaît, le silence qui nous sourit et tel un somnambule, je quitte le lit de mon appréhension et je revis. Mes mots alors, sortent comme un fil suspendu à ma plume, libérés de l'ombre de mes pensées.
SupprimerMerci Céleste
Bisous ravies gravés sur mon arbre tremblant.
Tant que la vie nous offre la conscience de la beauté du monde, tous les espoirs sont là, la beauté nourrit notre âme et nous fortifie...
RépondreSupprimerDes fleurs et des étoiles vers toi, douce soirée bizak. brigitte
Tout à fait dans le sillage de ce que tu dis Brigitte, la beauté du monde nourrit notre âme. Merci pour ces douces paroles chère Brigitte.
SupprimerBisous
C'est un bien bel espace chez toi. Les choses de la vie, la mer, la pluie, le soleil, l'arbre et la rose nous invitent au grand bal de la vie. S'égrènent jours, nuits et saisons, tout ce qui n'a pas de prix. Un joli souffle qui nous aère. Merci.
RépondreSupprimerAvec ce monde de fous dans lequel nous vivons, jalonner ma route, de belles choses que sont tous ces sourires dessinés sur des visages inconnus, se nourrir de la vue du soleil, du vol d’oiseaux, du flux et reflux des vagues, me donnent tellement de sérénité et d’amour dans la vie. Un joli souffle qui aère, comme tu l’as si bien dit. Merci aussi.
SupprimerBien à toi Claude
Le silence vertigineux de la nuit nous empoigne, nous emporte dans l'espace, et parfois nous fait oublier les journées grises et fades...
RépondreSupprimerMerci pour ces mots Bizak
@ bientôt
Oui, chère poétesse, je sais ce que représente pour toi les mots, qui souverains et libres nous font planer et surtout quand c'est dans un moment de silence vertigineux de la nuit.
SupprimerMerci Marine aussi pour tes mots.
A bientôt et belle soirée
Choisir non, alterner pour tout avoir, oui... Et la nuit, je l'aime aussi, c'est là que je trouve je ne sais quoi, ou que je ne sais quoi me trouve moi, mais c'est tellement nécessaire !
RépondreSupprimerEt comment choisir entre les étoiles et les fleurs, le soleil et la mer, si ce n’est prendre tout ce qui nous entoure, nous ravit, nous empoigne comme la nuit (Selon les termes, d’Eeguab). Oui, chère Edmée, alterner pour tout avoir, c’est en cela que la vie est passionnante.
SupprimerBien à toi.Bises
"Le ciel semé d'étoiles ne connaît pas d'automne", que c'est beau!
RépondreSupprimerPar l'intermédiaire des blogs, de textes et photos, on peu vivre partout-jour et nuit. Dans ton oasis émeraude, sous un beau ciel gris ou bleu...on choisit ce qu'on garde précieusement.
Merci, besos
Dans notre petite planète, face à l’océan de l’univers, l’automne n’est qu’un petit micron de goutte de rosée et un zeste de brume éphémère. J’essaie de m’extrapoler vers l’univers, pour ne voir que les étoiles, le ciel bleu, la nuit apaisante et les rêves éclatés, volant à tout va.
SupprimerMerci à toi Colo, bises chère amie
Merci cher Bizak pour tes mots si beaux! J'aime ton arbre car à chaque saison, il nous fait l'honneur de changer de parure pour notre plus grand plaisir et aujourd'hui, il s'est mis sur son 31!
RépondreSupprimerMes amitiés et mes bisous ♥
Ah ! oui, j’aime l’arbre quand il se met sur son 31, dans sa belle coiffure scintillante et sa parure brodée avec les yeux du ciel et la rosée du matin. J’aime cette citation : « Assieds-toi au pied d'un arbre et avec le temps tu verras l'univers défiler devant toi. »
SupprimerMes amitiés aussi Denise.
Bisous
Ton poème est son humanité.
RépondreSupprimerIl touche à l'universel des états intérieurs de l'humain.
Cette forme poétique permet de communier à toi.
Ces mots venant de toi,Alain X, valent leur pesant d’or. Merci beaucoup cher ami
SupprimerC’est toujours un moment magique que de s'imprégner des mots et de la beauté de tes poèmes.
RépondreSupprimerSur les vagues de l'espoir, on poursuit toujours les bleus infinis des ciels et de la mer: c'est là que les étoiles deviennent des fleurs et les fleurs des étoiles...c'est là que les dunes de sable deviennent vagues d'or et les vagues de l'océan dunes mouvantes...Alors les rêves envahissent l'âme et la nuit et le jour étincellent...
Ton poème nous transporte alors dans ces silences mystérieux et vertigineux.
Ravi pour tes mots si merveilleux et plein de poésie. Comment ne ferais je pas miens ces mots rayonnants et aériens d'une beauté fleurie.
SupprimerMerci de tout coeur Marie
Mes bisous
Pourquoi choisir entre les tranches colorées de ton image teintée sOleil, ton aure-or, ton bout de ciel, l'astre brûlant caché à l'horizon, et la mer, le doux roulis des vagues qui grignote le sable chaud, entre le bleu et l'aime-rôde séduisante, la pluie et l'infini, les étoiles et les fleurs, l'arbre tremblant de se dépouiller de son abondante chevelure que le brin d'an ranimera, et le ciel sans saison qui illumine l'éternité.....
RépondreSupprimerPuisque la nuit est envoûtante, Bizak, dans l'infini, dans le mystère, la sérénité, prenons tout, et que cette nuit magique se repose enfin dans l'invisibilité des choses, permettant ainsi au jour d'étinceler dans chacune de ses splendeurs !
merci Bizak pour ton texte si gracieux, enivré de poésie parfumée.
Mes bisous.
Den
Il y'a tellement de bonheur à te lire, chère amie Den, quand tu souffles dans les cieux tes merveilleux sons de la lyre. Tout est gracieux dans le dandinement de tes envolées poétiques. Tu sais donner du sens aux mots, les plus tendres, quand tu les cajoles et tu les laisses libres et tintant avec leur belle musique.
SupprimerMerci de tout coeur, chère poétesse
Mes bises lyriques.
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerUne seule lecture ne me suffit jamais pour capturer toutes les images, que tes vers nostalgiquement inspirés, nous offrent en partage. Partout autour de nous, tant de beautés dans leur immensité, pourquoi l'homme ne sait-il que s'approprier, pervertir ou détruire ? Au lieu de juste s'emerveiller et rendre grâce !
Doux poète, surtout n'égare pas ta plume...
Pensées ensoleillées
Tes visites chez moi, Marlène au rythme soutenu, me font un grand plaisir ! Tu parlais de pépites que tu découvrais dans mes billets précédents, et tes mots ciselés de rosée du matin, leur ajoutent amour et mélodies.
SupprimerNon, je n'égarerai jamais ma plume, elle est imbibée d'encre aphrodisiaque qui ne chante que le bonheur, même si parfois, elle baigne un peu dans la mélancolie.
Merci de tout coeur Marlène.
Mes belles pensées