"Il y a quelque chose dans la poésie qui est plus important que le sens : la résonance."
Marina Tsvétaïeva
dimanche 17 juillet 2016
Perdu, un moment de vie !
La vague déferle sur les hommes Elle broie les corps endoloris La vie se lasse de ces traquenards Les fleurs se fanent douloureusement Elles sont crispées dans leur colis
Et si chacun de nous arrosait "sa" fleur et celle du jardin voisin avec un peu de rosée du matin, celle qui vient directement du coeur et qui allie fraîcheur vivifiante et chaleur humaine ! Et si en voyant les fleurs se crisper, nous les aidions à s'épanouir. Et si, et si, et si l'individu se comportait en être généreux plutôt qu'en bête destructrice ou guerrier animal. Un rêve, une utopie, me diras tu mais je pense qu'au fond de chacun d'entre nous il y a de bons sentiments et qu'il suffit de donner l'étincelle pour que le monde devienne meilleur.
Il est temps que l’homme réapprenne à vivre. Il s’est trop détruit en pensant que sa vie à lui est la négation de celle de l’autre. Il est temps de se rapproprier l’essence de la vie, qui est amour, fraternité, solidarité. L’homme a quelque part perdu le sens de sa route, trop égocentrique, trop imbu pour sa personne, il n’a rencontré que le vide qui lui a fait perdre son humanité. Il faut se réapproprier la vie. Merci Chinou pour ton plaidoyer sur la vie, ton formidable tonus pour crier que tout est possible pour peu que le bon sens prenne le dessus. Mais je remarque chère amie, que tes mots sont empreints et nourris de poésie, ce qui me fait dire, tu es pleine ressource poétique. Bisous
Chinou, j'aurais aimé que tu écrives ce magnifique commentaire sur mon dernier billet, tant il s'accorde parfaitement avec mes petites graines d'amour ! ¸¸.•*¨*• ☆
Sublime correspondance entre l'écrit et l'image, quelques mots posés comme des graines. Mais la vie reprend le dessus, la vie est plus forte, quoi que l'on dise, quoi que l'on fasse...
Et quoique tu fasses L'amour est partout où tu regardes Dans les moindres recoins de l'espace Dans les moindres rêves où tu t'attardes L'amour comme s'il en pleuvait Nu sur les galets... Francis Cabrel
Et toi aujourd'hui,la Céleste combien tu as semé de graines d'amour ? Toi qui a mis à chacun un mot d'amour et d'espoir dans sa tirelire. Oui il faut des femmes célestes pour que le monde reprenne goût à la vie et toi la Céleste tu distribues l'amour,comme s'il en pleuvait pour reprendre un ver du poème que tu viens de citer de Cabrel. Merci Mon amie pour ton passage toujours agréable chez moi; Pour Chinou, son commentaire est certes mieux pour ton billet, mais elle a laissé tellement de graines chez toi qu'elle en a aussi arrosé le mien, en passant comme une hirondelle. Bisous
@Céleste et @ Bizak Je suis toujours dans la spontanéité et mes écrits restent là où je les ai posés à l'instant de mon émotion. Peut être pourriez vous vous les échanger . ;-)
Les échanger, n'implique pas une possession, ni une perte, car un mot, les idées, d'une manière générale, quand on les partage augmentent les connaissances des deux parties et aucune n'en perd un seul mot. Bisous à vous deux
Ma réponse était également spontanée, Chinou. Quand tu écris chez moi que tu n'as "pas de mots" il me semble que oui, tu en as, et de très beaux. Et ce ne sont pas des effets de manche, mais des mots qui viennent du coeur. Mais ça ne voulait en aucun cas dire que ce commentaire n'était pas à sa place chez toi, cher Bizak. Bises célestes à tous deux. ¸¸.•*¨*• ☆
Mais bien sûr qu'il est à la place où il voudrait bien être si le coeur lui en dit à ce commentaire. Qu'il soit chez toi, la Céleste ou chez moi, c'est toujours chez-nous...pardon, Chinou!! Bises multiples à vous deux.
Quel hommage pudique où se ressent une noble et juste souffrance, loin d'un tapage ignorant et réducteur, merci de mettre ces jolis mots sur les larmes.
j'entends de la souffrance alors je ne sais pas si c'est une projection auquel cas, je m'en excuse je dois être trop " à vif" pour bien saisir cependant, merci pour la respiration des mots
Tu n'as nullement à t'excuser,Sylvie, cela importe peu dans la poésie, l’essentiel c’est ce que t'inspirent à toi les mots. Comme le disait,Emil Michel Cioran « La poésie a, comme la vie, l'excuse de ne rien prouver. » Merci Sylvie pour tes mots.
Parfois le mal est violent, la douleur récurrente et l'impuissance n'apporte aucun soulagement. Tes mots aident à évacuer ce qui ne peut se dire. C'est fort.
c'est un très beau texte, Bizak, qui souligne si justement la folie des hommes. Je me sens si impuissante face à ce qui se passe actuellement, mais je continue à espérer et à croire en un monde moins violent. La photo aussi est bien choisie... Belle journée à toi.
Oui ElLinda, le monde est devenu fou, que nous reste-t-il sinon dire par des mots ce qui nous travaille, ce qui nous submerge, ce qui nous fait mal. Merci ElLinda pour tes mots gentils. Belle journée à toi aussi.
Merci de ta gentillesse Françoise de comprendre et d’acquiescer pour mes mots qui sortent du coeur dans ces moments pénibles pour tout le monde. Belle soirée et Bise Françoise
Tes mots pleurent bizak, des larmes contenues sur la page, et je les aime car ils évoquent sans trop dire. Ils ressentent pudiquement. Douce journée à toi. bisou. Den
Il est parfois bon de s'exprimer mais pudiquement, c'est bien le mot. La douleur nécessite de la sérénité et du courage et de la solidarité. Bonne journée Den et Merci
Bonjour Bizak, Aujourd'hui je reprends un bain de ce qui devrait être "la normalité" ! Des échanges entre des êtres humains où domine le respect. La richesse de tous ces billets dans toutes leurs différences de ressentis sur tes écrits provient sans aucun doute de ton filon poétique... rare, beau, instinctif. Comme ces vers au message fort et élégant qui m'ont beaucoup émus sous cette illustration que je trouve magnifique. Des bisous amicaux au Poète... où qu'il soit
magnifique photo ! des nervures aux bois, la vie en ses formes solidaires
RépondreSupprimerUne photo que j'ai relevé du site Printerest qui foisonne de paysages sublimes. Merci pour tes jolis mots Hue
SupprimerEt si chacun de nous arrosait "sa" fleur et celle du jardin voisin avec un peu de rosée du matin, celle qui vient directement du coeur et qui allie fraîcheur vivifiante et chaleur humaine ! Et si en voyant les fleurs se crisper, nous les aidions à s'épanouir. Et si, et si, et si l'individu se comportait en être généreux plutôt qu'en bête destructrice ou guerrier animal. Un rêve, une utopie, me diras tu mais je pense qu'au fond de chacun d'entre nous il y a de bons sentiments et qu'il suffit de donner l'étincelle pour que le monde devienne meilleur.
RépondreSupprimerIl est temps que l’homme réapprenne à vivre. Il s’est trop détruit en pensant que sa vie à lui est la négation de celle de l’autre. Il est temps de se rapproprier l’essence de la vie, qui est amour, fraternité, solidarité. L’homme a quelque part perdu le sens de sa route, trop égocentrique, trop imbu pour sa personne, il n’a rencontré que le vide qui lui a fait perdre son humanité. Il faut se réapproprier la vie.
SupprimerMerci Chinou pour ton plaidoyer sur la vie, ton formidable tonus pour crier que tout est possible pour peu que le bon sens prenne le dessus. Mais je remarque chère amie, que tes mots sont empreints et nourris de poésie, ce qui me fait dire, tu es pleine ressource poétique.
Bisous
Chinou, j'aurais aimé que tu écrives ce magnifique commentaire sur mon dernier billet, tant il s'accorde parfaitement avec mes petites graines d'amour !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Sublime correspondance entre l'écrit et l'image, quelques mots posés comme des graines.
RépondreSupprimerMais la vie reprend le dessus, la vie est plus forte, quoi que l'on dise, quoi que l'on fasse...
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans les moindres rêves où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets... Francis Cabrel
¸¸.•*¨*• ☆
Et toi aujourd'hui,la Céleste combien tu as semé de graines d'amour ? Toi qui a mis à chacun un mot d'amour et d'espoir dans sa tirelire. Oui il faut des femmes célestes pour que le monde reprenne goût à la vie et toi la Céleste tu distribues l'amour,comme s'il en pleuvait pour reprendre un ver du poème que tu viens de citer de Cabrel. Merci Mon amie pour ton passage toujours agréable chez moi; Pour Chinou, son commentaire est certes mieux pour ton billet, mais elle a laissé tellement de graines chez toi qu'elle en a aussi arrosé le mien, en passant comme une hirondelle.
SupprimerBisous
@Céleste et @ Bizak
RépondreSupprimerJe suis toujours dans la spontanéité et mes écrits restent là où je les ai posés à l'instant de mon émotion. Peut être pourriez vous vous les échanger . ;-)
Les échanger, n'implique pas une possession, ni une perte, car un mot, les idées, d'une manière générale, quand on les partage augmentent les connaissances des deux parties et aucune n'en perd un seul mot. Bisous à vous deux
SupprimerMa réponse était également spontanée, Chinou.
RépondreSupprimerQuand tu écris chez moi que tu n'as "pas de mots" il me semble que oui, tu en as, et de très beaux. Et ce ne sont pas des effets de manche, mais des mots qui viennent du coeur.
Mais ça ne voulait en aucun cas dire que ce commentaire n'était pas à sa place chez toi, cher Bizak.
Bises célestes à tous deux.
¸¸.•*¨*• ☆
Mais bien sûr qu'il est à la place où il voudrait bien être si le coeur lui en dit à ce commentaire. Qu'il soit chez toi, la Céleste ou chez moi, c'est toujours chez-nous...pardon, Chinou!! Bises multiples à vous deux.
SupprimerQuel hommage pudique où se ressent une noble et juste souffrance, loin d'un tapage ignorant et réducteur, merci de mettre ces jolis mots sur les larmes.
RépondreSupprimerOui, parfois des mots simples suffisent à exprimer notre raz le bol. Merci Isabelle pour tes mots toujours aussi jolis.
SupprimerBisous
j'entends de la souffrance alors je ne sais pas si c'est une projection auquel cas, je m'en excuse
RépondreSupprimerje dois être trop " à vif" pour bien saisir
cependant, merci pour la respiration des mots
Tu n'as nullement à t'excuser,Sylvie, cela importe peu dans la poésie, l’essentiel c’est ce que t'inspirent à toi les mots. Comme le disait,Emil Michel Cioran « La poésie a, comme la vie, l'excuse de ne rien prouver. »
SupprimerMerci Sylvie pour tes mots.
Parfois le mal est violent, la douleur récurrente et l'impuissance n'apporte aucun soulagement. Tes mots aident à évacuer ce qui ne peut se dire.
RépondreSupprimerC'est fort.
Merci Letienne, oui parfois le mal est violent et trouver les mots qui nous font expurger la douleur, nous aide à avancer.
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RépondreSupprimerc'est un très beau texte, Bizak, qui souligne si justement la folie des hommes. Je me sens si impuissante face à ce qui se passe actuellement, mais je continue à espérer et à croire en un monde moins violent.
La photo aussi est bien choisie...
Belle journée à toi.
Oui ElLinda, le monde est devenu fou, que nous reste-t-il sinon dire par des mots ce qui nous travaille, ce qui nous submerge, ce qui nous fait mal. Merci ElLinda pour tes mots gentils.
SupprimerBelle journée à toi aussi.
Une façon très pudique de parler de cette violence qui nous fait tant souffrir. Merci à toi Bizak.
RépondreSupprimerMerci de ta gentillesse Françoise de comprendre et d’acquiescer pour mes mots qui sortent du coeur dans ces moments pénibles pour tout le monde.
SupprimerBelle soirée et Bise Françoise
Tes mots pleurent bizak, des larmes contenues sur la page, et je les aime car ils évoquent sans trop dire. Ils ressentent pudiquement.
RépondreSupprimerDouce journée à toi.
bisou.
Den
Il est parfois bon de s'exprimer mais pudiquement, c'est bien le mot. La douleur nécessite de la sérénité et du courage et de la solidarité.
SupprimerBonne journée Den et Merci
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerAujourd'hui je reprends un bain de ce qui devrait être "la normalité" ! Des échanges entre des êtres humains où domine le respect. La richesse de tous ces billets dans toutes leurs différences de ressentis sur tes écrits provient sans aucun doute de ton filon poétique... rare, beau, instinctif. Comme ces vers au message fort et élégant qui m'ont beaucoup émus sous cette illustration que je trouve magnifique.
Des bisous amicaux au Poète... où qu'il soit