Dans un restaurant, un homme buvait à table un excellent vin, sans le louer. Le maître de la maison lui en fit servir, ensuite, du très médiocre. « Voilà du bon vin, dit le buveur silencieux.- C’est du vin à dix sous, dit le maître, et le premier que je t’ai servi, un vin des dieux.- je le sais, reprit le convive ; aussi ne l’ai je pas loué. C’est celui-ci qui a besoin de recommandation. »
« L’évidence paralyse la démonstration ! »
Pierre Reverdy
Ah le vin...
RépondreSupprimerTout dépend avec qui on le boit ou pourquoi. Après le bouquet, c'est le bouquet, comme dirait Michel ! ^^
Besos
Jack
Oui, Jack tout dépend avec qui on le boit, mais je préfère que ce soit avec Carole qui a sa cuvée du Sangue d'Oro, le vin qui est un bon cru qu'elle produit en Sicile et puis Jack, Jack! elle est belle!
RépondreSupprimerJe suis paralysée également et mes mots ne veulent pas sortir devant tant d'évidences !
RépondreSupprimerLapalisse a dit aussi vrai devant tant d'évidence!Ce qui reste, le vin est tiré, il faut le boire! A la tienne.
RépondreSupprimerBizak, je vais me méfier de tes compliments!
RépondreSupprimerOrfeenix, ce n'est pas évident ce que tu dis!
RépondreSupprimerOrfeenix, mes compliments sont toujours sincères,ils viennent souvent du coeur! Sinon je n'en fais pas! Pour le vin à table tu peux me croire, s'il est mauvais, je râle et sérieusement...
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