Et voilà, je jette tout par-dessus bord et je m’en vais loin, loin… Je n’en ai rien à foutre d’expliquer à chaque fois, moi qui ai horreur de toujours expliquer ! Aimez-moi ou pas je m’en fiche ! Je ne suis pas le centre de la terre, je ne suis pas un héros, je suis moi ! Et moi j’aime ! J’aime ma liberté, je n’exige rien de quiconque, mais j’aime les êtres : pour leur simplicité, leur amour, leur erreur, leur liberté, leur envie, leur humour et leur exigence…oui, leur exigence d’être seul parfois! Cessons de faire semblant, juste pour paraître…plutôt disparaître, je préfère !
A peine commencé, un blog déjà disparu. Ou alors c'est juste pour des vacances ? ^^
RépondreSupprimerBesos Bizak !
C'est un moment de spleen qui m'a gagné et qui a culminé avec une forme de saudade( forme de mélancolie méditerranéenné,qui vous gagne avec un sentiment de nostalgie)! Alors, à défaut de prendre ses cliques et ses claques réellement, on crie haut et fort, mais en silence, et la serenité revient et nos amis rappliquent, s'inquièttent et tout rentre dans l'ordre, jusqu'à nouvel ordre!
RépondreSupprimerPour le blog, il poursuit sa route, en attendant le retour des vacanciers et vacancières, pour prendre le bateau par le tricorne! Bise.
Ah, tu m'as fait peur ! Je me suis habituée à ta prairie. Ce vert fait du bien et puis j'aime te lire alors reste là donc.
RépondreSupprimerBise
Suis rassuré alors !
RépondreSupprimerBesos ♥
Jack
Aurélie, merci pour ta gentillesse, moussaillonne adorée! Comment pourrais-je supporter de ne pas te lire! Alors, restons donc!
RépondreSupprimerIl faut que tu t'instruises sur les effets melancolico-devasteurs de la saudade! Même les poèmes des spleen de Baudelaire (comme ce ver:Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle...) sont des romances joyeuses, par rapport à la mélancolie de la saudade, qui peut se « comparer(d'après le larousse) à un ensemble très fort de plusieurs états d’âmes, comme un mélange de mélancolie, de tristesse, de regrets, de rêverie, de nostalgie et d’insatisfaction!
RépondreSupprimerAlors, gâre à toi, si elle t'attrappe en pleine mer sur ta frégate entouré de tes moussaillonnes! Bise des mers Jack!
Cela sert aussi à ça l'écriture à pouvoir faire ressortir sa mélancolie, ses coups de blues, ses coups de gueule. Parfois on publie ces textes parfois il reste dans un dossier dans l'ordinateur. Car rien de poser les mots sur un bout de papier, peut suffire.
RépondreSupprimerCela serait en effet dommage d'arrêter ce blog, où l'on trouve à chaque passage un sujet différent. Après peu importe qui vient ou ne vient pas, si nous y trouvons une nouveauté chaque jour ou non. Le principal, c'est que toi, tu y trouves du plaisir à le faire vivre.
Quand à cette mélancolie de la Saudade, qui m'a l'air terrible, il faut s'en servir pour faire de beaux textes, car bien souvent les tristes sont les plus beaux, et ainsi elle sera vaincue, car les commentaires qui accompagneront ces textes ramèneront petit à petit, confiance, espoir et sourire.
Rien qu'avec ce doux nom"La Rosée du matin", on se sent revivre et la mélancolie prend ses jambes à son cou! Merci douce rosée pour ces mots qui mettent du baume au coeur , comme ces vers de Velaine:
RépondreSupprimerÔ bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie
C'est un cheval poète qui a donné naissance à la rosée du matin en transformant la goutte d'eau qui fait déborder le vase par une gouttelette de cette rosée.
RépondreSupprimerJe suis heureuse quand à mon tour, j'arrive à donner à un peu de baume au coeur, mais l'élève a encore beaucoup à apprendre.
Tes paroles sont sages et tu es trop modeste, petite goutelette transformée en rosée dont la terre s'abreuve au petit matin pour étancher sa soif, comme tu nous étanches aussi la notre, par tes belles paroles.Bise, La Rosée!
RépondreSupprimerSi je veux abreuver les jardins au petit matin, il va falloir que j'aille rejoindre Morphée. Bonne nuit muxu
RépondreSupprimerBonne nuit et fais de beaux rêves dans les bras de Morphée!muxu.
RépondreSupprimerC'est exactement, ce que j'aii fait : partir, faire silence. :-)
RépondreSupprimerAlors, nous sommes deux à prendre nos cliques et nos claques, à foncer tout droit et ne pas se retourner! Mais heureusement, ce moment de repit permet de se remettre les idées en place et aussi de se réoxygener à fond!
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