Je voudrais changer les couleurs du temps
Changer les couleurs du monde
Les mots que j'entends seront éclatants
Et nous danserons une ronde.
Guy BéartQue vaut le printemps
Si la lune perd son éclat
Et les hirondelles
Leurs gazouillis
Belle fleur, j'ai vu la rosée
Du matin comme une larme
Germée pendant la nuit
Qui s’essuyait sur tes frêles épaules
C'est une étrange mélancolie
Quand les yeux sont voilés
Et font perdre tout éclat
Aux étoiles langoureuses
Je saurais prendre mon luth
Pour égrener les notes de grâce
Venant de l'oriental
Et donner au ciel sa splendeur
Pour que les âmes gracieuses
Dans leurs moments incertains
Oeuvre des vents impétueux
Puissent reprendre leur sourire
La lune reprendre son apparat
Les hirondelles leur envol magique
Dans un gazouillement de gala
Et le printemps n'en sera
Que plus beau!
Hélas ce n' est pas de saison mais qu'importe, c' est ravissant comme une mignardise et pour les poètes, il y a toujours un printemps,je t' embrasse en toute saison, mon cher Bizak!
RépondreSupprimerLe printemps en Algérie, il dure les quatre saisons, c'est le lieu idéal pour les poètes qui n'aiment que le printemps. Quand survient l'hiver et qu'il est aussi doux que le printemps en antarctique , je fais comme les inuits font, ils dorment ! Je t'embrasse Isabelle sous les coquelicots!
SupprimerAh bin oui, je pensais que tu étais en déplacement dans un coin du monde qui attend les bourgeons ^^
RépondreSupprimerC'est joli quand même !
Je suis constamment en déplacement avec mes mots, je vais là où le printemps me guette et quand je vois que les œillets des poètes bourgeonnent comme les œillets des fleuristes.
SupprimerVoilà un déliceux poème qui me remet du baume au coeur...
RépondreSupprimerJ'ai vu tant de nuages noirs s'amonceler dans mon ciel, que mes yeux n'avaient plus de larmes pour pleurer la fin de l'été...
En pensant à ton printemps de mots, je laisserai venir l'hiver comme l'automne en souriant à la vie, comme tu le conseilles...
Bises célestes
¸.•*¨*• ☆
J'ai brisé le verre des saisons, je vais où le vent m'emmène sans un regard en arrière. Je n'ai que faire des prévisions météo, le printemps est à celui ou celle qui le prend à bras ouvert. Si la pluie tombe, je lui souris, car c'est le printemps qui la suit après.Je lis mon printemps dans les livres, je ne cherche nullement les primés, ou les préfabriqués, je lis c'est tout, par instinct,par envie; Les "passantes" était un poème d'Antoine Pol, que Brassens a découvert au hasard des chemins, et la transformé en printemps des amoureux. Oui Célestine souris à la vie, elle te sourira. Il n'y a pas d'automne pour un coeur assoiffé de vie, il y'a juste le temps de vivre. Merci Célestine pour tes mots qui suivent le chemin du printemps.Bises enthousiasmés.
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RépondreSupprimerEn ouvrant la fenêtre de ton blog, j'ai reçu un bouquet de mots printaniers...
ce matin était un moment incertain,ton luth sait redonner tes sourires et des notes poétiques pleines d'espérance
Merci Marie pour tes mots qui me vont droit au coeur. Comment ne pas être ravi quand les miens peuvent donnent du sourire et des notes poétique un beau matin. Mes bises Marie.
SupprimerNB: Je commente moins ces jours-ci, je suis sur un travail fastidieux et trop concentrant, qui me fait éloigner momentanément de la blogo.
Je voudrais panser les humeurs des gens
RépondreSupprimerPanser les douleurs du monde
Ces maux angoissants aux rebonds méchants
Et qui font le nid de l'immonde.
Bonsoir Bizak,
J'espère que tu vas bien et que nous aurons de tes nouvelles bientôt. Je viens te rendre un hommage pour ce poème magnifique et reviendrai le lire car il m'a fait du bien car actuellement il faut savoir cueillir ces baies de plaisir où qu'elles se trouvent.
Je t'embrasse et te dis à bientôt