De ton regard de velours
J'ai pris le bleu mêlé
De nectar divin et idéal
Pour dessiner tes cils sur ma peau
J'ai rajouté des mots colorés
Dans ma mémoire éblouie
Qui me tiennent la main
Quand ma raison s'évanouit
J'ai pris ton sourire de soleil
Que miroitait ton visage sur moi
Je l'ai étalé sur mes veines
Et j'ai vu disparaître à jamais
La brume qui me bridait les yeux
D'où vient la perfection d'un poème?
RépondreSupprimerSans doute de l'exacte harmonie
entre les sentiments,
les sensations, le souffle de l'air
et le chuchotement des astres...
Et quelle femme n'aimerait recevoir ces mots
sortis du grand sac de velours d'un poète ?
Un de ces sacs souples couleur de nuit
dans lesquels scintillent les mots
piaffant d'impatience
comme des chevaux quand ils aperçoivent déjà
la couleur du pré...
Tu nous régales une fois de plus
de ta magie, cher poète
et comme c'est agréable...
Bises étoilées
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne sais comment te répondre, la Céleste, tellement je suis cramoisi comme un potiron rouge.
SupprimerTes mots me vont droit au cœur, ils m’encensent mais je sais qu’ils sont sincères. Alors je les prends, tels quels, je les enveloppe dans mon mouchoir de soie et les pose dans mon écrin d’or.
Ce que je sais, c’est que, souvent tes mots m’ont donné une envie, de tresser les mots, que ce soit avec les plumes d’Asphodèle, où tu as toujours ton empreinte indélébile dans tes participations , que ce soit sur ton blog toujours riche, convivial et accueillant où il y’a du bonheur à commenter tes billets, sans compter le nombre de lecteurs toujours important qui posent leurs mots et qui y reviennent.
Tu es et tu seras toujours la bienvenue pour poser tes commentaires ici. Merci de ta gentillesse.
Bisous épanouis
En relisant ton commentaire, j'aperçois un vrai fleuve de mots que je me plais à relire tellement ils sont affriolants et fuides:
Supprimer"Un de ces sacs souples couleur de nuit
dans lesquels scintillent les mots
piaffant d'impatience
comme des chevaux quand ils aperçoivent déjà
la couleur du pré..."
Merci
C'est un bonheur que d'écrire quand on a lu un tel poème, surtout si l'on s'imagine qu'il a été écrit pour soi...
SupprimerC'est le talent des poètes de rendre chaque femme à la fois unique et universelle...
<3
¸¸.•*¨*• ☆
Tout le bonheur est de porter haut ses sensations et affects, en littérature, en poésie, en peinture, quand il est parfois impossible de les exprimer autrement. Si mes mots t'ont touché ou ému,la Céleste, cela me réjouit grandement.
SupprimerBisous Célestine
Touchée, émue..ah oui !
SupprimerPlus que tu ne crois...
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Excuses-moi pour l'accord du participe passé pour ému-e- et touché-e- sur mon commentaire!!^^
SupprimerRhôô Bizak ! j'ai passé ma période institutrice ! respire...tu n'auras pas de mauvaise note ! :-D
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ne t’inquiètes pas, c'était juste un froufrou passager qui m'avait fait comprendre, que je néglige un peu les règles grammaticales.^^
SupprimerC'est chou, un frou-frou passager ...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tu as une façon d'attirer l'attention de quelqu'un, qui dénote une infinie délicatesse mêlée d'un zeste de gracieuseté, qu'on croirait que c'était juste un ange qui nous avait effleurés de ses ailes.
SupprimerMerci
C'est joli, un zeste de gracieuseté. Ça a quelque chose de léger qui me plaît bien...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Terriblement romantique !
RépondreSupprimerAh! cher Daniel, c'est très sympathique à toi! Merci
Supprimerhé oui célestine a raison ; on aime recevoir ces mots là , puissants et légers comme des ailes de papillon
RépondreSupprimermerci!
Merci Sylvie que le poème t'inspire avec les mots frétillants comme les ailes de papillons.
SupprimerBonne soirée Sylvie
C'est léger, sensuel, très amoureux, très heureux... l'amour dans sa tendresse et son envie de toucher et... dessiner!
RépondreSupprimerOui, léger comme des plumes de papillons et sensuel et amoureux comme un doux clair de lune.
SupprimerMerci Edmée
Ici, chaque post est une ode à l'amour, à la tendresse et à la sensualité. Les mots coulent de source, traversent les zones euphotiques pour éveiller l’émoi, la sensualité, la tendresse et les amener à fleur de peau pour un corps à corps impétueux.
RépondreSupprimerQuel bonheur que de s'exprimer sous forme d'ode, de poème ou ballade ! le tout c'est de dire notre ressenti, par des envolées lyriques, par des fleurs, par des métaphores, par toute autre expression, notre amour, notre bonheur, notre amitié quand ils éclosent comme un printemps enfiévré et épanoui pour que la vie soit toujours portée au firmament.
SupprimerMerci Chinou pour tes mots pleins de poésie et d'amitié.
Tu es trop généreux avec moi. Je ne sais pas écrire de façon poétique ou romantique même si je vibre ainsi. Oui Bizak, mon amitié t'est acquise en espérant qu'un jour elle ne sera plus virtuelle. J'aime ton expression "printemps enfiévré"
SupprimerTu l’as bien dit Chinou, tu vibres ainsi. Chacun a sa façon de s’exprimer, de faire de la poésie, il n’y en a pas une seule. Toi, tu le fais très bien avec la peinture, mais cela n’enlève rien à ton engouement pour la poésie, et pour l’écriture, même si tu dis que « tu ne sais pas écrire de façon poétique », ce que je trouve injuste. J’ai lu tes petites phrases sur tes dessins qui n’ont rien à envier à la poésie. En tout cas quelque soit ton outil d’expression, ça reste de la poésie ; Et de te citer, Simonide de Céos,un poète lyrique grec : La peinture est une poésie silencieuse et la poésie une peinture qui parle.
SupprimerBisous Chinou
Merci Bizak d'élargir mes connaissances. Même si comme le dit Paul Morand -les citations sont les béquilles des écrivains infirmes- je mentionnerai cette citation dont tu me fais cadeau dans un de mes prochains posts. Bien à toi. Chinou
RépondreSupprimerSi je comprends bien Paul Morand, les citations sont faites donc pour être mises sous le boisseau! ^^
SupprimerBonne journée Chinou
Paul Morand n'est pas précisément l'écrivain que je préfère...
SupprimerTes citations ne sont pas des béquilles, Bizak, ce sont des diamants dont tu ornes tes propos toujours judicieusement, révélant ta grande culture.
Alors non, Chinou sera d'accord avec moi, j'en suis sûre, ne les mets pas sous le boisseau, ce serait dommage...Et continue de nous citer tes poètes et romanciers préférés.
Bisous célestes
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Combien de romans fabuleux d’écrivains non moins fabuleux qu’étaient Victor Hugo, Stendhal, Jean Paul Sartres, et d’autres et d’autres…avaient porté en épigraphe, des citations, des paroles en prose, des vers. Comme le roman célèbre par exemple de Stendhal, le rouge et le noir qui portait en épigraphe, cette citation de Danton : « La vérité, l’âpre vérité. »
SupprimerPersonnellement, j’ai toujours considéré les maximes, les citations surtout quand elles sont fortes et souvent justes, comme une nourriture dont on se délecte savoureusement et surtout que l'on fait partager. Mais le devoir moral, nous impose seulement de citer leur source.
Tes mots sont légers et délicats comme des caresses, c'est sans doute cela qui nous touche tant, Bizak. Continue à nous offrir tes poèmes, c'est un plaisir immense de les lire. Merci à toi, cher poète. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerMerci Françoise pour ces mots pleins de délicatesse et suis très heureux que mon poème te plaise.
SupprimerBonne journée Françoise
RépondreSupprimerJ'ai vu dans ton poème, le visage de l'aimé(e) qui peu à peu se dessine, mieux s'imprime dans le coeur et le corps de l'artiste, avec beaucoup de douceur et de tendresse. Tes mots sont un bercement ce soir. Merci à toi. Belle nuit étoilée pour toi ce soir.
Comme c'est beau ce que tu dis ElLinda, avec des mots à toi, pleins de poésie. Merci à toi
SupprimerBelle nuit aussi pour toi ElLinda.
Quelle délicatesse, bizak, quelle légèreté,... tes mots glissent si purs, si harmonieux, en-chantent et nourrissent parfait-aimant notre âme romantique...
RépondreSupprimermerci beaucoup....
...De ma Provence qui transpire la canicule, je t'embrasse...
Den
Quel bel éloge Den, venant de ta part, cela me fait plaisir, d'autant que tes mots sont pleins de poésie. Merci l'amoureuse de la Provence, chère à Pagnol, René Frégni que j'aime tant.
SupprimerJe t'embrasse aussi Den
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerEn ce dimanche oû s'annonce l'emprise d'un ciel gris et pluvieux ton poème est comme une éclaircie perçant à l'horizon qui porte en elle un espoir de victoire du soleil! Et tous les commentaires sont autant de rayons poinçonnant l'azur nuageux de lumière bienfaisante. Ce partage est une bouffée de douceur qui m'a procuré un plaisir salvateur.
Je te félicite et t'embrasse de tout mon coeur
Pardonne-moi chère amie Marlène de ne pas avoir commenté tes commentaires précédents sur beaucoup de mes billets, mais je tiens à te dire qu'ils ont pénétré mon coeur et tout autant, celui d'aujourd'hui m'enchante et me ravit énormément.
SupprimerJe te remercie pour ta gentillesse, ta patience et surtout ton amitié indéfectible.
Je t'embrasse aussi ma chère Marlène.