Maintenant que le vin est tiré il faut le boire!
Je fais de la poésie, en pensant à la prose, sans le savoir!
Je rêve de tirer les cyclopes de leurs entrailles,
Leurs balbutiements m'incommodent, je ne sais!
Ulysse, par sa ruse a fait table rase,
Son retour était prémédité!
Athéna m'a fait l'aveu,
Que triomphent les battants, m'a t'elle dit!
Car Sisyphe trône sur son trône,
D'autres cyclopes ont la peau dure!
Je pars sillonner les mers,
Sans croire aux sirènes!
Je me bouche les oreilles et les yeux,
Que le cyclope aveugle pavane maintenant,
Au pays des borgnes...!
C'est bien de revisiter la mythologie, en poésie!
RépondreSupprimerJ'ai pris plaisir à lire ton poème! Sans le savoir peut-être mais avec succès. Cyclopes, Sisyphe et les sirènes, je me suis retrouvée comme en terrain connu!
RépondreSupprimerC'est bon Mokhtar d’aérer un peu son imagination avec la mythologie grecque!
RépondreSupprimerMerci Mango de ta visite! Il me manque de placer quelques mots à ton blog si riche, en raison d'une longue pause et aussi de quelques désagréments pour joindre quelques blogs et placer un commentaire! Mais apparemment ça va mieux ces jours-ci,j'ai changé de navigateur et j'arrive...!
RépondreSupprimerBonne journée Mango!
Bel envoi poétique.
RépondreSupprimerFélicitations.
Roger
@Roger: Je tâte mes éventuels talents de poète peut être cachés et insoupçonnables!
RépondreSupprimerje te suivrai fidèlement dans ton odyssee lyrique et si tu fais halte par chez moi, nul maléfice de calypso ou de circé, bienvenue dans le monde de la prose poétique....
RépondreSupprimerIl est vrai, Isabelle, que c'est un monde magique que la mythologie grecque! Alors poséidons ou prose-eidons ou même poesi-ons, je suis partant, mais seulement quand je crois aux sirènes et surtout à leur chant!
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