"Il y a quelque chose dans la poésie qui est plus important que le sens : la résonance." Marina Tsvétaïeva
mercredi 28 novembre 2012
Où est ma muse?
Je ne partage pas ce que je fais!
Pourtant je me suis dit de m'appliquer!
Et je ne cesse de m'appliquer,
A qui la faute?
A moi, bien évidemment, me répondrai-je!
Alors j'ai décidé de me le dire à moi,
C'est à dire à l'autre moi, mon ego!
Réveilles-toi ou plutôt réveille-moi!
Apprends ma leçon, réfléchis,
Ne me débine pas, sois moi!
Je me prends alors tout seul,
Je me mets à réfléchir,
Et je découvre la faille!
Elle se trouvait en moi,
J'avais oublié qu'en moi, je l'avais perdue Elle,
Ma Muse...!
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Une vraie muse ne se perd pas , or toi tu es véritablement inspiré, écoute bien, je suis sûre qu elle te parle sans que tu l' entendes! Un de mes poèmes préférés quand j' étais jeune s' appelait nuit de décembre de Musset et faisait suite la nuit de mai où il discute avec sa muse, eh bien la solitude lui réussissait encore mieux!
RépondreSupprimerTu te demandais où était ta Muse, eh !Bien, je crois qu'elle est venue à ta rencontre.
RépondreSupprimerBel envoi poétique.
Roger
tres beau
RépondreSupprimer...Je l'entends bien, c'est vrai parfois et surtout quand tu apparais, j'en suis certain!
RépondreSupprimerMuse toi-bien, Isabelle!
Quelque fois elle me tourne autour mais je ne la vois pas toujours!Merci pour la belle envolée, Rojer!
RépondreSupprimerMerci, Lila!
RépondreSupprimerUne muse, j'ai l'impression de ne jamais en avoir eu et pourtant...pas beaucoup de textes que j'ai écrit m'ont été soufflé à l'oreille, nourris de je ne sais quoi ou qui :)
RépondreSupprimerOrfeenix a tout d'une muse, oui...Oh ouiii ! :)
Si je ne m'abuse, je dirais qu'Orfeenix comme tu le suggères, est notre Muse sans le savoir!Plutôt si, on le sait! Donc ne dis pas que t'as écris des textes sans... et pourtant si!...
SupprimerEt vous êtes mes musiciens des mots, je préfère à " museaux"!
SupprimerAlors, à-museaux-nous!
Supprimertu es tout à la fois Bizak, le poète, la muse, le poème,
RépondreSupprimerune bien belle histoire!
Brigitte, si je suis tout à la fois, le poète, la muse, le poème! Qui est alors le souffleur?
SupprimerBonsoir Brigitte!
ah oui j'ai oublié le principal, le souffle divin...
RépondreSupprimerAh! Divine Brigitte.
RépondreSupprimerJe crois que ta muse est toujours avec toi.
RépondreSupprimerEt tiens je me demande si j'ai aussi une muse ou comment on appelle une muse au masculin ?
En réfléchissant, je me dis, finalement, qu'on est quelque part tous, la Muse de quelqu'un en relation à un sujet bien déterminé qui est maîtrisé par la Muse!On doit avoir certainement plusieurs muses spécialisées chacune dans une matière!
RépondreSupprimerPour le masculin ( ce qui me m'étonne beaucoup!?)je dirais:un "museau"!!!?? Comme un museau renifleur!!( je ne vois pas ce qu'il peut faire d'autre que... renifler... ce museau! Bonsoir Aurélie. Un sujet m'attend plus loin....(Pour répondre à une Muse qui m'a donné un sujet délicat...)
Quelle que soit ta muse et d'où qu'elle vienne, je l'aime: elle est belle, inspirée, profonde et simple à la fois, tout ce que j'apprécie!
RépondreSupprimer@Mango:C'est trop d'honneur que tu me fais, euh!... pour ma Muse! Agréable journée à toi,Mango.
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