L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime!
Alfred de Musset
Je revois la fée qui m'est apparue l'autre jour!
Habillée comme toujours, dans un style du tonnerre!
Elle a saisi ma main, pensant me connaitre,
Se demandant: quel est ce miracle?
Mais en un éclair de temps,
Elle était toute confondue, de la méprise!
Elle m'avait regardé, d'un air souriant!
Elle voulait savoir qui j'étais!
Espérant toujours! sait-on jamais?
Car le temps nuit à la mémoire!
Mon coeur ébahi et tremblant,
Tel un séisme sur une échelle inconnue!
Il y'a vingt ans que c'était fini!
Enfin le pensais-je!
Est-il vrai que cet astre peut réapparaître?
Quand les nuages bâillonnent le firmament!
Mon coeur, resté muet, croit encore espérer!
Mais se méfie des farfadets et des gnomes!
Je crois aux anges, et je crois en tes ailes, comme c' est joli!
RépondreSupprimerMerci Isabelle de tes mots qui me mettent aux anges!
RépondreSupprimerCroire aux anges, c'est croire en soi et c'est le diable qui va se mordre la queue!
Je crois aussi aux anges et à mon ange gardien qui veille près de moi et me protège.
RépondreSupprimerSi tu crois aussi aux anges, tu les verras !
Biz
C'est intéressant de savoir qu'on est bien entouré: Notre Muse qui nous inspire! notre Ange qui nous protège!..et peut être aussi notre belle Etoile qui nous donne la chance!
RépondreSupprimerbises angéliques!
Très bel envoi.
RépondreSupprimerRoger
Merci Roger!
RépondreSupprimerLe Bizak, elle t'inspire bien ton angélique muse, pardi!
RépondreSupprimerCe qui est drôle dans la vie, c'est qu'on peut faire le summum des rencontres et des idylles, votre cerveau reste coincé ou "calé" sur celle ou celui qui un jour, même s'il y'a des siècles de cela,avec qui, une lumière a jailli, s'est effacée subrepticement mais sans avoir l'assurance que c'était fini! Alors on reste à attendre indéfiniment pour savoir!
RépondreSupprimerSeuls les poètes peuvent comprendre, j'imagine!
Ce que tu avances, là, Bizak, c'est l'essence même de la
RépondreSupprimerpoésie! Rien ne s'y perd et tout s'y recrée. C'est le haut-lieu de toutes les transfigurations de ce que l'on croyait disparu à jamais; erreur! cela resurgit on ne sait quand, on ne sait comment ni pourquoi. Cela dépasse les équations rationalistes pour avoir une autre envergure qui est ce que j'appelle(cf. la présentation de mon blog)"Le rendez-vous du poème qu'il se donne à lui-même. Il faudra se contenter de savoir le recevoir!
Merci Mokhtar de me donner du baume au coeur, je sais que la poésie nous grandit et entretient l'espoir! Et moi j'attends toujours!
Supprimerc'est si juste Mokhtar!
SupprimerMerci de ta visite Thi Lan, et cela m'a fait un grand plaisir que mon blog t'ait plu!
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerMême si commentaire a été supprimé, le beau sourire, lui reste!
SupprimerCher Bizak,
RépondreSupprimerc'est une envolée de poète
et si tu attends toujours...
tu ne dois pas être bien loin:)
foi d'une poétesse
Ah Brigitte, les dieux grecs t'entendent!
SupprimerAprès tant d'années d'abscence,notre imaginaire a tellement nourri l'illusion d'un visage qui n'a rien subi des défilements des printemps perdus,seule Athéna, comme pour Ulysse,recréerait l'idylle à jamais disparue!
j aime bien vous lire
RépondreSupprimerMerci Lilasvb pour votre passage, tout le plaisir est pour moi et j'adore aussi vous lire!
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