Voilà maintenant un bail que j'ai délaissé mon blog par manque de temps au temps! Est-ce dû à une grande charge de mon travail? je n'en sais trop rien. C'est moi qui ai dirigé les événements. Je suis seul responsable.
Je voudrais être peintre!
Pour que je sois heureux
J'ai besoin de te voir, de te regarder,
Dans ton coin, dans ton lieu
Dans tes escapades!
J'ai besoin de te voir
Dans ton soleil, dans ta pluie!
J'ai besoin de t'entendre respirer
J'ai besoin de boire tes mains
Voir tes prunelles, tes sourires!
J'ai besoin de voir tes dessins
Qui peut comprendre le sens de la vie?
Qui peut me dire quand je suis bien?
Moi je sais.
Quand ton ombre passe
Et m'éclaire mon visage
Pour que je sois heureux
J'ai besoin de tes mots
Pour aligner ma détresse
Qui s'envolera, se perdra
Pour retrouver ma sérénité, ma vie
Pour atteindre le récif
Et en finir avec ces vagues tumultueuses
Mais les mots parfois
Débordent, se pressent et me flagellent
J'aurais voulu être peintre!
Heureuse la femme qui a inspiré de si beaux mots...
RépondreSupprimerRavie de te retrouver doublement ce soir, dans mes espaces et dans le tien.
Ainsi cette nuit de pleine lune comporte une plénitude qui va me permettre de passer une nuit réparatrice.
Bises celestissimes
Heureux aussi que mes mots te plaisent pour redémarrer cahin-caha mon blog!
SupprimerN'ayant pas commenter beaucoup de mes amis et amies blogueurs,depuis belle lurette, j'ai bien peur qu'il me sera difficile de réchauffer mon perchoir pour de prochaines visites. Mais comme on dit, un seul(e) visiteur me comble déjà, merveilleusement bien.
Bises
C'est mignon ce que tu dis: "réchauffer mon perchoir..."
Supprimermais comme dit Alain, on est là.
Et nous, on a besoin de te lire.....
RépondreSupprimerC'est tout un honneur pour moi cher AlainX, de t'avoir comme lecteur! Et je le pense sincèrement. Merci cher ami.
RépondreSupprimerUn petit coucou en passant
RépondreSupprimerBisous célestes
Merci Célestine pour ton coucou!
SupprimerJe ne pensais pas que je serais autant éloigné de la blogosphère, pour un si petit virus mais tellement assommant. Il m'a a-"grippé" et m'a tenu ferme...au lit!
J'ai pas laissé de plumes, j'arrive!!
Des mots simples qui n'en sont pas moins lyriques !
RépondreSupprimerPour ce qui est de délaisser son blog, je connais ça aussi : la vie réelle nous rattrape et, quoi qu'on en dise, elle a la priorité.
Bonne soirée.
Merci Le Marginal Magnifique pour ta visite et pour tes mots justes. Comme tu l'as si bien dit , la vie nous rattrape et il nous est difficile d'être très présent sur nos blogs. Bonne soirée, aussi.
SupprimerJ'espère que tu t'es bien remis de ta grippe, mon poète!
RépondreSupprimer;-)
Moi qui lorgnais du côté où sévit Ebola, je n'ai pas vu son ancêtre qui somnolait dans les parages et qui a trompé ma vigilance avec l'arrivée de la saison grippale de l'hiver! J'ai repris du poil de la bête...en vrai!!
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