Le premier regard, c'est la première note magique jouée sur la corde d'argent de notre coeur Khalil Djibran
J'ai rencontré un brin d'amour
Dans un regard profond et doux
Aussi profond que le fond de l'océan
Aussi doux qu'une nuit tendre
Sur le chemin des rails ardents
La nuit quand je m'éveille languissant
Je pense à ce long horizon bleu
Qui me suit souriant et mystérieux
J'ai ressenti les vitres brisées
Quand le train a accosté sur le quai
Il m'a laissé des larmes sur le banc
D'une ombre qui a glissé dans mes rêves
Où irais-je donc boire de ses étoiles ?
Le ciel se couvre à jamais de brume dense
Ma mémoire se fissure dans le temps
Me restent Ô ciel des destins éraflés
Les bribes de son sourire éternel
Comme tu rends bien, si poétiquement et en harmonie avec la nature, le chagrin des séparations. Toujours les trains, les rails qui emportent...
RépondreSupprimerC’est dans les trains que la vie bouillonne, et parfois une étincelle jaillit comme l’éclair et disparaît non sans laisser quelques volutes de souvenirs. Merci Colo
SupprimerEt bien, que de mélancolie dans ces vers...
RépondreSupprimerOui, La Baladine, un peu de mélancolie dans les vers, mais tellement de tendresse dans les souvenirs inaltérables. Belle soirée La Baladine
SupprimerOn n'oublie jamais un premier regard même si ce n'est "qu'un brin d'amour"...
RépondreSupprimerDouce nostalgie...
Bises Bizak , merci
On dit qu’un regard parfois, peut être le plus beau des langages. Bises Noelle
SupprimerUne gare, des rails, ce sont des endroits qui touchent le coeur même dans les rêves.
RépondreSupprimerC'est un bien joli poème.
Mes amitiés et bisous Bizak ♥
Dans ces lieux de rencontre, Il est des visages qui se dessinent et des rêves qui dandinent. Merci Denise. Bises
SupprimerEncore un poème qui me touche, qui me parle. Par ces destins éraflés, comme s'ils n'avaient pas complètement accompli leur mission de destins. Par cette image très belle mais implacable, d'un horizon qui nous suit.
RépondreSupprimerA bientôt.
Je savais cher poète que ce qui ébranle les cœurs, te touchent profondément et ne te laissent jamais insensibles. Merci Patrick
SupprimerCoucou, que c'est beau et tellement évident, ce poème est magnifique, un regard sincère en dit tellement long, nos yeux parlent...! Bise, bonne soirée tout en douceur!
RépondreSupprimerRavi, Marie-Lina que ces mots te parlent, comme nos yeux nous parlent. Un regard, ça en dit long, parfois ! Bises à toi. Belle journée
SupprimerEn lisant ton magnifique et céleste poème, j'ai repensé à cette chansonde Bécaud que mon cher père aimait tant.
RépondreSupprimerUne gare au petit matin,
Deux amours se tiennent la main.
Ils sont tristes ou ils sont heureux.
On n'en sait rien, mais ils sont deux.
La vie c'est ça, tu le sais bien:
Un train s'en va,
un autre vient.
On prend toujours un train pour quelque part,
Un grand train bleu,
un grand train blanc,
un grand train noir.
On prend toujours un train pour quelque part.
Au bout du quai flottent des mains et des mouchoirs.
Toi et moi, nous irons très loin.
On s'aimera tant et si bien
Que le monde entier n'en saura
Ni le comment ni le pourquoi.
Un jour, les derniers jours viendront.
Nous prendrons le dernier wagon.
On prend toujours un train pour quelque part, Un grand train
bleu, un grand train blanc, un grand train noir.
On prend toujours un train pour quelque part.
Au bout du quai flottent des mains, des au revoir.
Je t'embrasse tendre poète.
¸¸.•*¨*• ☆
Tu as choisi le chanteur à la rose rouge de Nathalie, je t’en remercie, Céleste. Bécaud avait tellement bercé les jours et les nuits des amoureux du monde. Et cette belle chanson du train( qu’aimait ton papa) me ravit beaucoup.
SupprimerC’est par les trains que les cœurs voyagent
Entre l’heure du rêve et celle de l’aube
La rame qui nous emmène loin
Entame le chant des oiseaux bleus
Sifflant librement dans le vent mélodieux
Teinte nos émois de multiples couleurs
Imprime à nos mémoires et nos cœurs
Nos plus beaux hymnes à la vie
Et nous offre de si jolis muguets des lendemains.
Mille bises en petites étincelles vermeilles, chère Céleste
Oooh mais oui, que vois-je ? Un acrostiche que j'avais laissé s'envoler à mes yeux distraits par le ressac et les goélands...
SupprimerMerci de tout coeur cher Bizak. j'essaierai de dompter mon regard aux délicatesses de franges des poèmes.
Ce n'est pas la première fois que je "loupe" un de tes acrostiches...
Bises de retour
¸¸.•*¨*• ☆
Oui c'est vrai, il difficile parfois de le remarquer, quand le poème lui-même n'est pas clairement séparé du début de mon commentaire. Eh ben ! tu l'as quand même relevé, il n'est jamais trop tard.^^
SupprimerMerci Céleste et bise de confirmation.
Oh la tendre tristesse... la froide morsure des gares qui pourtant... font aussi revenir les gens qu'on aime... alors la morsure est celle de l'anticipation...
RépondreSupprimerJoli et quelque peu triste, ton poème :)
Ah ! comme c’est joli : la tendre tristesse ! je m’en imprégnerais bien tendrement, quand la nostalgie m’accaparerait mais je ne peux oublier le fugace regard tel un fond de lumière semé dans ma mémoire. Bises radieuses Edmée
SupprimerUn brin d'amour dans un regard,
RépondreSupprimerun souvenir qui reste au coeur
malgré le temps qui passe!
Un poème tout plein de tendresse et de nostalgie sur ses rencontres éphémères cueillies sur des brides de vie
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Le train passe et s’efface
Ne laissant point de traces…
Au fond des marécages,
S’estompent tes passages.
Tu planteras ta toile
Sur des éclats d’étoile
Et s’enfuiront amers
Tous tes chemins de fer !
(extrait d'un poème écrit en 2009)
Toujours avec des mots ravissants et palpitant comme des paillettes dorées et scintillantes. Ta poésie est vraiment pénétrée de chaleur et de souffle d’amour et de passion. J’aime.
SupprimerMerci Marie
Bises
Une musique déchirante blessait la nuit pendant que mon cœur cherchait, sans l'atteindre, la chaleur d'une caresse.
RépondreSupprimerTon baiser m'aurait donc menti?
Ton texte est beau d'une beauté douloureuse, sans doute fidèle à l'instant.
J'aime bien ta poésie quand elle prend les ailes des souvenirs pour atteindre l'être aimée, même pour une ombre de caresse.
SupprimerMon texte, c'est vrai, côtoie un moment nostalgique mais reste fidèle à son coeur
un très bel article
RépondreSupprimertilk
Je vous en remercie tilk.
SupprimerEnvol de réminiscences d'une mémoire qui se fissure,
RépondreSupprimerLes vitres se brisent,
éclats de sanglots, dans une nuit de déchirure.
Les étoiles cautérisent.
dans tes yeux, éclat de sanglot
dans nos yeux, éclat de vers d'une poésie qui parle si bien de la nostalgie, du premier regard, des destins qui resteront inachevés et toi tu t'égares. et quand je te lis, j'entends siffler le train et que c'est triste un train qui siffle dans le soir... bises apaisantes.
Il est des jours où le soleil trébuche pour provoquer un scintillement de rêve, mais le petit rayon de lumière s'envole et laisse un vide que seuls garnissent nos ombres. La vie est un éternel rêve qui nous aide à continuer le chemin.
SupprimerMerci pour tes superbes mots El Linda qui sont toujours pleins de poésie.
Bises ravissantes
Tout cela me fait penser à une séparation sur un quai de gare. Le train s'en va et on se retrouve tout seul, le mouchoir à la main. Beau poème, Bizak !
RépondreSupprimer..L'éternel évanescent s'envole et s'efface dans l'empreinte de qui nous sommes en ce lieu de passage déchiré, en quête et en rêve, là où nous ne faisons que transiter sur cette route, avec ce coeur si grand...oui bizak "c'est par les trains que les coeurs voyagent"... merci l'Âmi poète pour tes mots mêlés légèrement d'ancolie pour une mémoire qui demeure vive.
RépondreSupprimerDouce journée.
Bisou.
Den
Les aimés s'éloignent, mais les souvenirs restent, ne les laissons surtout pas s'évanouir, gardons les bien précieusement au chaud dans notre coeur.
RépondreSupprimerUn très joli poème, Bizak. Merci. Je t'embrasse.
"Le premier regard......sur la corde de notre coeur" décoche parfois une flèche qui sa se ficher pour l'éternité au plus profond de nous mêmes. L'éloignement ne fait qu'accroître le désir et ce regard peu à peu s'estompe , l'espoir s'amenuise, l'envie demeure. Que la distance est dure envers les êtres qui s'aiment......Victor Hugo le formule tellement mieux que moi « Oh ! qu’il est cruel d’aimer alors qu’on est séparé de l’être qu’on aime ! »
RépondreSupprimerBizak, Prince du désert, je sais et partage ce que tu ressens au moment où tu écris. Je pense bien à toi.
@Daniel, Den, Françoise, Chinou: : Désolé pour le retard de vous lire mes amis. Il est des jours où la pluie tombe moins gaie et arrose drument de ses filets le pavé et on se sent alors inerte, mais les jours plus vibrants réapparaitront forcément.
RépondreSupprimerMerci pour tous vos mots qui m’ont ravi. Je reviendrai plus tard quand les mots me déserteront moins. Bises à tous.
Hier j'avais répondu comme un poète à un événement triste qui a survenu dans la famille. La belle mère a pris les voiles sans retour. J'en suis désolé mes amis. J'espère revenir bientôt.
SupprimerPrends le temps qu'il faudra, Bizak. Je t'envoie toute mon amitié, et mes pensées les plus douces à toi, et à toutes les personnes qui sont dans le chagrin de ce départ.
SupprimerJe te remercie Françoise pour la douceur de tes mots.C'est un moment difficile à passer mais la vie fait son petit bonhomme de chemin et on doit s'y faire. Amitiés
SupprimerLe perte d'un être cher nous poursuit longtemps, mais elle finit par se couvrir des voiles de la douceur pour bercer notre chagrin...
RépondreSupprimerRavi , marine D, de lire tes mots si apaisants et aussi pleins de douceur.
SupprimerBonsoir Bizak,
RépondreSupprimerTa tristesse est si communicative à travers tes vers dont la couleur oscille au gré du temps de ton coeur et tous les comnentaires en attestent, notanment celui d'El Linda qui je pense a eu le même flash que moi en lisant ce sublime poème :
https://youtu.be/y1EgWB_Ly3k
Douce nuit cher Poète
Quand je voyage par train, j'ai le sentiment que j'emporte mes sourires et mes rêves enveloppés dans un écrin que j'offre à des passantes que l'on a jamais revues. Le train m'emporte et me transporte au gré de mes itinéraires de vie.
SupprimerMerci Marlène pour cette douce chanson de Richard Anthony.
Belle journée chère sirène, j'espère que tu passes du bon temps là-bas sous le soleil.
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerC'est bien vrai que tout est moins grave sous le soleil, aussi vrai que dans l'eau on a le poids d'une plume ! Et moi je me baigne de l'un à l'autre depuis plus d'une quinzaine alors c'est dire comme je me sens légère !!!
Merci Bizak pour tes pensées amicales
Bonne continuation ! ^^
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