"Il y a quelque chose dans la poésie qui est plus important que le sens : la résonance."
Marina Tsvétaïeva
dimanche 29 janvier 2017
Les Feuilles Mortes
Blog en repos
Sur la branche ténue D'un grand magnolia Vient souvent l'oiseau Aux ailes amples et colorées Il se rappelle un rêve Fait un jour dans un pré Où vivent les alouettes Bercées de chants mélodieux
J'espère que si le blog est en repos, c'est que Bizak le poète prend un peu de repos mais reviendra nous enchanter encore et encore avec ces douces rêveries. J'espère que l'oiseau reviendra aussi chanter à nos oreilles la douce mélodie du printemps. A bientôt cher poète. Mais ne te repose pas trop. ;-)
Succomber à l'appel d'un chant...Voilà une belle raison d'en suivre la mélodie...Bonne pause... Par contre en rentrant ne pas oublier de ramasser les feuilles mortes !!! Bises
Je comprends, j'accepte mais cela m'attriste. Ton bien être passe avant mon plaisir mais quelques nouvelles en MP me rassureraient: je n'aime guère les oiseaux noirs.
Bonjour bizak, Quand le vague à l'âme fait des retours incessants entre hier et aujourd'hui, quand la page est trop blanche et que les mots raturent le coeur, une pause est salutaire le temps de se recentrer sur soi...
Prends bien soin de toi et nous attendrons ton retour.
J'aime particulièrement cette chanson, mais la saison des feuilles mortes est passée et j'espère que bientôt tu nous chanteras la chanson du printemps. Les petites pauses en général font le plus grand bien simplement j'espère que ce n'est pas une question de santé. Je t'embrasse.
Sur la frange délicate des fleurs Un peu d’écume de songe reste encore Accrochée comme un rêve aux pétales des ailes D’un papillon meurtri Et la blessure du temps fait couler de son cœur Un nectar des souvenirs Bien sûr qu’il lui souvient A son cœur alangui Comme sous le pont Mirabeau Coule la seine d’Apollinaire Le vent des pierres blanches lui dit que rien n’efface le bonheur d’un instant Même s’il croit glisser dans l’oubli Il lui dit que l’espoir fait vivre Dans un monde où l’enfance est comme un rêve enfui Où la guerre est partout Heureux sont les poètes que le repos nous rende ton regard Bienveillant et profond Je t’embrasse du bout de mes ailes de fée et retourne me poser avec les alouettes aux chants mélodieux cher oiseau
Merci pour vos mots, Dédé, Paradisalia, Maria-Lina, Chinou, Michèle, Arielle, La Baladine, Denise, Daniel, Lauriza, Célestine Votre passage me touche, le bonheur resplendit en moi, pour chacun de vos mots. J’ai de la chance de côtoyer et d’échanger avec des âmes où l’amour, le beau, la poésie, les chants sont au dessus de tout et sont les ingrédients qui nous soudent et nous donnent espoir que la vie sait se nourrir et se perpétuer quand de votre bon cœur n’émanent que lumière, j’en suis heureux. Vous me donnez des ailes, vous me donnez du souffle, vous me ressuscitez. Je vous embrasse. Oh ! Cœur embelli Un ciel plein d’hirondelles Printemps enivré
@Françoise, sylvie, Den: Merci pour vos mots doux qui me ravissent comme toujours, ils m'apportent un souffle revigorant et cordial embaumé de votre chère amitié; Françoise, sylvie, Den, je vous embrasse.
Oh! combien tes mots sont justes, Edmée. Le silence nous aide à reconstituer et construire nos maquettes de mots qui n'attendaient qu'à s'y incruster. Merci Edmée. Bisous
ah! la fragilité de nos rêves aussi frêles que la branche de ton magnolia. Et pourtant, nous leur devons de l'importance. Car sans eux, que serions-nous! Quelques fois, non pas le rêve tout entier, mais quelques bribes viennent prendre part dans notre quotidien, l'embaumant de leurs effluves, comme un magnolia au printemps fait naître en l'oiseau son chant éternel. bises mélodieuses.
Tes mots sont aussi sublimes que ceux que je viens de lire sur ton blog,"dans le tic tac d'une journée", ils ont le parfum de ces roses même si frêles et fragiles comme les rêves, elles nous donnent ce beau parfum du printemps. Merci El Linda pour tes mots toujours pleins d'enchantement; Bises ailées.
Bonsoir Bizak, Je viens sur ton blog prendre un peu de poudre de rêve avant de m'endormir. Cette nuit par tes vers, je me ferai pinson sur la branche d'un magnolia chantant sa sérénade pour séduire l'élu de mon coeur. Merci de ce bonheur en perspective ! Mes plumes amicales
J'espère que si le blog est en repos, c'est que Bizak le poète prend un peu de repos mais reviendra nous enchanter encore et encore avec ces douces rêveries. J'espère que l'oiseau reviendra aussi chanter à nos oreilles la douce mélodie du printemps. A bientôt cher poète. Mais ne te repose pas trop. ;-)
RépondreSupprimerSuccomber à l'appel d'un chant...Voilà une belle raison d'en suivre la mélodie...Bonne pause... Par contre en rentrant ne pas oublier de ramasser les feuilles mortes !!! Bises
RépondreSupprimerMerci pour ce beau partage, bonne pause tout en douceur!
RépondreSupprimerJe comprends, j'accepte mais cela m'attriste. Ton bien être passe avant mon plaisir mais quelques nouvelles en MP me rassureraient: je n'aime guère les oiseaux noirs.
RépondreSupprimerBonjour bizak,
RépondreSupprimerQuand le vague à l'âme fait des retours incessants entre hier et aujourd'hui, quand la page est trop blanche et que les mots raturent le coeur, une pause est salutaire le temps de se recentrer sur soi...
Prends bien soin de toi et nous attendrons ton retour.
Mes bises l'ami
Merci pour cet éternel beau poème !
RépondreSupprimerarielle
J'espère qu'il s'agit d'un repos choisi, et qu'il va t'être doux...
RépondreSupprimerTa nostalgie est suavement mélodieuse. A très bientôt!
Bonjour bizak, merci pour ce beau poème et je te souhaite de tout coeur une douce pause avec mes bises, à bientôt.
RépondreSupprimerBonne pause et reviens nous en plein forme. L'oiseau t'attend sur la branche ténue.
RépondreSupprimerJ'aime particulièrement cette chanson, mais la saison des feuilles mortes est passée et j'espère que bientôt tu nous chanteras la chanson du printemps. Les petites pauses en général font le plus grand bien simplement j'espère que ce n'est pas une question de santé. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerSur la frange délicate des fleurs
RépondreSupprimerUn peu d’écume de songe reste encore
Accrochée comme un rêve aux pétales des ailes
D’un papillon meurtri
Et la blessure du temps fait couler de son cœur
Un nectar des souvenirs
Bien sûr qu’il lui souvient
A son cœur alangui
Comme sous le pont Mirabeau
Coule la seine d’Apollinaire
Le vent des pierres blanches
lui dit que rien n’efface le bonheur d’un instant
Même s’il croit glisser dans l’oubli
Il lui dit que l’espoir fait vivre
Dans un monde où l’enfance est comme un rêve enfui
Où la guerre est partout
Heureux sont les poètes
que le repos nous rende ton regard
Bienveillant et profond
Je t’embrasse du bout de mes ailes de fée
et retourne me poser
avec les alouettes aux chants mélodieux
cher oiseau
¸¸.•*¨*• ☆
Merci pour vos mots, Dédé, Paradisalia, Maria-Lina, Chinou, Michèle, Arielle, La Baladine, Denise, Daniel, Lauriza, Célestine
RépondreSupprimerVotre passage me touche, le bonheur resplendit en moi, pour chacun de vos mots. J’ai de la chance de côtoyer et d’échanger avec des âmes où l’amour, le beau, la poésie, les chants sont au dessus de tout et sont les ingrédients qui nous soudent et nous donnent espoir que la vie sait se nourrir et se perpétuer quand de votre bon cœur n’émanent que lumière, j’en suis heureux. Vous me donnez des ailes, vous me donnez du souffle, vous me ressuscitez. Je vous embrasse.
Oh ! Cœur embelli
Un ciel plein d’hirondelles
Printemps enivré
Que ta pause soit douce et bienfaisante, Bizak. Nous t'attendrons, mais ne tarde pas trop. :-)
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
je pensa bien à toi....
RépondreSupprimerUne pensée amicale, bizak, en t'attendant, tes mots me manqueront Âmi poète. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerDen
@Françoise, sylvie, Den: Merci pour vos mots doux qui me ravissent comme toujours, ils m'apportent un souffle revigorant et cordial embaumé de votre chère amitié; Françoise, sylvie, Den, je vous embrasse.
RépondreSupprimerBlog en repos, mais dans le silence d'autres poèmes se construisent et s'étirent... bientôt prêts à naître dans un baillement paresseux...
RépondreSupprimerOh! combien tes mots sont justes, Edmée. Le silence nous aide à reconstituer et construire nos maquettes de mots qui n'attendaient qu'à s'y incruster. Merci Edmée. Bisous
SupprimerComme j'aime cette chanson. Bon repos - toujours important de pouvoir se reposer, se ressourcer.
RépondreSupprimerMerci Bonheur du jour ^^
Supprimer
RépondreSupprimerah! la fragilité de nos rêves
aussi frêles que la branche de ton magnolia.
Et pourtant, nous leur devons de l'importance.
Car sans eux, que serions-nous!
Quelques fois, non pas le rêve tout entier,
mais quelques bribes viennent prendre part dans notre quotidien,
l'embaumant de leurs effluves, comme un magnolia au printemps fait naître en l'oiseau son chant éternel.
bises mélodieuses.
Tes mots sont aussi sublimes que ceux que je viens de lire sur ton blog,"dans le tic tac d'une journée", ils ont le parfum de ces roses même si frêles et fragiles comme les rêves, elles nous donnent ce beau parfum du printemps. Merci El Linda pour tes mots toujours pleins d'enchantement; Bises ailées.
SupprimerIl nous faut écouter
RépondreSupprimerLa chanson des oiseaux
Le rêve dans un pré
Le souffle du ruisseau
C'est un souffle nouveau qui naît devant tant de splendeur de la nature et le chant de l'oiseau. Ravi pour tes mots toujours mélodieux. Bise Marie
SupprimerBonsoir Bizak,
RépondreSupprimerJe viens sur ton blog prendre un peu de poudre de rêve avant de m'endormir. Cette nuit par tes vers, je me ferai pinson sur la branche d'un magnolia chantant sa sérénade pour séduire l'élu de mon coeur. Merci de ce bonheur en perspective !
Mes plumes amicales