Lorsqu'une feuille tombe, il y repousse toujours une branche.
Eric Barbé
Je sais parler aux arbres
Comme on parle au vent
Dans le froufroutement de ses mots bleus
Parfois les sons se mêlent au silence
Des douceurs de l'aube qui naît
Du ciel rêveur et somnolant.
Cueille la vie telle qu'elle est
Comme une ligne sinueuse du destin
Célèbre l'amour, il prendrait des ailes
Qui le feront raviver dans un vol sublime
Et pendant que les nuages s'évaporent
Donnant au ciel ses couleurs sereines
Lui le grand cercle bleu luisant
Répand du bonheur en quintessence.
"Cueillir la vie et célébrer l'amour". Quoi de plus beau dans une existence? Merci pour tes mots qui s'entremêlent et mettent du baume au cœur en ce lundi pluvieux et froid. Bises alpines.
RépondreSupprimerRavi chère Dédé pour tes mots si délicieux que je lis ce matin et pour ton bel enthousiasme qui me touche.
SupprimerBises méditerranéennes.
Heureuse de retrouver ta poésie!
RépondreSupprimer****
L'arbre sait écouter le murmure du vent,
cette complainte qui parfois
s'échappe du cœur des hommes
Marie
Tu dis toujours les choses justes, chère Marie, ta poésie traduit tant de choses belles et si vraies sur la vie.
SupprimerAmitié poétesse
merci pour ce retour...
RépondreSupprimerje ne sais pas si je sais parler aux arbres par contre certains vieux arbres me parlent !
S’ils te parlent c’est qu’ils savent aussi t’écouter même si tu sembles ne rien dire, car ton cœur lui, dit des choses.
SupprimerBelle journée Josette
Le vol sublime au milieu des nuages qui s'écartent pour laisser place à l'amour... c'est tout beau, ça!!!
RépondreSupprimerTu sais prendre l’essentiel des mots dans un enchevêtrement de phrases parfois inaudibles et tu les mets en lumière, quelle beauté ! Merci Edmée
SupprimerBises amie
Quelle joie de te revoir, cher poète du ciel et de la lune.
RépondreSupprimerLes arbres sont mes amis aussi, je leur ai souvent confié mes joies et mes peines.
Par delà les vents et les nuées, je viens te dire combien ton poème me touche. Il me dit que la vie trace en arabesques des chemins compliqués mais subtils, et qu'il est doux de les suivre du bout des doigts, comme on suit la trace d'un escargot ou le fil d'une araignée...
Je te souhaite un bon retour cher poète
Bisous d'étoile filante
¸¸.•*¨*• ☆
Quand je lis tes mots, j’en retire toujours la sève qui me dit que loin des apparences parfois titubantes, ton cœur germe de gaieté et de joie de vie. L’ombre intruse et envahissante ne saurait me priver de penser qu’en toi la lumière reste diffuse.
SupprimerMerci à toi, Céleste
Bisous jaillis en panache
NB:Les émotions de la lumière diffuse selon Robert PLutchik
SupprimerUne lumière diffuse qui crée des ombres douces et un contraste atténué va provoquer chez vous très certainement les émotions suivantes :
• la joie
• l’amour
• l’optimisme
• le ravissement
mais aussi :
• la songerie voire la tristesse
• l’ennui
Ce sont souvent des émotions plutôt féminines.
Je ne connaissais pas Robert Plutchik.
SupprimerMais je ne suis pas certaine que ces émotions soient plus féminines que masculines... ;-)
Je crois qu'éprouver des émotions est profondément humain, non ?
Bises interrogatives
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Tout à fait d'accord avec toi, je ne pense pas qu'on puisse différencier d'une manière tranchée entre homme et femme quant à leurs émotions, mais il avait précisé que c'était plutôt: "souvent des émotions de femme !" Ce qui est quand même juste une impression,je suppose.
SupprimerBises
Ton chant a la fraîcheur d'une source et la douceur du miel, la lueur bienfaisante du soleil qui vient de vaincre la nuit... Pas étonnant que les arbres le comprennent.
RépondreSupprimerHeureuse de te voir revenu, doux poète.
Bises ravies
Tes mots sont ravissants quand ils chantent et disent mélodieusement les ressentis qui viennent du profond de notre être. Tu disais que tu n’étais pas très poète, pourtant tes mots sont vernis de beaux vers magiques.
SupprimerBisous
Tu as respiré pour nous ce pan de ciel
RépondreSupprimerqui mains tenants ruisselle
ces splendeurs invisibles
parlé au coeur de l'arbre sensible
dessiné ces arabesques sur le fil du silence
qui va vient se balance
chanté la douceur sucrée qui r'anime le mât-teint
pour l'intime de nous qui rêve et se repeint
Heureuse de te retrouver cher poète Bizak.
Je t'en brasse fleurie encor'
Tes scintillements de mots sont toujours comme des bandeaux de couronne de fleurs ! Quelque soit leurs tournures, leur fragrance est ineffable et relevée.
SupprimerMerci douce poétesse
Bisous poétiques
RépondreSupprimerCela fait plaisir de te retrouver.
Tu manquais…
Je te remercie Alain X pour ton amabilité. Je te lis quand même en passant et ton dernier poème était magnifique.
SupprimerHeureux du retour de ta belle poésie et de ta belle nature, Bizak. D'un simple bout de laine, une pelote, d'un simple signe, tu es capable d'en tirer un espoir.
RépondreSupprimerÀ bientôt.
Tu me combles chère Patrick, mais je sais que tes mots sont sincères. Je te lis aussi en passant et j'ai trouvé l'idée des commentaires séquentiels,sur un sujet donné, géniale, comme l'anecdote de la librairie. J'aurais voulu apparaître comme un outsider, peut-être vous aurais-je partagé toi et Claude sur la fin de l'histoire.
SupprimerBien à toi
J'ai regardé une nouvelle fois sur mon blog. Je ne comprends pas pourquoi tu ne peux pas laisser de commentaire et je ne sais pas ce qu'il faut faire pour que ça change. Tu m'en vois désolé. J'aurais bien aimé que tu participes à nos échanges.
SupprimerÀ bientôt.
Les arbres, les sons, le ciel et le silence; tant d'échanges muets mais si emplis de force, de joie et d'espérance et puis la vie qui court, riche d'écrits, de poésie, de chants nouveaux, de rencontres !
RépondreSupprimerC'est une joie de relire tes mots; merci à toi.
Ils sont si beaux, tes mots, Balaline ! Comme une merveille du ciel posée sur la cime des montagnes qui longent les horizons.
SupprimerC’est une joie aussi de te lire.
Ton nouveau blog a quelques difficultés à s'insérer dans mes blogs amis. Je n'arrive pas à suivre tes nouveaux billets, mais je tâcherais j'espère d'y remédier.
Belle journée chère poétesse.
C'est dans un vent de murmures qui la vie se plaît à chanter...Bises
RépondreSupprimerEt elle chante si magnifiquement, la Vie !
SupprimerBises Paradisalia
Plaisir de te retrouver avec des mots d'arbres, pleins de vie!
RépondreSupprimerMerci poétesse au chant ibérique porté par des échos au delà des Pyrénées.
SupprimerBelle journée
Quel bonheur de te retrouver cher Bizak et de lire tes mots sur les arbres, ces arbres qui nous transmettent du bon, de la sérénité. Ils sont la vie.
RépondreSupprimerAvec toute mon amitié.
Moi pareillement chère Denise, tes mots si enchantant et louant la nature, me ravissent.
SupprimerBises amicales
bizak, ta photo est superbe ! tu as fais tout ce chemin pour venir nous retrouver ! merci
RépondreSupprimerEt si tu sais parler aux arbres tu es quelqu'un de bien ! encore un très joli billet, poème et coms !je t'embrasse , bon retour !
Quelle gentillesse à mon égard, noelle, je te remercie pour tes mots si précieux et qui me vont au cœur.
SupprimerMerci
Bien à toi, je t’embrasse aussi.
Un texte qui me va droit au cœur...
RépondreSupprimerDans les veines des arbres, coule le sang de ma chère Maman, partie trop tôt pour écouter le murmure du vent autour des étoiles.
J'aime serrer contre mon cœur le tronc des arbres, et sûr, ils me parlent aussi. Ils me donnent de ses nouvelles.
Je suis très touché Etienne, par tes mots en rappelant ta chère maman partie pour d’autres horizons et qui, même loin, est si proche de ton cœur.
SupprimerJe ne sais pas où j’ai lu, que quand on serre un arbre, la vie nous répand sa tendresse et la nature s’apaise.
Bien à toi Etienne
De retour ou simplement de passage ? Les arbres sont nos amis, des compagnons fidèles et silencieux. Tu as écrit un beau poème .
RépondreSupprimerJ'espère que je serais plus présent bientôt, mais en attendant, je picore quand même quand mes ailes se rabattent et je lis vos billets, mais je ne commente pas toujours.
SupprimerBien à toi Daniel, Merci pour tes mots
"je picore quand même quand mes ailes se rabattent" quel bel oiseau tu es ?
RépondreSupprimerBelle journée bizak, bises
Assurément l'oiseau blanc qui symbolise le plus profond de nos rêves : voler !
SupprimerVoler par dessus les montagnes, les océans bleus, les vallées..!
Voici un blog qui pourrait mieux t'inspirer: http://grandsreves1234.blogspot.com/2017/03/le-symbole-de-loiseau.html
Bisous
Merci bizak, j'aime beaucoup ! de jolis rêves à lire..
RépondreSupprimerBonne soirée, bisous à l'oiseau blanc
Heureux de te faire plaisir, chère amie
SupprimerBelle journée
Bisous
Bonne surprise de te retrouver parmi les frondaisons automnales. Cela fait du bien.
RépondreSupprimerJe te remercie Claude pour tes mots sympathiques. Quand je survole ton blog, je trouve toujours matière à réflexion. Très joli coucou à tes amis avec ton récital à la guitare.
SupprimerBien à toi
En forêt j'adore entendre les arbres se parler, entendre le vent faire frissonner les arbres. Ce que tu as su dire aux arbres a laissé une belle lumière dans ce ciel, pour celui/celle qui sait se poser un instant et contempler. Merci.
RépondreSupprimerLes arbres frissonnent, se courbent, sifflent mais s’accrochent fortement au sol, car comme les hommes, ils ont leur fardeau à porter, et nous surprennent souvent de leur relance et leur belle allure avec cette lumière du ciel.
SupprimerMerci de ton passage El Linda
Amitié
C'est une belle écoute... Merci pour ces mots sensibles porteurs de lumière. Pas de doute tu sais parler aux arbres.
RépondreSupprimerMerci de ton passage enthousiaste et enjoué.
SupprimerBelle journée Laurence
Les arbres, nos bergers, nos veilleurs...
RépondreSupprimerMerci d'être passé sur mon blog et de me permettre de découvrir vos mots. Merci de la rencontre.
Tout le bonheur était pour moi, de découvrir votre écriture, Anne.
SupprimerMerci de votre passage
des arbres si verts dans ne désert ? j'aime ton poème, et tu sais bien sur que les arbres communiquent entre eux...https://www.youtube.com/watch?v=eh6rnaqSPto
RépondreSupprimerLes arbres s'adaptent à tous les temps et climats, ils ont un sens que nous ne comprenons pas mais que nous ressentons malgré tout.
SupprimerTa vidéo est vraiment magnifique,elle est impressionnante d'informations utiles sur la vie de l'arbre. Après son visionnage, on a un autre regard sur l'arbre et la forêt.
Merci de tout coeur emma.
J'ai vu refleurir de vieux châtaigniers,blessés, torturés; la vie est donc là,forte, résistante,sans doute un appel, un soutien discret des jeunes sujets! A admirer encore, sans jamais se lasser.
RépondreSupprimerAmitiés
Chère Balaline, comme c'est joli : "J'ai vu refleurir de vieux châtaigniers..."
SupprimerCela semble comme un bonheur de prononcer ces mots qui sonnent l'amour, voir la vie refleurir, n'est ce pas cela un beau rêve ?
Bises poétesse.
Bonsoir Bizak,
RépondreSupprimerSavoir parler aux arbres, quel don de la fortune ! Celle qui ne s'évalue pas avec de l'argent mais une richesse plus précieuse encore l'or du cœur et pour un poète une ressource sans pareille. Et toutes vos illustrations sont sublimes, les commentaires élogieux et racés, bref que du bonheur !
Allez un petit dernier pour la route et je repasserai pour la suite ce week-end
Comme c’est gentil, Marlène, je vais finir par en rougir, je ne t’en remercierai jamais assez. Tu es comme une pépite d’or qui tombe du ciel, ta spontanéité et ta gentillesse me font dire que tu as un cœur d’or, de poétesse assurément. Je crois que tes écrits sont plus beaux encore que les miens, et je le dis avec sincérité, tu as ta façon bien à toi bien sûr d’écrire, et je la trouve vraiment belle.
SupprimerMerci encore Marlène, Bien à toi.
*Je repasserai te lire aussi souvent que possible sur ton blog
Coucou Bizak,
RépondreSupprimerA ce rythme-là on y passe la nuit ! Alors je réponds aux derniers messages et je ferme mais vraiment je ne peux pas te laisser écrire cela sans contester parce que je suis essayée une fois à la prose et mon texte ressemblait à une recette de cuisine ! C'est un art encore plus difficile la poésie libre pour que ce soit vraiment beau, en classique on a une partition c'est plus facile de poser les notes dessus ! Et franchement en lisant tous les commentaires des 4 poèmes les plus récents, c'est évident que ta plume ne laisse personne indifférent, elle émeut, c'est une évidence.
Bonsoir Poète
Que d'éloges en fournée ! Merci belle âme
RépondreSupprimerRavi de te rencontrer sur la blogosphère, la poétesse