Car son âme retiendra la vérité de votre coeur, comme le goût du vin persiste dans la bouche, alors que sa couleur est oubliée, et que le flacon n'est plus.Khalil Djibran
J'ai longtemps cherché à lire dans mes rêves, mes rêves vécus et à comprendre le sens de la vie. Mais au fin fond de ma solitude qui a germé au fil des ans, je doute de l'être humain. N'est-ce pas, du reste, qu'on dit souvent que l'absence, l'éloignement ébrèchent les sentiments, oblitèrent les lignes de notre âme et estompent toute la fraîcheur et la beauté de notre coeur.
Mais est-ce toujours le cas, si vraiment les êtres avaient du sang dans les veines et non de l'encre délébile, car pour les premiers, l'envolée se colore de vermeil et l'éloignement ou l'absence ne désemplit pas leur rêve, et l'amour ou même l'amitié, quand il est fort, il ravive à souhait le bonheur entrevu et fait revivre le passé, qui par son souvenir, il s'élève encore et grandit.
J'ai longtemps cru en l'éclair du ciel quand il frémit d'orage propice et bienfaisant, et je doute aujourd'hui qu'il soit fécond pour espérer en lui un quelconque germe de vie.
Un texte d'une grandeur impressionnante...
RépondreSupprimerRien ne s'édulcore quand le corps et l'âme sont en fusion.
Je ne suis pas surpris de ta réaction, cher ami, toi qui, ayant souvent à traiter ces sujets de la complexité humaine, et dont tu as eu à pâtir tout le long de ta vie. Mais je te remercie de l’éloge que tu me fais et venant de toi, je l’accepte de tout bon cœur.
SupprimerLe chemin de la vie apporte à chacun son lot d’orages et de beau temps. Le chemin de l’amour est un chemin dans le chemin, et il est encore plus ardu. On rencontre, on désire, on convoite, on possède ou croit posséder, on sait ou on croit savoir, on pense aimer, on veut aimer, on croit aimer, on aimerait aimer, on voudrait être aimé, on essaie d’être aimé, on croit être aimé, on aime être aimé mais tout cela, ce sont des balbutiements, des mirages, des circonvolutions du cœur comme un ballet d’entraînement des oiseaux qui apprennent à voler…Ce sont de douces illusions qui apaisent la soif comme une oasis dans le désert, mais qui disparaissent avec le temps et la distance, même si leur empreinte reste. Alors, par miracle, ces amours fugaces peuvent faire naître d’autres sentiments, de belles amitiés, des souvenirs joyeux, des sourires complices.
RépondreSupprimerEt puis un jour, enfin, on aime. Et on est aimé.
Et là, on se rend compte, comme Cabrel, qu’on croyait tout savoir sur l’amour depuis toujours, mais qu’en réalité on ne savait rien. On redevient comme au premier matin du monde. On réalise que l’on a confondu l’amour et la passion, la douceur de la sérénité avec la brûlure de la foudre. L’amour est une chose sublime, qui ne se laisse pas définir, ni photographier, ni attraper, ni caresser, une chose impalpable, soyeuse, douce et pourtant solide et forte. Une chose qui craint le froid, la chaleur, comme une étoffe fragile et précieuse. Et surtout, on se rend compte que l’amour ne fait jamais mal. Qu’il élève sans jamais rabaisser. Qu’il éloigne le mal et cultive le bien. Qu’il nous rend beau et heureux. Qu’il fait oublier tous les sentiments négatifs qui empoisonnent et emprisonnent le cœur : la peur, l’angoisse, la crainte, la culpabilité, la jalousie, l’amertume, la colère…C’est en se débarrassant de toutes ces scories, et en pardonnant à tous ceux qui nous ont fait mal, que l’on habille son cœur de neuf en l’apprêtant pour l’Amour. Je te souhaite ce chemin, cher Bizak. Car ton cœur ne peut se résigner à perdre espoir définitivement, et à douter, alors que la vie qui palpite en chaque fleur, en chaque brin d’herbe, nous invite à nous nourrir d’espoir. Alors que la poésie est là pour transcender la beauté du monde. Savoir continuer notre chemin avec cette seule règle de conduite : être en harmonie avec soi-même, éradiquer la souffrance inutile, pour mieux lutter contre les coups durs de la vie, les deuils, les maladies.
Je t’embrasse de tout cœur, cher poète.
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« Eh ! quoi madame, jamais une de mes paroles ne trouvera-t-elle grâce au tribunal de votre esprit ? N’aurez-vous jamais d’indulgence pour ma faiblesse ni de compréhension pour mes idées. » Le lys dans la vallée de Balzac
SupprimerNon, je plaisante ! mon texte ne mérite pas un si long commentaire et aussi bien construit, car mon intention n’était nullement de porter un jugement sur quiconque, je constate seulement les aléas de la vie. Le cœur de l’homme est aussi perméable et fragile qu’à la moindre secousse, ou même un simple froufroutement, il se perd dans les méandres pour expliquer la nature humaine si complexe.
En fait tout le sens de mon texte se rapporte à cette simple phrase : « Loin des yeux, loin des cœurs ».
Merci de tout cœur, chère amie
Bises
Bizak je viens de relire (plutôt lire, puisque le 7 février j'étais à l'hôpital -sauvée- mais je ne le savais pas encor' !) et je suis d'accord avec Célestine à 100% ...
Supprimer"C’est en se débarrassant de toutes ces scories, et en pardonnant à tous ceux qui nous ont fait mal, que l’on habille son cœur de neuf en l’apprêtant pour l’Amour".
Le 18 septembre c'était la 1ère journée internationale du pardon....
Et je crois bien que seule la cendre dispersée, dissoute, peut rendre heureux !
Après, tu verras les choses autrement.
Tu peux me croire, je sais de quoi je parle,... des aléas, des épines qui piquent... et en plus, pas sûre que "loin des yeux, loin du coeur" !!!
Allez, ...mes mots sont très amicaux et te souhaitent l'espoir d'un là-haut généreux, pas l'amer-hume.
Den
Ne doute pas de l'être humain. Même si certains ne se comportent pas très bien, nous sommes quelque part tous des frères. Nous avons à apprendre les uns des autres…..Ceux qui nous font du mal nous apprennent quelque chose.
RépondreSupprimerMerci Daniel pour tes avis qui sont toujours pleins de sagesse et qui dénotent chez toi, une expérience de la vie, riche et précieuse.
SupprimerMon cher poète. Tu dis tellement de choses avec tes mots pourtant discrets. On sent quelque chose qui se passe en toi, et qui te fait perdre espoir. Et pourtant non. Il y a, à chaque moment de l'existence, quelque chose à retirer des événements que l'on vit, positifs ou négatifs. Et on repart sur le chemin, d'abord en trébuchant et puis de plus sûrement, aidé en cela par des mains tendues, amicales, qui réconfortent et montrent la grande beauté d'une simple fleur. Je te souhaite de voir cette fleur car elle éclot éternellement. Bises alpines toutes douces.
RépondreSupprimerAh ! chère Dédé, merci pour tes mots toujours aussi doux et modérés. Comme je le disais précédemment, mon billet d'aujourd’hui, un peu tiré par les cheveux, n’est rien d’autre qu’un besoin parfois d’extirper ses pensées et de les faire aérer avant qu’elles ne pèsent trop lourdement sur notre pauvre cœur. Sinon, c’est avec bienveillance que j’accueille tous les mots de nos amis(es) pour un sujet aussi imperméable qu’incompréhensible parfois, mais c’est la nature humaine qui est ainsi faite.
SupprimerBises méditerranéennes ravies, chère amie
J'ai beaucoup aimé ton texte. Il est impressionnant.
RépondreSupprimerJ'ignore si je me ferais comprendre, mais douter de l'être humain… est profondément humain…
c'est une tyrannie d'empêcher un être d'échapper au doute.
(C'est une leçon des plus grands spirituels)
Je te souhaite de continuer la traversée obscure qui ne peut qu'ontologiquement déboucher vers la lueur, prémices de la suite.
Et moi, simple être humain, je me tiens à tes côtés et t'accompagne si tu le veux bien.
Pour que tu ne t'arrêtes pas en chemin.
J'ai toujours cette impression quand un bonheur « me »survient, que je l'ai volé au destin, et du fait qu'un "bonheur", ça ne s'explique pas, ça ne s'exprime pas. Parfois les mots me paraissent inutiles pour expliquer cette sensation éphémère, qui pourtant a bien existé et jamais elle ne pourra être annihilée, car ce bonheur qui dans l'instant, est l'éternité même. Je comprends tes mots, cher Alain, qui me touchent, car j’ai appris le sens que tu donnes aux mots, dans toutes leurs facettes, même crûment dits mais si justes et pour beaucoup d’eux enveloppés dans leur silence apaisant, qu’on lit pourtant même qu’ils soient illisibles ou invisibles.
SupprimerJe te remercie de ton élan de générosité, qui pour moi est un baume au cœur et ton amitié est tout simplement un honneur.
Bien à toi, cher ami
Alors, j'ajouterai qu'un bonheur n'est jamais volé ni au destin ni à quiconque.
SupprimerIl est toujours donné, généreusement. Un cadeau de la vie qui n'attend pas de retour. Il demeure éternellement et en savourer la présence/souvenir le fait se poursuivre et s'expanser comme une exhalaison qui n'en finit pas.
Hélas, ce sentiment de vol nous étreint, comme s'il fallait ou mériter ou payer le prix. On oublie tant que le bonheur n'a pas de prix ni ne se négocie.
C'est tellement difficile d'accueillir et d'accepter la générosité…
on court toujours après ce qui est déjà là.
Je te remercie Alain pour ta sollicitude et ta gentillesse de revenir pour un plus dans ton commentaire si pertinent et éclairé déjà, et complété maintenant avec ta grande sagesse et ta grande expérience de la vie et dont le plaisir est tout pour moi, de m’en saisir et d’en apprendre encore.
SupprimerMerci encore de ta belle attention.
Bien à toi
Les sentiments et plus particulièrement l'amour , sont un peu comme un feu dans la cheminée : il flambe, s'agite, danse, chauffe, chante puis son intensité diminue, les cendres prennent le dessus sur les tisons jusqu'à totale extinction. Si tu souffles sur les braises, elles auront tôt fait de reprendre vigueur et de redonner vie aux bûches. Toi, Prince du désert, traduirait mieux et pus poétiquement que moi l'image que je donne ici. Mais n'oublie jamais qu'une bûche ne mérite que tu lui sacrifies tout puisque de toute façon elle finira dans les flammes d'un coeur amoureux ou dans celles du désespoir de l'enfer.
RépondreSupprimerJoliment dit et écrit comme les catilinaires dignes du redoutable Cicéron ! J’admire ton impétuosité vive mais saine. En effet tout sentiment un peu enflammé influe grandement sur notre assurance et de ce fait notre élan prend parfois un coup sous le coup de la passion trop forte et on finit pas accuser le destin de nous laisser nous morfondre, sans omettre de tendre le cou au cœur qui fait des siennes.
SupprimerMerci chère amie
Tu es un homme humain au sens noble du terme, faillible, pétri de doutes et d'incertitudes, humain de la plus belle eau, celle qui s'interroge infiniment. Peut-être faut-il avoir perdu l'espoir pour accéder à la plus belle forme de bonheur, la conscience du présent, tel qu'il est, vivant, pour un instant encore...
RépondreSupprimerLe doute m'enrichit et est un superbe neutralisateur pour ne pas me prendre la tête. Parfois, je suis comme tiré par deux forces opposées et ne céder que vers celle qui me semble donner l'ombre d'un début de vérité. Je sais La Baladine, en te lisant souvent, le crédit que tu accordes à la simplicité des choses et qui te comble de bonheur et non pour ces fatras d'apparat juste pour faire de la figuration si même on y perdrait son âme.
SupprimerMerci pour tes mots qui viennent comme un rayon de soleil ajouter un plus de lumière à tous ces questionnements.
Bien à toi
L'amour n'arrive pas qu'en tonnant. L'amour ne vient pas sous la même forme. Une fois identifié, il a une force et une beauté d'Ange Gabriel ou tout autre, mais rien ne dit qu'il doit se présenter tôt dans la vie. Il vient quand on ne l'attend plus et que donc on est prêts.
RépondreSupprimerCrois-y, n'attends pas. Il te frappera sur l'épaule un jour ou l'autre, et même si tu te dis alors "pourquoi si tard?" la joie que tu en auras éclairera aussi tout le passé!
Je ne sais comment exprimer un sentiment humain, si ce n’est en (m)s’ouvrant à l’autre. La poésie parfois, sert d’appui ou d’exutoire pour libérer les tensions qui pénètrent les cœurs, et dont je n’en suis pas exempt bien sûr et qu’un soupir hasardeux puisse glisser et s’envoler vers les cieux, tournoyant.
SupprimerMerci pour tes mots judicieux et bienveillants, chère Edmée
Et si le rêve était la vraie vie…
RépondreSupprimerL'amour, oui un jour il te surprendra, et tu le reconnaitras...tu nous raconteras...Bizak, un très beau texte, merci !
Je t'embrasse
Merci pour ton enthousiasme, chère noëlle, et moi je crois aux rêves, et si j’en parle, c’est que je n’en désespère jamais.
SupprimerJe t’embrasse chère noëlle.
RépondreSupprimerLe rêve fait partie de notre réalité humaine, et doit demeurer précieux même s'il n'est pas aisé de les déchiffrer… je crois qu'ils ont toujours quelque chose à nous dire… Il est des heures dans la vie où une lucidité sur soi amène à une plus grande lucidité sur le monde, les humains que nous sommes ou inversement. C'est reçu comme une détonation proche du bruit de l'éclair. On apprend après à moins se bercer d'illusions ce qui n'empêche pas de croire à la fécondité des choses qui demandent de l'effort, de la patience, du soin, de l'entretien dans toutes les choses qu'on entreprend.
Je t'embrasse.
Ah ! Chère Ellinda, la poète qui survient au hasard des jours, mais toujours plein de bonté et de clairvoyance. Comme tes mots sont bien pesés et agréables à lire. Tu es comme un printemps qui passe et qui laisse des senteurs envoûtantes sur le chemin, et je m’en délecte vraiment.
SupprimerJe t’embrasse chère amie
Bonsoir Bizak,
RépondreSupprimerIl est à présent 20h30 et je viens de découvrir ton nouvel écrit qui m'a foudroyée d'un doute... aussi ! Mais douter, c'est aussi respecter, je crois ! Ne jamais rien prendre pour acquis et toujours chercher à se sublimer pour l'autre et lorsque ces sentiments sont vraiment équitablement partagés, je pense que la vie devient alors trop courte.
Poète du jour... Amour !
C’est gentil à toi Marlène, d’apporter par tes mots, tant de chaleur de la Martinique où tu grilles sous le soleil ardent et je sais que ton plaisir est de partager goulûment, amicalement et fraternellement tout ce que ton cœur bon souhaite de bien et de beau. Merci chère amie
SupprimerLe sens de toute vie se cache dans des cachettes d'ombres ou des livres secrets.Parfois des éclairs éphémères nous en font entrevoir quelques lignes.Alors on rêve de bonheurs éternels mais les rêves sont toujours éphémères et trompeurs.mieux vaut fuir les orages et la foudre et se réfugier dans le silence des cathédrales construites d'océan ou de forêt ou encore de montagne, là où les certitudes et le verbe aimer prennent leurs vraies valeurs
RépondreSupprimerComme tes mots sont prestigieux et beaux, je les prends miens, ils me pénètrent comme un parfum de douceur et d’amitié. Merci Marie
SupprimerL'amour arrivera sans crier gare, Bizak, il sera là en face de toi et tu le reconnaîtras. Le véritable amour ne fera pas mal, il sera joie et bonheur uniquement. Un amour qui fait mal n'est pas digne de s'appeler amour.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort, Bizak.
Je ne fais qu’exprimer chère Françoise, un sentiment que tout être pourrait ressentir, s’il était un tant soit peu sensible aux choses de la vie et dont la poésie les traduirait par des mots parfois mélancoliques et parfois allègres et ensoleillés.
SupprimerJe t’embrasse fort aussi chère Françoise
Bonjour Bizak,
RépondreSupprimerj'ai buté sur "je doute de l'être humain".
Aussi bizarre que cela puisse sembler, et bien que je n'ai pas forcément eu une vie toujours rose (mais n'est-ce pas notre lot à tous?) jamais jamais je n'ai éprouvé ce doute. J'aime les gens, j'aime l'humain et tout ce qui y touche, ce qui permet de mieux comprendre, de se rapprocher...
Mais sans doute sont-ce là les fruits d'un ressenti éphémère, mais j'avais envie d'y répondre malgré tout.
Bon dimanche, à toi, à vous ! (me rappelle plus si on se tutoie, LOL!)
La poésie permet tout ! Et ses envolées lyriques et exaltées qu'elle exprime, sont une sorte d’exutoire, pour libérer nos émotions. Mais sinon, c'est comme un non sens où une vérité perfide, du fait que moi-même je suis un être humain.
SupprimerMerci Ambre-Neige pour ton aimable visite.
Bonjour cher Bizak, je suis aussi heureuse de te retrouver avec ce magnifique poème et de plus, j'aime tes mots.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Je prends ce que tu dis, Denise, comme un cadeau pour la nouvelle année.
SupprimerJe t'embrasse chère amie
Cette réflexion "existentielle" n'est pas loin de celles de Thomas Mann dans "La montagne magique".
RépondreSupprimerComprendre le sens de la vie ou comprendre que vivre est sans cesse interroger le sens ? Bonne soirée, Bizak.
J'ai toujours pensé lire " La montagne magique", et je crois que cette fois-ci c'est le bon. Tu me redonnes envie à coup sûr.
SupprimerMerci Tania
Belle journée
Un coup de foudre...il n'est peut-être pas toujours souhaitable, la foudre peut se tromper!
RépondreSupprimerIl y a parfois, près de nous, des ententes et complicités bien plus solides et douces que l'amour fou. Il faut le croire cher Bizak.
Bon dimanche!
Le coup de foudre et l'éclair allument le feu de l'amour et la pluie qui survient après le noie dans son chagrin. Je crois qu'il n'y a pas d'amour sans passion, comme il n'y a pas de passion sans amour.
SupprimerMais j'aimerais croire ce que tu dis Colo
Merci de ta visite
Bon dimanche aussi
Gardons nous de la foudre et des orages qui emportent tout et détruisent autour d'eux !
RépondreSupprimerLe monde est fou mais l'espérance existe si non comment vivre dans ce monde déphasé Bizak, c'est vrai que la mémoire est courte et quand on ne voit pas on éloigne les pincements de coeur !
Merci d'être passé, je suis moins présente et j'ai souvent du mal à suivre, excuses moi...
Très bonne journée
Merci à toi aussi marine, pour tes mots adoucis et éclairés, l'amour est si ballotté, que le meilleur c'est de lui garder ses envolés mystérieuses et de ne le cueillir que quand les cœurs s'en réapproprient doucettement.
SupprimerBien à toi Marine
Belle journée
Je crois qu'il faut vivre l'instant présent, ici, maintenant, ne pas trop se questionner, douter. Vivre son temps de cristal, ...libre, ivre ou caché... peut-être bien foudroyé, ou dans l'indifférence de ce tant... vivre en instantané, ne pas trop couper les cheveux en quatre.... la vie ne tient qu'à un fil, en pleine lumière,ou s'envole emportant avec elle son rêve fané !
RépondreSupprimermerci pour tes mots forts, cher poète, qui heurtent parfois la réalité de chacun, chacune d'entre nous !